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L’Agence du numérique en santé a annoncé le 5 février 2024 que de nouveaux professionnels intervenant dans le système de santé intégreront prochainement le RPPS.
L’Agence du numérique en santé a annoncé que les préparateurs en officine peuvent s’enregistrer dans le Répertoire partagé des professionnels intervenant dans le système de santé depuis le 17 juillet.
Le référentiel d’exigences applicable aux solutions numériques de téléconsultation devrait généraliser la coconstruction de normes secteur par secteur et faciliter tant la lisibilité que l’appropriation des règles par les acteurs concernés. Il est mis en concertation jusqu’au 25 juin 2023.
Pour améliorer le parcours coordonné entre l’hôpital, l’ESMS et la médecine de ville, il y a mieux que les messageries de type Whatsapp ou les SMS : la suite de services de Cegedim Santé simplifie le suivi du patient dans un cadre sécurisé tout en s’adaptant aux besoins des différentes structures.
Les dispositifs médicaux font partie intégrante de la prise en charge médicale, ceux qui intègrent une fonction numérique peuvent générer un grand nombre de données de vie réelle et ouvrent la voie à une médecine plus personnalisée. Ces données permettent, par exemple, de renforcer le suivi entre deux consultations, de contribuer à l’accompagnement thérapeutique, d’anticiper des complications, ou d’améliorer la coordination des professionnels de santé.
Le 20 février 2023, dans le cadre du Ségur du numérique en santé, l’ANS a annoncé que 95 % des officines sont éligibles à la prise en charge par l’État après le référencement de la majorité des logiciels de gestion d’officine.
Le 5 janvier 2023, l’Agence du numérique en santé a annoncé la fin prochaine de la publication de ses anciens fichiers d’extraction de l’annuaire des professionnels et des établissements de santé ainsi que la bascule vers une nouvelle version des extractions.
Publiés au Journal officiel le 1er octobre, les arrêtés relatifs au Répertoire partagé des professionnels intervenant dans le système de santé (RPPS) et au Fichier national des établissements sanitaires, médico-sociaux et sociaux (Finess) détaillent notamment les données personnelles qui y sont enregistrées.
Le 1er septembre 2022, le ministère de la Santé et de la Prévention a annoncé confier à l’ANS la conception d’une plateforme numérique à destination des professionnels de santé dans le cadre de la mise en place de leur certification périodique.
Le 1er août, l’ANS a annoncé l’ouverture du guichet sur la conformité des dispositifs médicaux numériques de télésurveillance en vue de leur remboursement. Il s’agit d’offrir un cadre de prise en charge spécifique à la télésurveillance, au bénéfice des patients et des professionnels de santé.
Les professionnels de santé ont chaque jour de multiples raisons d’échanger avec leurs confrères pour le suivi de leurs patients. Au sein de leur hôpital, de leur cabinet, MSP, centre de santé, CPTS, mais aussi entre différentes structures, entre la ville et l’hôpital, pour organiser les parcours de soins. Rien de nouveau dans cette pratique, si ce n’est l’utilisation croissante d’outils grand public, simples et pratiques mais non sécurisés. De ce constat est né Maiia Chat !
Le ministère des Solidarités et de la Santé et l’Agence du numérique en santé ont publié le 1er avril 2022 le référentiel sur l’identification électronique pour faire un pas de plus vers la sécurité lors des usages du numérique en santé.
Des retours d’expérience des pilotes Ségur pour les champs personnes âgées, personnes en situation de handicap et domicile très prometteurs
L’identité numérique (IdNum) est certainement un sujet dont on va entendre parler dans les prochains mois et les prochaines années.
Un arrêté du 24 mars autorise l’expérimentation de 18 mois de l’ANS sur l’extension du répertoire partagé des professionnels intervenant dans le système de santé.
Les répertoires RPPS et Adeli sont les garants de l’identification des professionnels de santé et viennent alimenter l’Annuaire Santé. Entre mi-2021 et mi-2022, le basculement du second vers le premier va s’opérer.
Le groupe Dedalus confirme son engagement envers la feuille de route du numérique en santé, publiée par l’État en avril 2019.
La bonne circulation de l'information au sein de l'équipe de soin est essentielle pour assurer la bonne prise en charge des patients.
Afin de préparer et d’accompagner le déconfinement qui doit débuter le 11 mai, Nouveal e-santé a mis gratuitement à disposition de l’ensemble des médecins et des infirmiers libéraux de France métropolitaine son application Covidom. La solution développée en collaboration avec l’AP-HP permet déjà de suivre à distance plus de 60 000 patients porteurs du Covid-19 ou suspectés de l’être.
Pour répondre aux besoins de suivi en ville des patients atteints ou suspectés de Covid-19 confinés sur tout le territoire, les équipes françaises d’Agfa HealthCare mettent à disposition des médecins libéraux et hospitaliers et des équipes de coordination qui assurent le suivi à domicile des malades chroniques, une application dédiée. De chez lui, le patient renseigne quotidiennement un questionnaire de santé précis qui génèrera immédiatement des alertes vers le professionnel de santé qui le suit, en cas de signes de gravité.
Après plusieurs mois d’échanges, de concertation publique, la doctrine technique du numérique en santé est publiée et disponible sur le site de l’agence du numérique en santé. Riche de plus de 250 contributions de l’ensemble des acteurs de l’écosystème de la e-santé, la doctrine technique est à l’image de la démarche de co-construction souhaitée lors de la présentation de la feuille de route « Accélérer le virage numérique » le 25 avril dernier.
La dernière étape du tour de France e-santé s’est déroulée à Lyon, jeudi 6 février. Rythmée par l’enthousiasme débordant de Dominique Pon, cette journée pourrait se résumer par son bilan du tour de France : « après quinze ans de galère, je me dis qu’on va arriver à construire le numérique en santé, les planètes semblent enfin alignées ».
En avril dernier était présentée la feuille de route « Accélérer le virage numérique » du plan Ma Santé 2022, une présentation suivie quelques mois plus tard par la mise en concertation des premiers éléments de sa doctrine technique. En phase avec l’ambition et les fondamentaux de cette feuille de route, Maincare Solutions a présenté lors des Journées e-Santé 360 les principaux points d’alignement de sa stratégie avec les orientations et les actions de la doctrine nationale.
La centrale d'achat de l'informatique hospitalière (CAIH) a annoncé début Octobre avoir sélectionné la société Lifen comme attributaire unique de son marché pour la dématérialisation et l’optimisation des courriers. Permettant ainsi aux 1 100 établissements de santé adhérents à la CAIH d’implanter la solution la plus performante pour la dématérialisation et le traitement postal de leurs courriers médicaux.
La ministre de la Santé annonce les évolutions concernant les systèmes d’information de santé et la cybersécurité. Petite synthèse.
Pascale Sauvage est nommée aujourd’hui directrice par intérim de l’ASIP Santé par son Assemblée générale. Cette nomination s’inscrit dans la continuité des actions de l’agence puisqu’elle y assurait jusqu’ici la direction du pilotage stratégique et des affaires internationales.
Une nouvelle procédure de certification pour l’hébergement de données de santé à caractère personnel sur support numérique va remplacer l’actuelle procédure d’agrément au 1er avril 2018. A ce titre, l’ASIP Santé encourage vivement les candidats qui souhaitent déposer des dossiers HDS à privilégier la procédure de certification plutôt que celle de l’agrément.
Le GCS e-santé Archipel 971 devient le premier hébergeur agréé de données de santé pour la Guadeloupe, Saint-Martin et Saint-Barthélemy, par la décision du 3 août 2017 portant agrément du GCS pour son ENRS à disposition des acteurs de santé de la Guadeloupe et des îles du Nord. Entretien avec Anthony Forbin, directeur du GCS et CMSI de l’ARS.
En ce début de quinquennat, l’exercice consistait pour l’ASIP Santé à définir les nouvelles modalités de collaborations territoriales. Chaque territoire de santé fait en effet face aux mêmes défis :
L’ANAP vient de produire un document de référence dédié au système d’information territorial pour le parcours des patients et la coordination de la prise en charge sanitaire. Les cinq fonctions socles destinées à garantir la cohérence du SI.
L’Agence des Systèmes d’Information Partagés de Santé « ASIP Santé », placée sous la tutelle de la Délégation à la stratégie des systèmes d’information de santé (DSSIS) du ministère des affaires sociales et de la santé, est un groupement d’intérêt public (GIP) chargé du déploiement de la e-santé en France.
Jean-Yves Robin a été nommé directeur du GIP DMP et « préfigurateur » de l’Agence des systèmes d’information partagés de santé en décembre 2008. A la tête de l’ASIP Santé, il a activement participé à l’élaboration et à la mise en oeuvre d’une nouvelle politique publique en matière de systèmes d’information de santé.
L’élaboration, à partir du dossier informatisé, par le médecin traitant, d’une synthèse annuelle pour chacun de ses patients est inscrite dans la Convention médicale de 2011 entre l’Assurancee Maladie et les médecins libéraux. Sur la base des travaux de la HAS réalisés en lien avec les représentants des médecins généralistes et de l’ASIP Santé, la synthèse médicale sera prrogressivemment et automatiquement mise à disposition des professsionnels de santé dans leurs logiciels métiers habituels. Elle est particulièrrement utile pour le suivi de patientss souffrant d’une pathologie chronique.
Depuis juin dernier, 750 professionnels de santé libéraux volontaires testent la messagerie sécurisée de santé mise au point par l’ASIP Santé. Dès cette semaine, ce nouveau service s’ouvre progressivement à tous les établissements de santé et opérateurs, grâce à la publication des spécifications techniques. A terme, ce système va permettre à tous les professionnels de santé de communiquer de façon sécurisée, dans le respect des droits des patients, sur tout le territoire, quel que soit leur système de messagerie.
Paris, le 25 juin 2013 – Deux mois après avoir présenté avec les ordres professionnels la démarche commune visant à construire le système des messageries sécurisées de santé MSSanté, l’ASIP Santé lance le betatest d’un premier service de messagerie sécurisée MSSanté destiné à tous les professionnels.
Paris, le 5 juin 2013 - Le Groupe Orange vient de communiquer dans la presse sur l’obtention d’une autorisation qui aurait été délivrée par la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) et l’ASIP Santé, lui permettant de développer un dispositif d’authentification utilisant un Smartphone et qui serait alternatif à la carte de professionnel de santé (CPS).
Une clé d’échanges de données personnelles de santé au bénéfice des patients : coordination des parcours et coopérations interprofessionnelles.Pouvoir échanger entre professionnels de santé des mails sécurisés contenant des données personnelles de santé des patients, telle est la cible simple qui mobilise depuis plusieurs années l’ensemble des professionnels de santé et que l’ASIP Santé met en œuvre en 2013.
Paris, le 10 mai 2012 • La mise à disposition d'une messagerie sécurisée pour les professionnels de santé constitue une priorité des pouvoirs publics. • Elle répond à un besoin exprimé par les professionnels de santé de pouvoir échanger des informations et mieux se coordonner dans la prise en charge de leurs patients en toute sécurité.
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