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Le projet de loi de financement de la sécurité sociale 2023 (PLFSS) a été présenté le 26 septembre. Il prévoit notamment que seules les sociétés de téléconsultation agrées pourront facturer à l’assurance maladie les actes de téléconsultation réalisés par les médecins qu’elles salarient.
A la veille de l’examen par la Commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale du PLFSS 2022, l’APIDIM alerte sur la nécessité d’intégrer la contribution des dispositifs médicaux innovants à l’ensemble des réflexions de fond engagées sur le système de santé, en particulier en matière de régulation, et rappelle la nécessité d’établir des conditions favorables à l’accès et à la diffusion des innovations en santé en France.
Pour prématurée ou provocante qu’elle puisse paraître, la question se pose et s’impose à la lecture du rapport final intitulé Repenser l’organisation territoriale de soins.
Officiellement reconnue dans le droit français depuis 2009 et mise en œuvre sous la forme d’expérimentations de terrain, la télémédecine demeure encore aujourd’hui une pratique marginale parmi les professionnels de santé. Pour remédier à cette situation, le gouvernement a décidé de passer à la vitesse supérieure, en ville mais aussi à l’hôpital.
On nous aurait menti ?! C’est un véritable séisme qui secoue le milieu des éditeurs des logiciels d’aide à la prescription.
Les établissements de santé seront confrontés dans les deux prochaines années au double défi de l’identification unique des patients au sein des GHT et de la généralisation de l’identifiant national de santé.
Communiqué de la Société Française de Télémédecine (SFT), du Conseil National de l’Ordre des Médecins (CNOM), de la Fédération Hospitalière de France (FHF), de la Fédération de l’Hospitalisation Privée (FHP) et de la Fédération des Etablissements Hospitaliers et d’Aide à la Personne (FEHAP) et de UNICANCER
Les 8 et 9 septembre derniers s’est tenue la 1ère Université d’été des déserts médicaux et numériques. Organisée à Auzon, entre l’Allier et la Nièvre, l’événement a rassemblé plus de 100 personnes – élus locaux et nationaux, industriels des télécoms, agences régionales de santé, représentants des usagers de santé et des consommateurs – pour échanger de manière pragmatique sur le développement de la télémédecine et de la santé connectée dans les régions rurales alors que ces dernières souffrent de fracture numérique mais également du manque, voire de l’absence, de professionnels de santé. Retour sur ces deux journées riches en échanges et en dialogue.
La télémédecine est une réalité en France. Or, si les professionnels y ont aujourd’hui recours, cette pratique innovante a besoin d’être reconnue et valorisée sur le plan financier. Attentive à l‘égalité d’accès aux soins comme à l’innovation, la Fédération hospitalière de France (FHF) oeuvre activement pour le déploiement d’une activité qui concourt à la recomposition décloisonnée et performante de l’offre de soins.
L’examen au Sénat débutera le 12 novembre. Argumentaire de Gérard Bapt, député socialiste de Haute-Garonne et rapporteur du volet recette et équilibre général du PLFSS 2014*
Suite à la publication du livre blanc « Modèles économiques pour le télésuivi des maladies chroniques », qui a reçu un accueil chaleureux aussi bien au niveau des professionnels du secteur que des pouvoirs publics, les industriels du numérique et des technologies médicales se félicitent de l’impulsion politique forte qui a été donnée au développement de la filière télémédecine au cours des derniers mois.
Présenté le 9 octobre en conseil des ministres, le PLFSS 2014 (Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale) doit être examiné par les députés à compter du 16 octobre avant d’être transmis au Sénat le 12 novembre.
Vu dans cadredesante.com, un article prospectif sur les modèles d'hospitalisation dans cinq à dix ans. Morceaux choisis... Les projets d'investissement des établissements de santé doivent changer de cap, comme le préconise le Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale (PLFSS) 2014. Toute la chaîne du soin devrait être impactée, y compris les missions des cadres de santé.
« Lorsque je me suis emparée du dossier, il m’est apparu que deux options pouvaient être envisagées : soit arrêter le DMP, soit faire en sorte qu’il réponde mieux aux besoins des professionnels de santé ». A l’occasion de l’examen du PLFSS (1) 2013 par les députés, Marisol Touraine a laissé entendre qu’elle donnait une nouvelle chance au DMP, en évoquant un « DMP de 2e génération »… tout en s’engageant très prudemment.
Trop c’est trop ! C’est très synthétiquement la conclusion tirée par le Directeur général de l’Agence nationale pour la sécurité des systèmes d’information (ANSSI) lors des récentes Assises tenues à Monaco. Le « Manifeste sur la sécurité » que publie la Fédération LESISS confirme cette analyse. Il formule une série de recommandations concrètes pour sortir, dans le domaine des systèmes d’information de Santé, d’une quinzaine d’années d’immobilisme feutré.
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