Le numérique offre aujourd’hui de nombreuses opportunités pour réinventer la relation qu’entretiennent les établissements de santé avec leurs patients.
Avec son portefeuille unique de services et de solutions ultra-communicantes et sécurisées qu’il édite, fournit et intègre, Dedalus, premier fournisseur de logiciels de santé en Europe répond aux nouveaux besoins du système de soins français et participe à l’amélioration constante du parcours de santé dans le secteur public et privé. Mobilité, Intelligence Artificielle, Parcours et Ségur sont au programme sur ses tables rondes et agoras.
Peut-on favoriser l’innovation par l’usage de services proposés dans le Cloud public ? Comment faciliter au quotidien l’activité des systèmes d’information hospitaliers publics et privés et de leurs éditeurs avec des services managés à forte valeur ajoutée ?
Mi-octobre, la stratégie d’accélération « Santé numérique » a été officiellement lancée à l’occasion du premier anniversaire de G_Nius. Elle comprend notamment 60 millions d’euros d’investissement dans des programmes et équipements prioritaires de recherche (PEPR) dirigés conjointement par l’Inria et l’Inserm.
Lifen œuvre au quotidien pour faciliter l'accès à l'innovation en santé pour l'ensemble des acteurs du soin. À travers La Dose Tech, l’entreprise donne ainsi la parole aux figures clés qui façonnent le système de soins de demain.
Le centre hospitalier régional universitaire de Nancy a choisi Proactis, éditeur-intégrateur de solutions de gestion de la dépense, pour optimiser ses approvisionnements. Le déploiement de cette solution modulaire pourra, à terme, profiter à l’ensemble des établissements du GHT Sud Lorraine, en leur offrant une couverture complète des processus d’approvisionnement et la possibilité d’envoyer les commandes dans leurs différents logiciels de gestion économique et financière (GEF).
Nombre de Directions Hospitalières, Chefs de Service, médecins et soignants, de Centres Hospitaliers Généraux (CHG), doutent de l’oppor- tunité qu’aurait leur établissement à s’engager dans une démarche DATA et IA. Doutes sur l’opportunité, mais aussi sur la faisabilité : est-ce accessible d’un point de vue budgétaire ? A-t-on suffisamment de disponibilité des compétences techniques et organisationnelles internes ? Et, surtout, quels usages pourraient intéresser les praticiens ?
On en était arrivé à croire que l’offre d’hébergement de données de santé était devenue une simple commodité. Face à plus de 100 hébergeurs agrées, difficile pour les clients de faire sereinement un choix les engageant souvent pour de nombreuses années. Quelques incidents les ont cependant conduits à réfléchir sur leurs choix. Venez découvrir comment ces solutions holistiques peuvent apporter de la valeur ajoutée à l’hébergement de données, dans le cadre d’une nouvelle session des jeudis du Numérique proposée par DSIH.
La crise sanitaire a renforcé les besoins et les usages de solutions externalisées, en particulier de secrétariat et de prise de rendez-vous. Le télésecrétariat a dès lors pris un essor sans précédent. Interview de Nicolas Broussard, président de Simplify.
Le 18 octobre 2021, G_Nius soufflait sa première bougie, à la Station F, et accompagnait le lancement de la stratégie d’accélération Santé numérique annoncée en janvier dernier. Le 6 octobre, le projet a été primé et figure parmi les 17 lauréats de la deuxième édition des Cas d’or du digital responsable.
France Assos Santé a sorti en juillet une étude sur « Les Français et la e-santé » qui montre notamment que, au-delà du boom de la pratique pendant les confinements, la télémédecine s’ancre dans les habitudes des Français.
Alors que le Gouvernement a présenté en février 2021 sa feuille de route Numérique et Environnement, de nombreux travaux parlementaires visent à créer un corpus législatif pour prévenir, encadrer et réduire les impacts environnementaux du numérique.
Le 25e Congrès de l’Association française des ingénieurs biomédicaux se tient du 18 au 20 octobre à Lyon, sur le thème « Parcours de soins, enjeux technologiques de demain », avec une place prépondérante accordée à la cybersécurité. Interview de Valérie Moreno, présidente de l’Afib.
# Ségur, les grands petits pas du numérique. En juillet 2020, le Ségur de la santé actait la nécessité d’investir massivement dans le numérique pour permettre à la France de rattraper son retard dans la modernisation, l’interopérabilité, la réversibilité, la convergence et la sécurité des systèmes d’information de santé. Début septembre 2021, une première fenêtre de candidature aux financements était ouverte. Mais où court donc si vite le numérique ?
La semaine dernière, l’Agence du numérique en santé a tenu sa conférence de rentrée à la Fabrique événementielle, dans le 10e arrondissement de Paris, et sur les réseaux. Elle était animée par Charlotte Savreux et Lionel Reichardt.
Pour la troisième année consécutive, l’ANS met la doctrine du numérique en santé en concertation jusqu’au 16 novembre, pour proposer une version mise à jour au plus proche des réalités du terrain.
Chaque année en France, le cancer du col de l’utérus touche près de 3 000 femmes et cause environ 1 100 décès[1]. Afin de réduire l’impact de ce cancer, une combinaison du dépistage organisé pour les femmes de 25 à 65 ans et de la vaccination contre les human papillomavirus (HPV) pour tous les jeunes est proposée. La Commission col-HPV du CNGOF (Collège national des gynécologues et obstétriciens français) lance mi-octobre une application innovante gratuite sur la gestion des résultats du test HPV dans le dépistage primaire du cancer du col.
A la veille de l’examen par la Commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale du PLFSS 2022, l’APIDIM alerte sur la nécessité d’intégrer la contribution des dispositifs médicaux innovants à l’ensemble des réflexions de fond engagées sur le système de santé, en particulier en matière de régulation, et rappelle la nécessité d’établir des conditions favorables à l’accès et à la diffusion des innovations en santé en France.
La troisième session en ligne des Rencontres du progrès médical a eu lieu le 4 octobre sur le thème « Vers une régulation adaptée à la réponse aux besoins de santé ». Synthèse.
Le programme SUN-ES pour « Ségur Usage numérique en établissements de santé » est le volet consacré au développement du numérique dans les établissements de santé identifié à la suite du Ségur de la santé.
L’initiative « Impact – Accélérateur d’innovation en santé mentale », appel à projets pour faire émerger des solutions qui ciblent des ruptures de parcours de soins en santé mentale, a été officiellement ouverte fin septembre.
L’ANS concrétise sa collaboration avec l’OMS France en intégrant son centre de gestion des terminologies de santé au Centre collaborateur français de l’OMS.
« Résilience et engagement – Hospitaliers, industriels, start-up, patients… après deux ans de crise Covid, l’écosystème santé se retrouve et s’engage pour l’avenir » sera cette année le fil rouge de SANTEXPO. Pendant ces deux années de crise Covid, les soignants ont fait preuve de résilience, de force morale et de sens de l’engagement hors norme aux services des autres. Cette période a aussi mis en lumière les forces et les faiblesses de certains fonctionnements. En engendrant une disruption, la crise a-t-elle été révélatrice ou le révélateur d’un système en fin de course ?
UniHA promeut l’IA pour tous en mettant en avant les solutions innovantes d’Alicante pour ses adhérents pour les aider à développer de nouveaux services
Tessi et Dapsys ont signé un accord portant sur l’intégration de la startup eSanté, dans le programme d’accélération Pépites Shaker de Tessi. Les deux sociétés, qui proposent des solutions complémentaires pour la Santé, se rejoignent sur une vision commune de l’innovation au service des parcours patient.
Dans le cadre de la structuration des GHT, les établissements supports ont porté la réalisation de schémas directeurs de convergence des SI initiés en 2017 et 2018. Ces travaux ont été réalisés sur la base de Projets médicaux et de soins partagés réalisés dans des délais contraints, avec une projection initiale souvent théorique des fonctionnements coopératifs et des besoins métiers. Ces SDSI devaient aussi traiter de la mise en place d’une gouvernance commune des systèmes d’information, sous la forme d’une Commission Stratégique du Système d’Information (CSSI), nommée par le Comité Stratégique du GHT. Dans les faits, cet organe de gouvernance en charge du pilotage du SDSI n’est pas toujours opérationnel et pourtant essentiel en tant que Maîtrise d’Ouvrage déléguée et reconnue, dotée de pouvoirs et au service d’un « collectif » donneur d’ordres.
Le programme PariSanté Campus est un pôle d’excellence de recherche, d’innovation, de formation et d’entrepreneuriat sur le thème de la santé numérique. Une concertation est lancée afin d’informer le public et de recueillir son avis sur les principales caractéristiques et l’opportunité du projet.
Un arrêté du 15 septembre 2021 ouvre au remboursement du système de boucle fermée hybride de la société Diabeloop pour les patients diabétiques de type 1.
L’Agence du numérique en santé a lancé une nouvelle concertation, du 16 septembre au 16 décembre 2021, sur le volet Traçabilité des dispositifs médicaux implantables en établissement de santé.
Les outils faisant appel à l’intelligence artificielle connaissent un développement fulgurant et sont utilisés avec succès dans des solutions aussi diverses que la détection de transferts de fonds suspects, l’information préventive sur une éventuelle défaillance des réseaux de télécommunications ou la télémédecine.
L’APSSIS (Association pour la sécurité des systèmes d’information de santé) a organisé ce jeudi 23 septembre à Paris ses premières « Rencontres SSI Santé », un après-midi de conférences sur ce thème. Les échanges se sont achevés avec une conférence du chirurgien-urologue et neurobiologiste Laurent Alexandre, fondateur de Doctissimo.fr. « Nous sommes en guerre », a-t-il lancé aux DSI présents dans la salle. « Et vous êtes les officiers de cette cyberguerre médicale » qui implique désormais des « cybermafias et des Etats voyous », responsables de menaces informatiques « qu’on ne pouvait même pas imaginer il y a quinze ans ».
Evolucare, en collaboration avec l’ADAPEI 16, les associations FCOL, EIRC, ADIMC et APEC de Charente, a le plaisir de vous informer de l’acceptation de son dossier de candidature au projet ESMS Numérique et de la notification d’IMAGO DU dans le cadre du marché public qui en a découlé.
Le jeudi 23 septembre, DSIH vous convie à un webinaire exceptionnel sur la gestion de l’identité dans le cadre de MaSanté 2022.
Le 14 septembre, l’Inca a annoncé la création de l’association « Filière Intelligence artificielle et Cancer », un partenariat public/privé pour accélérer l’innovation et la recherche au bénéfice des patients.
Cette année, les Rencontres du progrès médical se déroulent en trois sessions en ligne. Le 16 septembre, la deuxième session était consacrée aux « Besoins de santé et numérique : Quels enjeux pour mieux soigner ? ». Synthèse.
Le 14 septembre 2021, la CNSA a annoncé l’allocation, dans le cadre du programme ESMS numérique, de 85 millions d’euros supplémentaires pour accélérer l’informatisation du dossier des usagers des établissements et services sociaux et médico-sociaux à la suite des appels à projets lancés au cours de l’été.
Le 14 septembre, l’ANS a annoncé la tenue d’un Projectathon sur les usages des messageries sécurisées de santé, les 16 et 17 novembre 2021, pour les éditeurs, les professionnels de santé et les établissements de santé des régions de La Réunion et du Grand-Est.
L’identité numérique (IdNum) est certainement un sujet dont on va entendre parler dans les prochains mois et les prochaines années.
Depuis 2 ans, l’Institut de Cancérologie de l’Ouest fonctionne avec le logiciel Chimio® de Computer Engineering et sa solution hospitalière mobile mobiChimio. Pour les équipes soignantes, le fait de disposer d’un terminal nomade permet de sécuriser encore davantage l’administration des chimiothérapies.
Établissement de référence en santé mentale en Bretagne figurant parmi les cinq plus importantes structures françaises de psychiatrie, le Centre Hospitalier Guillaume Régnier renouvelle son dossier patient informatisé (DPI). Le DPI Sillage, édité par le groupement d’intérêt public SIB, a été retenu par les utilisateurs fortement impliqués dans le projet. Ce nouveau dossier patient va permettre d’accompagner l’établissement dans la mise en œuvre des objectifs de son Projet d’Etablissement 2021-2025 : poursuite du virage ambulatoire, renforcement des filières de prise en charge, facilitation du parcours patient et des échanges de données en amont et en aval de la prise en charge au Centre Hospitalier Guillaume Régnier.
Le GHT des Pyrénées Ariégeoises rejoint la liste des GHT – Haute Garonne et du Tarn Ouest, Yvelines Nord, Rhône Nord Beaujolais Dombes et Nord Ardennes - à avoir testé et adopté le SIHA (Système d’Information Hospitalier d’Achats) développé avec l’éditeur public Mipih en partenariat avec le Resah. Véritable levier de performance et d’efficience à moyen et long terme, le SIHA vise à franchir un nouveau pas dans la coopération, la mutualisation des besoins d’achats et l’unicité des informations au niveau des établissements de santé du territoire. Retour d’expérience croisé entre Marion Locatelli, responsable de la cellule des marchés et achats publics du centre hospitalier intercommunal des vallées de l’Ariège et Nicolas Faure chef de projet déploiement SIHA au Mipih.
Le jeudi 23 septembre, DSIH vous convie à un webinaire exceptionnel sur la gestion de l’identité dans le cadre de MaSanté 2022.
L’actualisation du Référentiel fonctionnel de certification des logiciels hospitaliers d’aide à la prescription (LAP) de médecine ambulatoire, par la HAS, a été publiée au Journal officiel du 7 septembre.
Fin août, l’Organisation mondiale de la santé a publié un nouveau répertoire des technologies sanitaires innovantes pour la Covid-19 et d’autres maladies prioritaires.
Après le Clusir Normandie, le Clusif est heureux d'annoncer l'ouverture du Clusir Bretagne et l'affiliation du Clusir Côte d'Ivoire.
228 000 personnes portant le patronyme de Martin sont nées en un siècle en France, entre 1891 et 1990, suivis de 120 000 Bernard. Parmi les 10 patronymes les plus usités en France, qui représentent à eux seuls plus d’un million de personnes, 6 sont aussi des prénoms (Martin, Bernard, Thomas, Robert, Richard, et Laurent), ajoutant encore au risque de confusion (Bernard Martin et Martin Bernard). Pour permettre une identification sans faille, l’Identité Nationale de Santé, en vigueur depuis le 1er janvier, est l’un des projets socles de la feuille de route du numérique en santé.
Le guichet de référencement des logiciels a été ouvert fin août à la suite de la publication au Journal officiel des arrêtés fixant les modalités de référencement et de financement dérivées du Ségur de la santé.
Entre l’intervention de cadrage de Dominique PON sur les enjeux, les objectifs et le calendrier de MaSanté 2022 et Mon Espace Santé, et celle de Patrick MALLEA, DG NEHS DIGITAL, sur les solutions industrielles développées par son groupe dans le cadre de l’ENS et du Ségur de la Santé, le CHU de Toulouse présentera MAX Anesthésie, un chatbot intelligent destiné à fluidifier les consultations dans les services de soins.
L’e-santé fait sa rentrée avec la campagne « Oui à la e-santé » lancée par le ministère des Solidarités et de la Santé pour que le numérique devienne « le meilleur allié de notre santé ! ».
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