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L’intérêt du secteur de la santé pour l'Internet des objets (IoT) et les technologies de transmission de données va croissant. Téléassistance, diagnostic précoce et prévention des complications, amélioration de l’observance, … les raisons sont nombreuses pour expliquer la demande. Fort de ses solutions de connectivité éprouvées depuis plus de 10 ans, Matooma propose aux fabricants de dispositifs médicaux et autres acteurs de santé d’exploiter pleinement le potentiel de l'IoT pour améliorer les soins de santé et la qualité de vie des patients. Echanges avec Karim Hamadi, directeur commercial et service client de la société française, rachetée en 2019 par le groupe Wireless Logic.
L’Institut de Cancérologie de l’Ouest et l’Institut Bergonié, centres de lutte contre le cancer, le Centre Hospitalier Intercommunal de Mont de Marsan et le Digital Medical Hub (DIMH) s’associent en créant le tiers-lieu « Onco-Atlantique » pour améliorer les parcours complexes des patients en oncologie : des biomarqueurs à une prise en charge « hors les murs ».
Il a porté une délégation francophone de plus de 40 acteurs de santé au congrès HIMSS 2024 et atterri juste de 8 jours riches d’échanges et de découvertes. Stéphan Haaz, directeur général du CATEL, qui se présente comme un incubateur de Communautés e-santé, revient pour DSIH sur les enseignements de ce déplacement au cœur de la e-health américaine !
Un arrêté de fin décembre, paru au Journal officiel du 7 janvier 2024, modifie les montants forfaitaires de l’activité de télésurveillance médicale prise en charge par l’assurance maladie ainsi que les modulations applicables à ces tarifs et la périodicité de leur révision.
La télésanté regroupe les activités de santé médiées par un outil numérique : téléconsultation, téléexpertise, télésurveillance, téléassistance, télérégulation, télésoins... En mettant en relation les patients et les professionnels de santé ou les professionnels de santé entre eux, elle permet la réalisation de nombreux actes : établissement de diagnostics, suivi renforcé de patients à risques, sollicitation d’avis spécialisés, prescription de produits ou d’actes, surveillance de patients à domicile, actes de rééducation...
A l’occasion du Conseil du Numérique en Santé et de l’anniversaire de Paris Santé Campus, Aurélien ROUSSEAU, ministre de la Santé et de la Prévention, Roland LESCURE, ministre délégué chargé de l’Industrie, ont annoncé 10 nouveaux lauréats de l'appel à projets « Accompagnement et soutien à la constitution d'entrepôts de données de santé hospitaliers » et 9 nouveaux lauréats de l'appel à projets « Evaluation du bénéfice médical et/ou économique des dispositifs médicaux numériques ou à base d'intelligence artificielle ».
« Dans la santé, l’informatique ne se résume pas à la technique. C’est de l’humain et des projets à construire et consolider. » En plus de 20 ans de carrière, Thierry Jacquemin a eu plusieurs vies. Tour à tour directeur des systèmes d’information en établissement hospitalier, chargé de mission en ARH ou consultant en organisation, il a eu l’occasion d’accomplir de nombreuses missions, de la gestion d’appels d’offres au pilotage d’expérimentation, en passant par la gestion d’un service… Il nous dit tout de son métier, appelant la jeunesse en quête de sens à s’y intéresser.
Présent sur le secteur de la santé depuis près d'une dizaine d’années, le groupe La Poste a annoncé mi-octobre lors de l’événement Horizon Santé 360 la création de La Poste Santé & Autonomie. Pilotée par Dominique Pon, La Poste Santé & Autonomie ambitionne de devenir un partenaire de référence autour des services de proximité humaine pour la santé à domicile, et des services numériques de confiance pour les données de santé grâce notamment à l’expertises de Docaposte et de ses filiales, Maincare, Heva et WELIOM.
La Poste Santé & Autonomie, nouvel opérateur unique pour les activités santé du groupe La Poste, a annoncé mercredi le lancement de Careside, une plateforme industrielle globale de services patients, allant de l’administratif à la télésanté, en passant par les services et la coordination.
Un arrêté, publié le 17 août au Journal officiel, fixe à 50 euros mensuels par patient les forfaits techniques pour l’exploitant ou le distributeur au détail mettant à disposition un dispositif médical numérique de télésurveillance.
En juillet, l’Assurance maladie a publié son rapport annuel de propositions avec une analyse et des propositions concrètes pour améliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses. Il y est notamment proposé d’apposer un « label d’État » aux meilleures applications Santé disponibles sur smartphone.
… mais un acteur du dispositif oublié : les PSAD, maillon pourtant indispensable entre les prescripteurs, les solutions de télésurveillance et les patients
Le 27 juin dernier, Ramsay Santé a annoncé le déploiement de Resilience, une solution de suivi à distance et d’accompagnement des personnes touchées par le cancer, dans 11 de ses établissements.
Le Congrès Médi’Nov 2023 s’est tenu à Lyon les 31 mai et 1er juin. Lors d'une table ronde animée par DSIH, intitulée « Suivi du patient à distance : une révolution technologique en marche ». Interview blian avec le Dr Frédéric Le Guillou, président de l’association Santé respiratoire France et president elect de la Société française de santé digitale, l’un des intervenants de la séance.
A l’occasion de Santexpo, le 24 mai, la HAS a annoncé la finalisation de son guide généraliste d'aide au choix pour les dispositifs médicaux numériques à usage professionnel, avant une déclinaison par spécialité.
L’écosystème de la santé est l’un des plus foisonnant en France, et compte pas moins de 600 jeunes sociétés spécialisées dans l'aide au diagnostic, la téléconsultation et la télésurveillance, la prévention et le bien-être, l'organisation du cabinet médical, la formation et la qualité de vie au travail des professionnels, etc.
Nous sommes très heureux de voir une solution intégrée via Lifen Platform devenir la première solution à obtenir son certificat de conformité au référentiel interopérabilité.
La prochaine édition de Médi’Nov Connection accueillera huit tables rondes éclairant les différentes problématiques de la filière MedTech. Sa première journée, le 31 mai, sera focalisée sur les aspects réglementaires et la nécessité de partenariats au service des dispositifs médicaux. Le 1er juin, seront mises en lumière les différentes facettes de la santé digitale et des DM connectés.
Suite à la publication le 30 mars dernier d’un décret sur les modalités d’application de la prise en charge anticipée des dispositifs médicaux numériques et des activités de télésurveillance médicale, la Sécurité Sociale prendra en charge ce dispositif à hauteur de 100 %. En anticipation de ce décret, l’Hôpital Fondation Rothschild propose déjà à ses patients trois programmes de télé-accompagnement, l’un en cardiologie et les deux autres en diabétologie.
Corinne Roldo est directrice adjointe au département Stratégie, Innovation et Territoires du CHRU de Nancy. Elle occupe également la fonction de référente Télémédecine de l’hôpital en binôme avec le Pr Mathias Poussel, vice-président de la CME du CHRU et président de la CMG du GHT Sud Lorraine. Elle revient pour nous sur la stratégie de télémédecine mise en place au CHRU de Nancy, et plus particulièrement sur le choix d’implémenter Omnidoc comme solution de téléexpertise.
La HAS a lancé une consultation publique sur son guide généraliste d’aide au choix pour les dispositifs médicaux numériques à usage professionnel. Elle est ouverte jusqu’au 30 avril 2023.
Le ministère de la santé et de la prévention, le syndicat national de l’industrie des technologies médicales (Snitem), France Digitale et France Biotech ont signé un protocole d’accord instaurant la création d’un comité de suivi relatif à la mise en œuvre de l’entrée dans le droit commun de la télésurveillance et de son déploiement sur le territoire.
Le 31 mars 2023, le Journal officiel a publié un décret sur la prise en charge anticipée des dispositifs médicaux numériques à visée thérapeutique et des activités de télésurveillance médicale par l’Assurance maladie.
Le think tank Innovation Days s’est rendu, le 23 mars, à l’Élysée pour présenter au conseiller technique Industrie, Recherche et Innovation ses propositions d’amélioration d’ici à dix ans de l’offre de soins au bénéfice de tous les patients et des soignants.
L’oncologie évolue notamment avec l’avènement des thérapies orales. Ce qui soulève de nouveaux enjeux pour les patients et pour l’ensemble des acteurs de sa prise en charge. Les nouvelles solutions numériques répondant aux besoins à la fois des professionnels de santé et des patients doivent assurer l’accompagnement, la coordination, la qualité et la sécurité de la prise en charge ambulatoire.
Quelles étapes respecter pour assurer le déploiement d’une solution de pré-admission en ambulatoire ? Retour sur expériences de la Polyclinique Saint Privat (Hérault), pour souligner l’importance de la communication interne et de la gestion de projet assurées par les éditeurs.
Lors d’une journée d’échanges organisée le vendredi 3 mars à Lille, le réseau national France Biotech est venu à la rencontre des acteurs de l’innovation santé des Hauts-de-France. Dans le contexte favorable du Plan Innovation Santé France 2030, créer des ponts et des synergies entre parties prenantes, quelles soient publiques ou privées (structures de recherche, établissements de soins, structures de formation, entrepreneurs,…) est essentiel. Cette journée a été l’occasion de partager les résultats du Panorama national de la Healthtech réalisé par France Biotech et de souligner les atouts de l’écosystème des Hauts-de-France ainsi que la force de son collectif, comme l’illustre la candidature lilloise à l’AMI Biocluster, porté par plus de 120 structures du territoire.
Les dispositifs médicaux font partie intégrante de la prise en charge médicale, ceux qui intègrent une fonction numérique peuvent générer un grand nombre de données de vie réelle et ouvrent la voie à une médecine plus personnalisée. Ces données permettent, par exemple, de renforcer le suivi entre deux consultations, de contribuer à l’accompagnement thérapeutique, d’anticiper des complications, ou d’améliorer la coordination des professionnels de santé.
Le 16 février 2023, le collectif Télésurveillance médicale créé par le Catel a publié des recommandations pour favoriser un déploiement d’usages efficace, au service des patients.
La Haute Autorité de santé (HAS), en charge de l’évaluation des dispositifs médicaux numériques (DMN), a annoncé le 12 janvier la mise en place d’un guichet unique d’évaluation pour répondre aux spécificités des DMN à visée thérapeutique et de télésurveillance médicale.
Le 6 janvier 2023, La Poste et le fonds Patient autonome de Bpifrance ont annoncé la fusion de leur participation Nouveal avec Maela pour constituer un acteur de référence de la télésurveillance.
Deux décrets parus au Journal officiel du 31 décembre 2022 définissent la prise en charge et le remboursement des activités de télésurveillance médicale ainsi que le contenu de la déclaration des activités de télésurveillance médicale aux ARS.
Un arrêté du 19 décembre 2022 prolonge l’expérimentation, au titre de l’article 51 de la LFSS pour 2018, de la « prise en charge avec télésurveillance du diabète gestationnel » et autorise l’inclusion de plus de 2 000 patientes supplémentaires.
Mi-décembre, PariSanté Campus et Bpifrance ont annoncé le lancement d’un programme d’accompagnement en faveur de l’innovation dans la prévention en santé, avec un fonds d’investissement de 100 millions d’euros.
Le 21 octobre, lors de son colloque annuel, l’UFSBD a présenté le programme Oralien de télésurveillance bucco-dentaire développé avec DentalMonitoring.
La télésurveillance médicale devait entrer dans le droit commun le 1er juillet 2022, mais aucun décret en ce sens n’a été publié. Cette avancée devrait finalement avoir lieu en juillet 2023.
La quatrième édition de l’événement Pharma HealthTech, organisé par Pharmaceutiques et TechToMed, était consacrée ce 21 septembre à l’intelligence artificielle. Lors de plusieurs tables rondes, les invités ont détaillé son potentiel, en rappelant qu’il reste à trouver le modèle d’affaires qui permettra de construire une stratégie économique performante et compétitive de la donnée.
Le 1er août, l’ANS a annoncé l’ouverture du guichet sur la conformité des dispositifs médicaux numériques de télésurveillance en vue de leur remboursement. Il s’agit d’offrir un cadre de prise en charge spécifique à la télésurveillance, au bénéfice des patients et des professionnels de santé.
Le 4 juillet 2022, le Catel, incubateur de communautés e-santé depuis près de 25 ans, a annoncé le passage de relais de Pierre Traineau, dirigeant et cofondateur de l’agence, à Stephan Haaz, directeur général adjoint depuis sept ans.
La solution de télésurveillance Moovcare s’intègre à Lifen Platform pour permettre un meilleur bénéfice patient et des interventions plus réactives des équipes médicales. Grâce à son intégration à la plateforme, Moovcare va pouvoir se déployer au sein de plus de 600 établissements.
Le 23 mai, l’Agence du numérique en santé a annoncé la mise en ligne d’une nouvelle version de Convergence au service du développement des industriels en santé ou des Grades et de leur stratégie réglementaire en e-santé.
La médecine s’est toujours appuyée sur les nouvelles technologies pour améliorer les diagnostics et les traitements. On assiste à présent à une explosion des données de santé qui constituent le moteur de l’innovation d’une médecine qui s’adapte dans le même temps aux contraintes de la société moderne. Médecine personnalisée et services de santé à distance progressent au prix d’infrastructures informatiques toujours plus conséquentes qui expliquent le mouvement vers le cloud des organisations de santé.
L’Institut national de la e-santé, institué au Mans le 5 mai 2022, veut promouvoir la connaissance et le développement de l’écosystème de l’e-santé par la formation et l’accompagnement de ses acteurs. Rencontre avec son président, le Pr Fabrice Denis, oncologue.
Le 15 avril 2022, l’Anap a lancé une plateforme nationale pour partager les solutions d’intelligence artificielle en santé et appelle les opérateurs à postuler. Elle a déjà référencé une vingtaine de projets.
Alors que le vieillissement de la population s’accélère, tant en France qu’à l’international, chacun tente de trouver des solutions adaptées pour accompagner au mieux la population grandissante des séniors et maintenir leur qualité de vie. C’est le cas de la ville de Slupsk, située au Nord de la Pologne, qui a fait le choix il y a maintenant quatre ans de déployer une solution de téléassistance alliant smarthouses et objets connectés, au service de ses habitants séniors. Retour sur le projet et les résultats obtenus.
Depuis le 9 mars 2022, OdySight, jeu mobile doté de modules médicaux recommandé dans la surveillance rapprochée de patients atteints de maladies chroniques ophtalmiques, est remboursé après expérimentation dans le cadre du dispositif de l’« article 51 » sur l’innovation.
La généralisation du remboursement de la télésurveillance médicale est prévue au plus tard le 1er juillet 2022. La HAS publie aujourd'hui un référentiel pour les solutions de télésurveillance pour chacune des quatre pathologies suivantes : diabète, insuffisance cardiaque chronique, insuffisance rénale chronique et insuffisance respiratoire chronique. Ces quatre référentiels permettront aux industriels et aux professionnels de santé de se préparer au cadre pérenne en ayant connaissance des exigences – techniques et organisationnelles, retenues par la commission nationale d'évaluation des dispositifs médicaux et des technologies de santé (CNEDiMTS). Pour la HAS, la télésurveillance est un dispositif qui peut faciliter le suivi médical et peut présenter des bénéfices à la fois pour les patients, les aidants et les professionnels de santé.
Un arrêté du 27 décembre 2021 prolonge l’expérimentation, au titre de l’article 51 de la LFSS pour 2018, de la « prise en charge avec télésurveillance du diabète gestationnel » et autorise l’inclusion de plus de 2 000 patientes supplémentaires.
Fin décembre, l’ARS Île-de-France a autorisé l’expérimentation Vigie-Âge, portée par le CH Rives de Seine, qui permet la télésurveillance de personnes âgées en situation de maladie aiguë ou chronique.
L’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) a annoncé le 29 décembre 2021, l’étude ComPaRe qui évalue l’amélioration potentielle de la prise en charge des malades chroniques grâce aux innovations mises en place pendant la pandémie.
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