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Les Jeudis du Numérique de DSIH, le 25 février 2021 de 11h00 à 12h00 sur www.dsih.fr. Un webinaire de 60 minutes animé par Xavier VALLIN, de DSIH Conseil.
En cas de situation de crise exceptionnelle telle que nous la vivons aujourd’hui, les lits de tous les établissements de santé sont à flux tendus. Pour gérer l’afflux de patients, le personnel soignant doit veiller à la disponibilité de ses lits chauds (réanimations, soins intensifs…).
100 % logicielle, la solution est indépendante des constructeurs de dispositifs médicaux et des éditeurs de logiciels cliniques ou solutions métiers. En s’appuyant sur l’expertise acquise au cours de ces 18 années passées dans le domaine de l’interopérabilité, Enovacom a mis au point une plateforme d’interopérabilité biomédicale capable de collecter et remonter automatiquement les données des dispositifs biomédicaux directement dans le dossier patient.
Le 5 janvier, Livi et la Société française de santé digitale ont présenté leur livre blanc « De la télémédecine au soin digital, une transition des pratiques vue par les médecins » qui tire cinq enseignements des entretiens menés avec des sociétés savantes et délivre neuf recommandations pour le développement du soin digital.
En novembre et en décembre, l’ANS a proposé une nouvelle session d’une dizaine de webinaires à destination des professionnels de santé. Deux séances de la dernière semaine étaient consacrées à l’interopérabilité.
Le Congrès de la SFSD s’est déroulé début décembre. Quatre jours de congrès 100 % digital et en réalité virtuelle, sans doute à l’inverse de ce que doit être la santé de demain. Il s’est terminé le vendredi 4 décembre avec une session sur la place de la télémédecine dans la santé de demain
Depuis 5 ans, Lifen facilite la coordination médicale et l’accès aux données pour l’ensemble des soignants. Aujourd’hui, nous voulons aller plus loin en aidant les professionnels de santé à soigner mieux en soignant ensemble. Pour concrétiser cette promesse, nous lançons aujourd’hui le projet Soigner Ensemble qui doit offrir à tous les soignants une prise en main rapide des solutions de e-santé pertinentes pour leurs pratiques, tout en les rendant interopérables avec leurs outils actuels.
Dedalus, leader européen dans l’édition et l’intégration de solutions numériques pour le monde de la santé, signe un accord industriel avec DeepOR, start-up française, pionnière dans le domaine du traitement du langage naturel médical pour équiper l’hôpital d’un assistant vocal intelligent.
À l’occasion de la 10e édition du Catel Paris, le collectif Téléconsultation a présenté des fiches pratiques à destination des différents acteurs du soin.
Il est parfois difficile de décrire la gravité de la situation lors d’un appel téléphonique au 15. Depuis quelques mois, le SAMU 54 (CHRU de Nancy) utilise VisioSAMU afin obtenir des compléments visuels si nécessaires lors d’un appel en vue d’un diagnostic et d’une décision de prise en charge médicale. Ce projet de régulation grand public vise à proposer au SAMU une solution de visioconférence permettant d’envoyer une invitation simple et instantanée à la personne appelant le 15, de façon sécurisée. Une solution innovante et aidante pour les régulateurs médicaux.
Avec plus de 2 millions de patients déjà pris en charge chez eux et les récentes restrictions sanitaires, le secteur de la santé à domicile est amené à jouer un rôle de plus en plus important dans le système de santé actuel. L’acteur en e-santé Comarch s’est penché sur le sujet dans son étude “le Futur de la Santé à Domicile” réalisée avec l’IFOP, où il fait un état des lieux du niveau de connaissance, de l’opinion et de l'expérience des Français vis-à-vis des prestataires de santé à domicile (PSAD), et de leur appétence au recours à la télémédecine
L’épisode le plus critique de l’épidémie liée au nouveau coronavirus s’éloigne. Les entreprises ont repris progressivement leurs activités. DSIH a voulu savoir comment les éditeurs de solutions numériques de santé avaient géré cette période sans précédent. Il nous a paru également intéressant de les interroger sur leur vision de l’après-Covid. Entretien avec Philippe Blanco, directeur général d’Evolucare.
Dans une récente interview[1], l’éditeur Daqsan[2], spécialisé dans les analyses des accès anormaux aux données, fait part dans certains cas d’un pic de 1 000 % des détections des accès en anomalie aux dossiers des patients (DP). Selon l’éditeur, si les accès en anomalie aux données médicales des VIP ou des voisins de palier sont restés stables, ce sont surtout les accès aux DP des collègues qui ont explosé.
Une des valeurs fortes du secteur de la santé est le secret médical. Depuis une quinzaine d’années les dossiers des patients sont de plus en plus informatisés. Cette numérisation devrait être une garantie de sécurité et de contrôle.
La crise sanitaire liée au COVID-19 a engendré des impacts auprès du personnel soignant, médico-technique et administratif : fatigue, usure, stress… Dans un souci de retour progressif à la normale, des réflexions sont à mener par les directeurs, managers et responsables RH sur les transformations à initier ou accélérer telles que :
Le 24 mars dernier, l’Agence régionale de santé d’Île-de-France a ouvert une cellule de gestion de lits pour les patients atteints du Covid-19. Ce dispositif inédit aide les établissements de santé saturés à trouver des lits de transfert.
En raison de l'épidémie du Covid-19, l'ensemble des instituts de formation paramédicale de Nouvelle-Aquitaine sont fermés et contraints d'organiser à distance leurs formations. Pour favoriser l'organisation des formations à distance, la Région Nouvelle-Aquitaine et l'université de Poitiers leur ouvrent la plateforme pédagogique et numérique e-Notitia.
La gestion des lits des établissements de santé est déjà un casse-tête en temps normal. Mais en période de crise elle devient critique. Comment trouver rapidement un lit adapté ? Comment différencier les patients selon leur pathologie ? Le logiciel TimeWise Clinic assiste les hôpitaux et les cliniques dans cette gestion. Le personnel soignant a des missions urgentes et essentielles, et l’informatique se doit d’apporter une réponse rapide.
En cette période de crise, les équipes hospitalières sont mises à rude épreuve sur le plan physique et psychologique. Une surveillance accrue est indispensable dès aujourd’hui afin de préserver ces ressources humaines pendant et après la pandémie. En réponse au nombre croissant de cas de COVID-19, il est donc important de fournir aux personnels de santé des moyens pour veiller au maintien de leur bonne santé physique et mentale.
Née en 2013, 360Learning apprend vite. C’est en décryptant les pratiques habituelles de la formation en ligne que la start-up basée à Paris a choisi d’investir dans un nouveau créneau : la formation en ligne collaborative. La solution est notamment présente dans le secteur de la santé.
Dans le contexte de cette crise sans précédent, les autorités sanitaires allègent progressivement le cadre de la téléconsultation et encouragent même les médecins et les infirmiers à s’équiper pour prendre en charge les patients atteints de Covid-19.
Il y a une semaine, Lifen annonçait le lancement d’une plateforme permettant de désengorger les hôpitaux en assurant le télésuivi des patients ayant des symptômes liés au COVID-19. La solution est à ce jour déployée dans 5 CHU en France. Aujourd’hui, la plateforme évolue et permet aux hôpitaux de notifier les médecins traitants de manière automatique et via les messageries sécurisées de santé.
Télémédecine, dossier médical partagé, hôpital numérique, objets connectés, Big Data, intelligence artificielle… La e-santé ou santé numérique va bouleverser nos usages en santé au gré d’une course à l’innovation menée par les géants de la Tech et d’innombrables start-up.
Il est évident que l’interopérabilité va jouer un rôle fondamental pour la santé de demain. En 2020, la taille des données liées au secteur de la santé dans le monde entier devrait atteindre un chiffre astronomique de 2,3 milliards de gigaoctets. Les sources et la nature même de ces données seront différentes : des signes vitaux pour la surveillance des pathologies aux images haute résolution pour l’établissement d’un diagnostic, en passant par les dossiers de pharmacie pour la prescription de médicaments.
Afin d’optimiser ses processus RH et de proposer de nouveaux services à ses 12 500 professionnels pour répondre à leurs nouvelles attentes, le CHU de Nantes a ouvert en septembre dernier le portail collaboratif IdéoRH de Maincare Solutions. Une solution nouvelle génération qui permet d’optimiser le service rendu aux Ressources Humaines et aux pôles.
Le 18 décembre, Nuance lancera sa nouvelle solution de reconnaissance vocale médicale Dragon® Medical One, hébergée dans le Cloud. Elle est destinée à simplifier et à accélérer le travail de documentation quotidien des professionnels de santé.
Une personne meurt de sepsis toutes les 5 secondes dans le monde. C’est encore aujourd’hui une des causes de mortalité les plus importantes. Cela représente 30 000 décès chaque année en France, où la mortalité des patients atteints d’un sepsis est de 27% et peut atteindre 50% pour la forme la plus grave, le choc septique. Et les prévisions projettent un doublement du nombre de cas d’ici cinquante ans, notamment dû au vieillissement de la population.
Face à une problématique de réactivité et d’efficacité à la mobilisation d’équipes en situation d’urgence, le CHU Saint Pierre a souhaité moderniser ses équipements afin d’améliorer le quotidien des pompiers et des ambulanciers. Pour ce faire, ils ont fait appel à Enovacom, éditeur de logiciels français dédié à l’échange et au partage sécurisé des données de santé et plus particulièrement à son logiciel Enovacom Surycat.
Ce partenariat stratégique accélère l’arrivée des technologies ambiantes afin de réduire les burn-out des professionnels de santé en leur permettant de se recentrer sur les patients pendant que l’IA gère les tâches administratives.
Prudemment mais sûrement, le Gouvernement s’est emparé de la question en lançant un programme d’investissements d’avenir (PIA), devant permettre de ’’tester sur le terrain, par des applications concrètes, le potentiel l’IA’’(Cf. communiqué de presse commun de la Dinsic et de la DITP).
nehs et BOTdesign annoncent avoir signé un partenariat pour proposer une offre afin de simplifier et sécuriser les échanges en matière d’informations de santé, entre professionnels et de professionnels à patients.
Fort de son expérience dans le domaine de la santé, l’éditeur Computer Engineering propose aujourd’hui de nouveaux outils permettant aux équipes soignantes de se concentrer sur l’essentiel de leur métier, tout en répondant aux exigences des configurations multi-sites. Innovations à découvrir lors du salon HIT, sur le stand O56.
Pionnier dans le secteur médico-social avec son logiciel TITAN Téléconsultation totalement intégré au dossier médical TITAN, Malta Informatique continue d’innover en proposant une version autonome de sa solution de téléconsultation médicale qui est disponible pour TOUS LES EHPAD, quel que soit leur dossier patient. Des démonstrations en live sont organisées toutes les heures durant la Paris Healthcare Week – HIT – Stand G41. Venez nombreux !
Les évolutions actuelles des établissements de santé entraînent fréquemment la nécessité de transporter des produits de santé à l’intérieur de l’établissement et / ou entre sites distants : Pharmacies à Usage Intérieur au sein d’un GHT, établissements multi-sites ou de grande étendue. Les équipes médicales doivent répondre à de nouveaux défis concernant l’optimisation des plans de cueillette, la gestion de multi-magasins et des emplacements de stockage.
L’utilisation de terminaux portables communiquant en Wifi apporte au personnel soignant une réponse adaptée et simple d’emploi pour contrôler en direct l’administration des chimiothérapies aux patients.
Le Salon HIT, du 21 au 23 mai 2019, à Paris Expo, porte de Versailles, est le salon n° 1 en France de l’IT en santé. L’innovation dans ce domaine, axe majeur du programme du salon, sera notamment déclinée dans le cadre de l’atelier sur les enjeux du numérique et des agoras.
Pionnier dans le secteur médico-social avec son logiciel Titan Téléconsultation totalement intégré au dossier médical Titan, Malta Informatique continue d’innover en proposant une version autonome de sa solution de téléconsultation médicale qui sera ainsi disponible pour TOUS LES EHPAD, quel que soit leur dossier patient.
En fin d’année, les établissements Maison Blanche, Sainte-Anne et Perray Vaucluse se sont unis pour devenir le Groupe Hospitalier Universitaire (GHU) Paris psychiatrie & neurosciences. Ce processus a notamment été rendu possible par le succès de la fusion de leurs systèmes d’information, en particulier des applicatifs M-GAM et M-GEF de Maincare Solutions. La nouvelle entité juridique devient ainsi le premier acteur hospitalier francilien des maladies mentales et du système nerveux et le plus grand établissement psychiatrique d’Europe. L’opération parachève un long travail de préparation initié entre l’équipe Projet du GHU Paris et les équipes Maincare Solutions, avec l’aide du SILPC.
Jeudi 20 décembre 2018 à 11h, a eu lieu la première téléconsultation dans les Vosges entre l’EHPAD du Val du Madon à Mirecourt et le médecin psychiatre du Centre Médico-Psychologique (CMP) « La Source ». L’EHPAD du Val du Madon et le Centre Hospitalier de Ravenel ont élaboré en commun ce projet innovant soutenu et accompagné par l’Agence Régionale de Santé (ARS) Grand Est.
Dans un article récent[1], on apprend que la CNPD (la Cnil portugaise) vient d’infliger une amende de 400 000 euros à un hôpital pour défaut de respect du RGPD. Analyse.
Onze établissements constituent le GHT Eure-Seine et pays d’Ouche, soit sept hôpitaux et quatre Ehpad : les hôpitaux d’Évreux-Vernon, de Bernay, de Gisors, de L’Aigle, des Andelys, de Navarre et de Verneuil ainsi que les Ehpad de Rugles, de Breteuil, de Conches-en-Ouche et le Centre d’hébergement et d’accompagnement gérontologique de Pacy-sur-Eure. À Patrice Large d’en faire converger les systèmes d’information. Entretien.
Après un an de consultation, Softway Medical remporte l’appel d’offre lancé par le GHT de l’Union Hospitalière de Cornouaille. Le DPI multi-établissements Hopital Manager équipera prochainement les 3100 lits du GHT sur le périmètre médical et soignant.
Konica Minolta a placé le secteur de la santé au cœur de sa stratégie de développement. Ses axes de développement tournent autour de la médecine dite des 4 P : Préventive, Participative, Prédictive et Personnalisée. Konica Minolta mise aussi sur les acquisitions pour se développer. En 2017, le Groupe a racheté Ambry Genetics, une société spécialisée dans le séquençage du génome humain, et Invicro, spécialisée dans le médicament sur mesure.
DirectoSuivi automatise la préparation et le suivi à distance de 100 % des patients grâce à des échanges par SMS et une interface de mise en relation. Éprouvé par des cliniques, CH et CHU, ce service innovant permet de concentrer les ressources médicales disponibles sur le soin et sécurise le retour à domicile.
La start-up Française poursuit le déploiement de sa solution mobile de coordination des soins et signe des partenariats avec le Centre Hospitalier Emile Roux du Puy en Velay et l’Hôpital Américain de Paris.
Lancé en 2017 (instruction n° DGOS/GHT/2017/310 du 6 novembre 2017), cet appel à projets porte sur 16 thématiques, 12 concernant la mise en place d’organisations cliniques et soignantes, en application du projet médico-soignant partagé du GHT et 4 la convergence des systèmes d’information.
Dans une première partie(1), nous avons examiné les deux grandes familles de politique d’habilitation dans les accès à un DPI d’établissement de santé. Nous en avons conclu que la seule méthode viable à terme au sein d’un GHT était celle du contrôle a posteriori. Dans une deuxième partie(2), nous avons décrit les trois conditions pour s’acheminer vers ce mode de gestion : concertation entre les CME, systèmes homogènes de sanctions au sein de tous les établissements du GHT et généralisation de l’analyse des traces d’accès.
Dans une première partie(1), nous avons examiné les deux grandes familles de politique d’habilitation dans les accès à un DPI d’établissement de santé. Nous en avons conclu que, dès lors que l’établissement affichait une taille conséquente, avec des métiers de santé transversaux multiples et des accès 24/365, la seule méthode viable à terme était celle du contrôle « a posteriori » : tout est accessible au corps médical et au corps soignant, avec pour corollaire des accès systématiquement tracés, les traces minutieusement analysées et les abus nécessairement sanctionnés.
La question de la politique d’habilitation des accès à un DPI d’établissement a fait couler beaucoup d’encre, dès que les premiers plans nationaux d’informatisation ont démarré au milieu des années 2000 : plan Hôpital 2007, puis 2011, etc. Tant que chaque service d’un hôpital était informatisé par un progiciel vertical de spécialité, la question ne se posait pas : dès lors que les DPI transversaux ont déboulé, il a bien fallu réfléchir à une politique générale, et pas seulement à l’accès des cardiologues aux dossiers des patients hospitalisés en cardiologie. Il y a, globalement, deux façons de répondre à ce besoin.
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