Pas de scoop à l’annonce de la stratégie e-santé par Marisol Touraine, lors de la Journée Télésanté 2013, mais l’affirmation que la révolution numérique « ouvre de nouveaux horizons en matière d’organisation du système de santé ».
Comme elle le fait régulièrement, l'ANAP vient de publier un point d'étape sur les projets de Systèmes d'Information de la Production De Soins (SI-PDS) financés par le plan H2012. Ce rapport de synthèse de la 6ème campagne de revue régionale montre des progrès certains dans la conduite et l'avancée de ces projets.
Le consortium industriel ECC (ETIAM, CONSORT NT et COVALIA), premier opérateur français de télémédecine, va fournir au GCS Plate-forme SISRA de la région Rhône-Alpes, dans le cadre du projet Télé-AVC, sa solution de téléimagerie et téléconsultation.
L’insuffisance cardiaque représente en France un véritable problème de santé publique. Parmi les 2 à 3 % de la population concernés, principalement des sujets âgés, 80 % ne bénéficient pas de tous les traitements susceptibles de les maintenir en vie et 40 % ne sont pas suivis par un cardiologue.
L’association Plateforme Triangle Alpin, regroupant les Hautes-Alpes, les Alpes de Haute-Provence, le Vaucluse et la Corse, réunit des professionnels de santé libéraux et des acteurs institutionnels de ces régions afin de promouvoir la télé-dermatologie dans ces territoires, principalement ruraux et, parfois, isolés.
La téléconsultation est de plus en plus plébiscitée par la communauté des cardiologues français. Amélioration de la continuité des soins et prise en charge plus rapide des évènements indésirables sont les avantages majeurs de ces actes non encore valorisés. Le magazine DSIH, dans son dernier numéro, ouvre un dossier "Parcours de soins" au sein duquel l'urbanisation des SI est citée à plusieurs reprises. Le décloisonnement de l'hôpital vers la ville y est décrit comme un facteur majeur d'amélioration de la continuité des soins, notamment sur le volet suivi et surveillance des patients.
La télésurveillance des DCI, une pratique phare de la télécardiologie, est en passe de voir son mode de prise en charge modifié par les autorités sanitaires. Les industriels du SNITEM y voient une mesure contre-productive dans le processus de développement de la télémédecine. Le ministère de la santé semble préparer une mesure susceptible de freiner le développement de la télémédecine. Il aurait, en effet, la volonté de modifier le mode de prise en charge des systèmes de télésurveillance des Défibrillateurs Cardiaques Implantables (DCI), en intégrant le coût de ce type de matériel dans les Groupes Homogènes de Malades (GHS). Ce coût est aujourd'hui financé par une enveloppe supplémentaire allouée aux hôpitaux, puisqu'il est inscrit dans la « liste en sus » des produits et dispositifs de santé les plus dispendieux.
ETIAM, CONSORT NT et COVALIA annoncent la naissance du consortium industriel ECC, qui donne naissance au premier opérateur français de télémédecine. ECC propose une gamme complète de services fiables et sécurisés permettant aux professionnels de santé d'échanger en temps réel l'ensemble des informations nécessaires au traitement des patients par des experts distants, comme la télé-expertise, la télé-interprétation, la téléconsultation, la prise en charge du patient.... L’opérateur national ECC s'appuie sur les services et solutions suivants: * 1. ETIAM-Connect, le premier service national de téléimagerie médicale déjà utilisé par plus de 120 établissements hospitaliers en France * 2. COVOTEM, la solution leader en France pour la téléconsultation * 3. CONSORT SANTE, les solutions de visioconférence et de portail sur mesure, l’intégration, le pilotage et l’accompagnement au changement des projets de télémédecine
COMPUTER ENGINEERING déploie un nouveau module de gestion des marchés pour sa solution intégrée de la Pharmacie à Usage Intérieur (PUI) PHARMA, qui couvre désormais la plupart des activités de gestion des produits de santé. Dans le cadre de l’amélioration continue de la qualité de son offre fonctionnelle, COMPUTER ENGINEERING étend le périmètre couvert par PHARMA, la solution intégrée de gestion de la pharmacie à usage intérieur par un nouveau module de gestion des marchés.
Acteur historique du référencement des médicaments, RESIP propose sa Base Claude Bernard (BCB) en intégration dans les logiciels métiers. Cette base devient désormais BCB DEXTHER sous sa forme web. Depuis plus de 25 ans, la Base Claude Bernard (BCB) propose aux professionnels de santé une base de données complète, éditée par la Société RESIP. Elle est interfacée au cœur des logiciels métier de plus de 9000 pharmacies de ville, 20 000 médecins libéraux et 300 hôpitaux et cliniques. RESIP est un acteur clé dans le domaine de la donnée sur le médicament, et sur la parapharmacie, dermo-cosmétique, nutrition ou encore accessoires, ce qui lui permet de référencer plus de 100 000 produits.
Afin de valoriser et de mieux faire connaître ses missions et ses projets, le Groupement de Coopération Sanitaire (GCS) Esanté Poitou-Charentes réalise une émission vidéo. Le tournage est prévu jeudi 14 et vendredi 15 février dans la région. Ce travail est mené en collaboration avec le magazine des Systèmes d’Information Hospitaliers (DSIH) et le concours de Dominique LEHALLE, journaliste spécialisée dans le domaine de la Esanté.
Un positionnement lié à la vision exhaustive de l'éditeur et à sa capacité d'exécution sur le marché mondial - InterSystems Corporation, l'un des principaux éditeurs mondiaux de logiciels de santé, annonce aujourd'hui que Gartner, Inc. le classe parmi les « Visionnaires » du Magic Quadrant portant sur le marché mondial des systèmes de dossiers médicaux informatisés (DMI) d'entreprise. Dans le cadre de ce rapport, l'étude de Gartner portait sur le système d'information de santé unifiée, InterSystems TrakCare™.
Invité à s’exprimer devant les 350 participants de la Réunion Annuelle des Utilisateurs des solutions McKesson, mi-novembre, René Caillet, adjoint au Délégué général de la FHF, a souligné la nécessité de la stratégie de groupe, promue par la Fédération depuis au moins 4 ans. Pour le Responsable du Pôle Organisation sanitaire et médico-sociale, « le SIH est un concept du passé » et les établissements doivent aujourd’hui contribuer à la construction du système d’information de santé (SIS). En toile de fonds, c’est le défi de la transformation de la prise en charge des patients qu’il faut relever, « collectivement », souligne-t-il.
Selon les analystes de Berg Insight, à la fin de l’année 2011, 2,2 millions de patients étaient utilisateurs de dispositifs médicaux connectés pour le suivi de leur état de santé à domicile. L’étude du marché mondial par la société de Business intelligence spécialisée dans l’industrie des télécoms montre que les systèmes de monitoring en santé vont croître de 18% d’ici à 2016 et que le nombre de dispositifs communicants augmentera de 34,6%.
Le nouveau pouvoir en place semble plutôt réservé sur l’usage de la télémédecine, du moins en médecine ambulatoire de premier recours, si l’on croit Catherine Lemorton, Présidente de la commission des affaires sociales à l’Assemblée nationale qui a été interviewée par DSIH Magazine. De plus, on remarquera l’absence de référence au plan national de télémédecine dans le PFLSS 2013. Lors de son interview, Catherine Lemorton précise que « si la télémédecine permet un partage des connaissances et des pratiques médicales…, elle ne peut se substituer à la médecine de proximité et au contact entre le médecin et son patient ».
« Lorsque je me suis emparée du dossier, il m’est apparu que deux options pouvaient être envisagées : soit arrêter le DMP, soit faire en sorte qu’il réponde mieux aux besoins des professionnels de santé ». A l’occasion de l’examen du PLFSS (1) 2013 par les députés, Marisol Touraine a laissé entendre qu’elle donnait une nouvelle chance au DMP, en évoquant un « DMP de 2e génération »… tout en s’engageant très prudemment.
Avec un circuit opérationnel à 100% sur tous les implants depuis 2010 sur le CHU de Nîmes, le logiciel de gestion de la Pharmacie à Usage Intérieur et du circuit du médicament Pharma de Computer Engineering répond pleinement aux besoins et aux attentes des utilisateurs. Avec plus de 10 000 DMI implantés au CHU de Nîmes en 6 mois, pour Delphine Bourin (Pharmacien et Praticien Hospitalier au CHU de Nîmes) : « un outil gérant le circuit des Dispositifs Médicaux Implantables est indispensable ». Vision en temps réel des stocks, simplification des inventaires, traçabilité totale de la réception dans l’établissement à la pose au patient, allègement des tâches administratives (Fichcomp), les avantages tant sur le plan de fiabilité, de la rapidité que de la sécurité sont nombreux.
Avec une capacité d’accueil de 690 détenus, le centre pénitentiaire de Bourg-en-Bresse a ouvert en 2010 et utilise depuis maintenant 2 ans l’outil Pharma de Computer Engineering. La mission des Unités de Consultations et de Soins Ambulatoires (UCSA) est " d'assurer aux personnes détenues une qualité et une continuité des soins équivalente à celles offertes à la population générale" (DGOS) : consultation, soin mais aussi dispensation des médicaments. Toutefois, le circuit du médicament a, dans les UCSA, de nombreuses spécificités par rapport à un service de soin dit « classique » : prise en charge d’un grand nombre de patients aux pathologies diverses, contrôles réguliers des différentes instances, gestion des fréquents mouvements de patients à travers les différentes unités carcérales, vigilance quant à la pratique du mésusage des traitements…
Les résultats de l’enquête « Charges et ressources SIH 2010 » viennent d’être publiés par l’Agence Technique de l’Information sur l’Hospitalisation (ATIH). Cette enquête, menée auprès des établissements hospitaliers publics et privés, demandait à ces derniers de renseigner les budgets d’exploitation et d’investissement notamment, alloués pour les systèmes d’information. Les données, validées par les ARS, étaient collectées sur la plate-forme dédiée CABESTAN mise à disposition par l’ATIH.
Après une consultation qui a duré près d’un an, le Centre Hospitalier de Royan a confié à McKesson la mise en oeuvre de son DPI et s’assure ainsi d’une meilleure prise en charge globale de ses patients. Le Centre Hospitalier de Royan fait partie du territoire de santé du Sud-Est de la Charente Maritime. D’une capacité de 290 lits et places installés qui se répartissent sur 2 communes, le Centre Hospitalier dessert un bassin de population de près de 66 000 habitants permanents. Il est constitué de 6 pôles : 3 pôles cliniques et médico-techniques et 3 pôles de support. L’établissement a engagé depuis plusieurs années une adaptation et une évolution de son système d’information. Parallèlement aux améliorations techniques de l’infrastructure informatique, aux évolutions réglementaires et fonctionnelles des applicatifs administratifs et de pilotage, techniques et logistiques, au développement d’une politique de sécurité et d’évaluation du système d’information, le Centre Hospitalier a souhaité porter ses efforts sur l’informatisation des services cliniques.
Le comité de pilotage du programme Hôpital Numérique s’est réuni le 26 septembre dernier, à l’appel de la Direction Générale de l’Offre de Soins (DGOS), afin de réaliser un point sur les avancées de ce projet. Cette rencontre, la 7ème du nom, a permis en outre de valider et de diffuser une boite a outils d’autodiagnostic, destiné aux établissements de santé, afin que ceux-ci puissent atteindre les pré-requis du programme qui portent, rappelons le, sur 3 items que sont les identités et mouvements, la fiabilité et la disponibilité, la confidentialité.
« L’hôpital se doit d’être un acteur hors les murs », déclarait Jean Debeaupuis au Dauphiné Libéré début avril dernier. Le nouveau patron de la Direction générale de l’offre de soins (DGOS), qui s’installe à son poste ce 1er octobre, participait alors, dans ses fonctions de directeur général du CHU de Grenoble, au lancement d’une vaste expérimentation de télésanté.
Claude Evin, Directeur Général de l’ARS Ile-de-France, a installé le Comité d’Orientation Stratégique des Systèmes d’Information de Santé (COSSIS). Le comité d’orientation devra faire toute proposition pour favoriser le développement des systèmes d’information de santé (SIS) et évaluer leur mise en oeuvre, émettre des recommandations sur le programme et le budget annuel régional, proposer des études prospectives sur tout domaine d’intérêt relatif aux SIS et émettre un avis sur le schéma directeur régional des SIS et ses évolutions.
Le chariot numérique permet d’accéder aux dossiers médicaux plus facilement. « Si on peut passer moins de temps dans la paperasse, ce sera du temps en plus pour accueillir le patient », estime le docteur Serge Gallet. - Seher TURKMENEn 2011, le centre hospitalier s’est lancé dans un grand chantier numérique. La première étape : le dossier patient informatisé.
Après avoir obtenu en mars dernier l’autorisation de mise en oeuvre de la plateforme COMEDI-e permettant la réalisation d’actes de télémédecine, le GCS e-Santé Picardie a obtenu fin mai 2012 l’autorisation de mise en oeuvre du volet télé radiologie. La CNIL a autorisé la mise en oeuvre par le GCS e-santé Picardie de la plateforme Comedi-e permettant la réalisation d’actes de télémédecine, au sens du décret d’octobre 2010.
Dans le cadre d’une opération spéciale, VIDAL propose son application VIDAL Monographies 2012 pour les smartphones Android au prix exceptionnel de 9,99€ TTC jusqu’au 28 février 2013. Pour ce prix, les acheteurs bénéficient d’une application utilisable sans limite dans le temps. En revanche, ils disposeront d’une mise à jour unique des données en décembre 2012*.
Constatant la multiplication dans la presse d’interprétations sommaires du résumé du rapport de la Cour des comptes sur les coûts du Dossier Médical Personnel (DMP), la direction de l’ASIP Santé estime nécessaire de répondre afin d’apporter son éclairage sur un sujet complexe aux implications multiples. Un tel sujet ne peut en effet être traité avec cette légèreté.
Coût, retard, défaillance, problématique de confidentialité et de sécurisation des données… le DMP fait encore parler de lui. En 6 ans (2005-2011), la mise en œuvre du DMP a couté 210 millions d’euros pour un résultat qui n’est pas à la hauteur des espérances. Si l’Asip Santé prévoyait l’ouverture d’un million de dossier en 2013, à ce jour, seuls 190 000 sont ouverts…
A la suite de propositions de plusieurs organisations professionnelles, l’ASIP Santé a publié le 1er août 2012 le cahier des charges de l’appel à projet « inscription du DMP dans la formation médicale continue ». Ce programme d’expérimentation de parcours de formation au DMP s’adresse aux organismes de formation de dimension nationale, agréés par l’Organisme Gestionnaire Conventionnel de la formation continue (OGC FCP), qui souhaitent intégrer le DMP dans leur offre et le proposer ainsi à un grand nombre de médecins libéraux.
Soulac sur Mer, le 24 juillet 2012 – IMAGINE Editions, spécialiste en conception, développement et édition de logiciels médicaux et paramédicaux a respecté un ensemble de règles de bonne pratique pour la certification de sa solution logicielle HelloDoc selon le référentiel de la Haute Autorité de Santé.
Dans une interview publiée en juillet par le Cercle des Décideurs en Santé, Philippe Burnel, Délégué à la stratégie des systèmes d'information de santé (DSSIS) revient sur les chantiers prioritaires et les travaux en cours autour de la mise en place d’une stratégie e-santé.
Cestas, 11 juillet 2012 — Le mois de juillet sonne la fin de l’expérimentation « DMP en établissement » de l’ASIP santé lancé en 2011. McKesson a significativement et qualitativement contribué au succès de cette expérimentation sur le volet de l’alimentation du DMP avec 5 établissements retenus :
Décembre 2009, la région Rhône-Alpes se dote d’un dispositif permettant l’échange de documents médicaux par internet de manière sécurisée et entre professionnels de santé identifiés par le patient. Le médecin traitant peut par exemple accéder en temps réel aux informations1 concernant un patient qu’il prend en charge sans attendre la réception du courrier envoyé par l’hôpital. Pour cela, il est informé par messagerie électronique qu’une information concernant un patient est disponible. Pour y accéder, il doit simplement se connecter sur internet sécurisé avec sa carte à puce personnel (carte CPS2) et son code confidentiel qui garantissent de son identité.
Après un déploiement réussi des plates-formes McKesson sur 9 hôpitaux (3200 lits), le SSA met en place une infrastructure renforcée grâce à un nouveau marché 2011-2015.
Après trois ans de discussions, une « charte des Bonnes pratiques en Système d’Information de Santé » vient d’être présentée à l’occasion d’une conférence de presse organisée dans les locaux de la FHF. Que recouvre-t-elle ? Les groupements professionnels des prestataires en systèmes d’information de santé (LESISS, ASINHPA et Syntec Numérique*) ont validé avec la Fédération Hospitalière de France un document de 4 pages visant à améliorer les relations entre prestataires et donneurs d’ordre sur le terrain de l’interopérabilité.
Dans une recherche d’homogénéisation des pratiques, les Hôpitaux privés de Metz ont fait le choix du logiciel DIAMM de la société Micro 6. Ecoute, réactivité et pragmatisme ont apparemment fait pencher la balance. Selon Pierre Bour, RSI des 3 établissements en cours de rapprochement, « l’éditeur Micro 6 a tout d’abord permis une prise de risque financier mesurée.
Les centres hospitaliers Henri Dunant de la Charité sur Loire, de Lormes, de Cosne sur Loire, de Château Chinon et de l’Agglomération de Nevers se sont associés pour l’acquisition et le déploiement d’un système d’information de production de soins partagé sur le territoire de santé de la Nièvre.
Référence incontournable de l’information sur le médicament et la parapharmacie, VIDAL annonce la disponibilité de la nouvelle version de son application phare : VIDAL Mobile Téléchargée par plus de 30 000 professionnels de santé depuis son lancement en 2010, l’application VIDAL Mobile reprend les caractéristiques qui ont fait son succès :
Dans une interview croisée donnée à DSIH magazine, Bruno Folliet, DSI du centre médical Rey-Leroux à La Bouëxière et Jean-Marie Martin, Directeur administratif et financier de la clinique des Cèdres à Echirolles nous décrivent les étapes d’une phase préparatoire pour la migration du SIS Calystene vers Futura Smart Design, un outil entièrement tactile et centré autour de Web services adaptés à chaque pratique professionnelle.
déclarait Marisol Touraine, nommée ce mercredi Ministre des Affaires Sociales et de la Santé du Gouvernement AYRAULT, à DSIH Magazine en janvier 2012 Dans le cadre de son dossier en Une de janvier : « Numérique et santé: les Politiques ont-ils pris la mesure de l'enjeu ? », DSIH a donné la parole à Mme Marisol Touraine, qui s’exprimait en tant que Secrétaire Nationale à la Santé et à la Sécurité Sociale au sein du Parti Socialiste.
Au Centre hospitalier d’Annecy, l’informatisation du circuit du médicament ne fait plus état de projet mais est bel et bien une réalité. Cet établissement, précurseur dans le domaine, a mené depuis cinq ans de nombreux travaux autour de cette problématique et a depuis confié à Computer engineering, et notamment à son logiciel Pharma, la gestion du circuit du médicament au sein de ses établissements.
Initiée par le CATEL (Réseau de Compétences en Télésanté), une délégation de plus de 20 Français s’est rendue à San Jose, en Californie, à l’occasion de la Convention annuelle de l’ATA (American Telemedicine Association) qui a réuni, fin avril, quelque 5000 participants du monde entier et 250 exposants.
Présentera ses solutions et son expertise dans la gestion du dossier patient sur son stand W139 et sur le plateau Télé du salonInterSystems Corporation , l'un des principaux éditeurs mondiaux de logiciels novateurs dans le domaine de la Santé, sera présent du 22 au 25 mai 2012 sur le salon HIT 2012 (Health Information Technology) Porte de Versailles.
Paris, le 10 mai 2012 • La mise à disposition d'une messagerie sécurisée pour les professionnels de santé constitue une priorité des pouvoirs publics. • Elle répond à un besoin exprimé par les professionnels de santé de pouvoir échanger des informations et mieux se coordonner dans la prise en charge de leurs patients en toute sécurité.
Après avoir déployé avec succès le circuit du médicament pour l’ensemble des lits (déploiement assuré de 2008 à 2011), le Centre Hospitalier de Martigues a décidé début 2011 de lancer un dialogue compétitif pour unifier l’ensemble des fonctions de production de soins (dont le PMSI) dans un dossier patient d’établissement.
A l’heure où en France tous les clignotants industriels sont au rouge vif - au nombre desquels ceux des systèmes d’information de santé – l’hypothèse d’une nationalisation de ces SIS peut sembler iconoclaste. Au point où nous en sommes, dans sa « Lettre ouverte au futur Président de la République » que vient d’adresser LESISS aux deux candidats finalistes, c’est l’une des alternatives évoquées.
La Direction générale de l’offre de soins a réuni le 2 avril dernier le comité de pilotage « Hôpital numérique », programme national dont l’objectif porte sur la modernisation des systèmes d’information hospitaliers (SIH). Cette réunion, présidée par François-Xavier Selleret, directeur général de l’offre de soins, a permis de faire un point sur l’avancement des 4 axes du programme Hôpital numérique et de valider le lancement de 3 chantiers majeurs.
Grâce à une importante politique de recherche, VIDAL, spécialiste de l'information sur les produits de santé, propose aujourd’hui des outils d’analyse médico-économique pour optimiser le PMSI et la T2A. VIDAL participe depuis une dizaine d’années à des projets de recherche français et européens de constitution de référentiels d’interopérabilité et d’aide à la décision comme le PSIP (Patient Safety through Intelligent Procedures in Medication) qui permet d’exploiter les données textuelles des dossiers patients pour détecter les risques d’effets indésirables, ou encore le projet ALADIN
A l’occasion de la journée "Télésanté 2012" organisée le 29 mars par le Catel, le nouveau directeur général de l’offre de soins (DGOS), François-Xavier SELLERET, a révélé la liste des huit lauréats de l’appel à candidatures lancé le 31 janvier pour l’accompagnement de projets pilotes en télémédecine. Les projets retenus bénéficieront d’un appui méthodologique pendant deux ans, fourni, entre autres, par l’ASIP Santé.
Jérôme Duvernois, ancien directeur de la stratégie de Softway Medical et ancien président de la fédération LESISS, intègre l'ASIP Santé afin de renforcer la stratégie industrielle de l'agence.
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