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L’Institut de Cancérologie de l’Ouest et l’Institut Bergonié, centres de lutte contre le cancer, le Centre Hospitalier Intercommunal de Mont de Marsan et le Digital Medical Hub (DIMH) s’associent en créant le tiers-lieu « Onco-Atlantique » pour améliorer les parcours complexes des patients en oncologie : des biomarqueurs à une prise en charge « hors les murs ».
Les services des urgences traversent une crise profonde, confrontés à une affluence exponentielle en regard du sous-dimensionnement de leurs équipes et infrastructures.
Lors de son assemblée générale du 6 décembre dernier, l’Agence du numérique en santé a validé ses priorités 2024, adossées aux quatre axes de la feuille de route ministérielle du numérique en santé 2023-2027.
L’intelligence artificielle dans le domaine de la santé constitue d’ores et déjà une réalité opérationnelle pour l’amélioration de l’efficacité et de l’efficience de notre système de santé. Le SIB s’est emparé du sujet. Entretien avec Claudie David, Directrice de l’Innovation du SIB.
WELIOM, en partenariat avec ALL4TEC, a développé une approche unique pour la gestion des risques de sécurité de l’information dans le domaine de la santé. Grâce à l’outil Agile Risk Manager (ARM), la méthode EBIOS RM certifiée par l’ANSSI a été adaptée pour répondre aux besoins spécifiques des établissements de santé.
Le 12 octobre, l’Atih a publié les chiffres clés de l’hospitalisation en France issus du PMSI. Elle donne ainsi une vision globale de l’activité des établissements de santé en 2022 et livre des comparatifs avec les années précédentes.
Le 10 octobre 2023, la Direction de l’innovation, de la recherche et de la transformation numérique de l’ARS Île-de-France a communiqué la liste des lauréats de l’édition 2023 de l’appel à projets « Innovation organisationnelle s’appuyant sur une solution technologique ou numérique ».
Le 5 septembre, le Grades e-santé Occitanie a annoncé le démarrage de l’expérimentation d’un nouveau service numérique pour l’hospitalisation non programmée d’un patient : ViaTrajectoire Hospitalisation non programmée.
À l'ère de la technologie et de l'innovation, il est primordial d'améliorer l'expérience des patients dans les hôpitaux. Le Centre Hospitalier de Bigorre est le tout premier établissement de santé à avoir testé – et adopté – le module de ‘Remboursement des Organismes Complémentaires’, sur sa Gestion Administrative du Patient : Pastel, développé par l’éditeur public Mipih. Depuis maintenant plus d’un an, ce module vient fluidifier les échanges en temps réel entre les établissements et les complémentaires santés. C’est une avancée attendue par de nombreux centres hospitaliers, notamment sur l’automatisation de la facturation, du paiement et du recouvrement de la part complémentaire, mais aussi sur la fiabilisation des données. Côté patient, cette nouvelle fonctionnalité, leur permet de bénéficier désormais d’une visibilité accrue sur leur Reste à Charge (RAC) et à l’ensemble des informations relatives à leur séjour à l'hôpital, leur donnant ainsi une vision globale de leurs parcours de soins.
Nicolas SALVI est nommé Directeur Général du Centre Hospitalier de Valenciennes, en direction commune avec le Centre Hospitalier de Fourmies et assurera également la direction du Groupement Hospitalier de Territoire (GHT) du Hainaut-Cambrésis. Il prendra ses fonctions le 1er septembre prochain. Son objectif, avec l’ensemble de la communauté hospitalière, est le développement de l’offre de soins et de l’attractivité de l’hôpital, en parallèle de la mise en oeuvre du futur projet d’établissement et l’accompagnement de la réalisation du nouveau schéma directeur immobilier.
La HAS a publié fin juillet une note de cadrage sur la standardisation des dossiers de liaison d’urgence et, plus globalement, des synthèses médicales en vue de leur numérisation.
… mais un acteur du dispositif oublié : les PSAD, maillon pourtant indispensable entre les prescripteurs, les solutions de télésurveillance et les patients
Le 30 juin, le ministère de la Santé et de la Prévention et la DGOS ont publié au Bulletin officiel Santé-Protection sociale-Solidarité un guide d’aide à la préparation au volet numérique du plan blanc.
Le 28 juin, la société Deeptech OSO-AI, l’AP-HP et Sorbonne Université ont annoncé le lancement d’un partenariat pour l’implémentation d’une oreille augmentée pilotée par IA et le développement de nouvelles fonctionnalités en pneumologie.
Simple d’utilisation, Efficience garantit l’obtention rapide de données médicales fiables et pertinentes pour la prise en charge des patients en s'appuyant sur les services socles nationaux de la e-santé. Elle sera présentée à l’occasion du Congrès Urgences.
Le Groupement hospitalier de territoire de La Réunion renouvelle son dossier patient informatisé. C’est le groupement d’intérêt public SIB qui a été retenu à l’issue d’une procédure avec négociation menée auprès de cinq éditeurs. Le Dr Michel Bohrer, responsable du département de l’information médicale du Centre hospitalier universitaire et du GHT de La Réunion, et directeur du projet, donne des détails sur les raisons de ce choix.
Le CHRU de Nancy a mis en place avec succès un dispositif d'optimisation du parcours du patient (OPP), s'appuyant sur un logiciel de gestion des lits et une plate-forme de coordination de l'activité. Son déploiement a nécessité un long travail sur la gouvernance, ont témoigné les responsables du projet lors d'une table-ronde sur le stand de Dedalus à l'occasion du salon Santexpo, le 25 mai à Paris.
Par un arrêt du 11 avril 2023, la Cour administrative d’appel de Paris a statué sur la licéité d’un traitement de données à caractère personnel relatif au dossier médical d’un patient. Cette décision est particulièrement éclairante sur les contours des droits et obligations des parties prenantes : la personne concernée/le patient, d’une part, et le responsable du traitement/l’établissement ou le professionnel de santé, d’autre part.
Le 20 avril 2023, la Société française de radiologie a lancé un appel en faveur d’un usage pondéré de l’intelligence artificielle appliquée au domaine de la santé via un partage d’expérience et d’expertise.
La news a été diffusée par plusieurs médias spécialisés : le dossier patient (DP) de Pierre Palmade à l’AP-HP a été consulté à de multiples reprises par des personnels n’ayant rien à voir avec la prise en charge médicale de l’humoriste… voire travaillant dans l’un des établissements de l’AP-HP où il n’était pas hospitalisé. Il s’agit d’un accès indu au DP (ou de curiosité malsaine en langage courant). C’est illégal et c’est puni par la loi. Cela étant, le sujet est très complexe. Décryptage.
Impossible d’être passé au travers tant l’info a fait le tour de l’actualité cyber : jeudi dernier le CHU de Brest était la victime d’une attaque cyber. Soyons clair : à ce stade, même si la communauté des RSSI hospitaliers dispose de plusieurs éléments techniques, impossible de divulguer quoi que ce soit dans un média ouvert sur ladite attaque pour des raisons évidentes de protection des SIH.
L’Agence du Numérique en Santé (ANS) a publié le 21 février la nouvelle version de la doctrine du numérique en santé. Ce document, qui fournit le cadre de référence dans lequel les services numériques d’échange et de partage de données de santé devront s'inscrire dans les années à venir, comprend deux nouveaux chapitres sur SAS et Via Trajectoire.
Pour assurer la chaîne complète de prise en compte des patients en cas de crises d’ampleur, qu’elles soient locales, régionales ou nationales, le Portail SI-Samu (outil collaboratif des professionnels de l’urgence et de prise en charge médicale des patients lors d’évènements majeurs), SI-VIC (solution d’identification et de suivi des victimes d’attentats ou de situations sanitaires exceptionnelles) et SINUS (système d’information pour le dénombrement des victimes du ministère de l’intérieur) sont aujourd’hui interfacés. Avec cette interconnexion, tous les acteurs de la crise (établissements de santé, Samu, pompiers, médecins, Agences régionales de santé, ministères) partagent leurs informations en temps réel pour une gestion plus rapide, coordonnée et efficace des situations de crise.
Maincare et Atout Majeur Concept ont signé un partenariat pour apporter une réponse complète aux enjeux des établissements et GHT en matière d’optimisation des flux patients : d’un côté la solution SESAME d’Atout Majeur Concept ; de l’autre la complémentarité de leurs expertises pour intégrer rapidement la solution dans le SIH et accompagner les établissements dans la transformation des organisations.
Les professionnels de santé sont tenus au respect du secret médical, y compris entre eux s’ils n’appartiennent pas à une même équipe de soins. Le système d’informations de l’établissement dans lequel ils exercent doit donc faire l’objet de mesures techniques et organisationnelles susceptibles de garantir la sécurité, et donc la confidentialité, des données de santé qui y sont stockées.
Gérald DARMANIN, ministre de l’Intérieur et des Outre-mer, François BRAUN, ministre de la Santé et de la Prévention et Jean-Noël BARROT, ministre délégué chargé de la Transition numérique et des Télécommunications ont organisé ce jour une réunion de travail sur la cybersécurité des hôpitaux, avec l’ensemble des services mobilisés et les principales fédérations hospitalières.
Un service numérique régional unique, déjà utilisé par les services mobiles d’urgence et de réanimation de la région Grand Est, sera prochainement déployé dans tous les SAMU(1) de la région Occitanie. Les Observatoires des Urgences (ORU), les Groupements régionaux d’appui au développement de la e-santé (GRADeS) et les Agences Régionales de Santé (ARS) des deux régions ont collaboré pour donner accès en mobilité au dossier patient SMUR(2), dans la région Grand-Est puis en Occitanie.
Depuis sa genèse, le dossier patient informatisé Maincare IC ne cesse d’évoluer pour s’adapter aux besoins des professionnels de santé qui l’utilisent au quotidien dans les établissements de santé.
Autant le préciser tout de suite, il s’agit de la citation d’une formule que j’ai entendue récemment : je pensais que ce type d’imbécillité avait disparu des organisations modernes, mais en fait non. D’où le nécessaire décryptage, qui va aider plus d’un DSI et plus d’un RSSI. Et plus d’une MOA pour le même tarif. À partager largement, c’est cadeau.
Si les attaquants réussissent encore à compromettre nos SI, c’est certainement car nous ne sommes pas bien préparés à leurs attaques. Et pourtant, les victimes ne manquent pas, les retours d’expériences non plus, tout comme les guides de bonnes pratiques, alors pourquoi nous faisons-nous toujours avoir ?
Le 10 octobre, l’AP-HP et l’Inria ont annoncé le lancement d’URGE, un projet de recherche pour analyser et optimiser les parcours des patients aux urgences grâce à un simulateur de flux.
Les dix lauréats de l’appel à projets « Structures 3.0 » 2020 de l’ANS pour le secteur médico-social et social ont bénéficié du financement d’un an de test en conditions réelles pour leurs solutions numériques innovantes en santé. Ils présentent leur bilan.
Les données médicales constituent une exception sur pas mal d’éléments du RGPD : pas de droit à l’opposition du recueil (on excepte la question de l’anonymat), peu de droit à la rectification. Mais il est une question qui revient de temps en temps et qui concerne la question de l’effacement des données médicales d’un patient (soit tout le dossier, soit un séjour en particulier). La question est tout sauf simple, d’autant qu’il existe pas mal de cas d’usage à tiroirs. Cet article n’a pas la prétention de l’exhaustivité, juste d’illustrer une question qui paraît simple mais qui, en réalité, est protéiforme.
Le CHRU de Nancy a lancé en avril dernier, un module destiné aux urgentistes pour offrir une plus grande souplesse dans la gestion des lits d’urgence. Son objectif : leur permettre de repérer en un coup d’oeil, l’offre de lits disponible dans les autres services. Une solution plus qu’utile en cette période tendue au sein du service des urgences et de réanimation médicale du CHRU de Nancy
Le 20 mai 2022, Les Entreprises de télémédecine (LET) ont restitué les résultats d’une étude inter-entreprises qui montre notamment le rôle clé de la téléconsultation dans l’accès aux soins, en particulier dans les zones sous-denses.
Mi-mai, le Health Data Hub a annoncé la publication du premier arrêté portant la liste des bases composant la base principale du catalogue du Système national des données de santé et qui contribue à l’élargissement de ce dernier à l’ensemble des données financées par la solidarité nationale.
Alors que sa plateforme de dossier patient convergé Care4U commence à être déployée au sein de deux GHT, l’Artois et le Gers, l’éditeur Dedalus a proposé un retour d’expérience du Dr Christophe Vincent-Cassy, médecin urgentiste à l’AP-HP et utilisateur de la solution, lors du premier jour du salon SANTEXPO 2022, qui se tient du 17 au 19 mai à Paris. Une présentation axée sur trois maître-mots : personnalisation, innovation et convergence.
Les professionnels de santé ont chaque jour de multiples raisons d’échanger avec leurs confrères pour le suivi de leurs patients. Au sein de leur hôpital, de leur cabinet, MSP, centre de santé, CPTS, mais aussi entre différentes structures, entre la ville et l’hôpital, pour organiser les parcours de soins. Rien de nouveau dans cette pratique, si ce n’est l’utilisation croissante d’outils grand public, simples et pratiques mais non sécurisés. De ce constat est né Maiia Chat !
L’organisation des parcours patients est un vrai casse-tête pour les établissements de santé. Les points d’entrée proviennent d’un parc de logiciels souvent hétérogène, sans liaison entre eux. Dès lors, plusieurs questions se posent : Comment obtenir une vision globale de tous les patients prévus ? Comment trouver une chambre à l’arrivée du patient et détecter les erreurs de placement ? Comment trouver les lits disponibles pour les urgences ?
Une des particularités de la formation des jeunes pilotes d’avion, pour l’aviation commerciale comme pour l’aviation privée (dite « de loisir »), est la prise en compte avant chaque vol du TEM : Threat and Error Management, ou gestion des menaces et des erreurs. On trouve des tonnes d’articles[1]plus ou moins théoriques sur le sujet, mais en gros l’idée est simple : avant le vol, il s’agit d’inventorier les risques connus et identifiés.
Le CHU de Rennes a annoncé avoir réalisé une simulation d’intervention chirurgicale en salle d’opération sans fil à la suite d’un premier test de diagnostic à distance, lors d’une intervention médicale d’urgence dans une ambulance connectée effectuée en septembre 2021.
L’hôpital Nord-Ouest de Villefranche-sur-Saône a créé début 2020 une cellule de gestion des parcours. Au-delà du déploiement du logiciel de gestion des lits M-Visibilité de l’éditeur Maincare, ce projet a été marqué par de forts enjeux organisationnels, a témoigné Pascale Fraisse, coordonnatrice générale des soins de l’établissement, le 9 novembre dernier, lors du Salon SantExpo.
La règle n°1 de la directive NIS applicable aux OSE précise : « L'opérateur de services essentiels effectue et tient à jour, dans le cadre de l'homologation de sécurité prévue à la règle 3, une analyse de risque de ses systèmes d'information essentiels (SIE) ». Dans le but d’accompagner ses clients dans ces analyses des risques, WELIOM s’est doté de l’outil Agile Risk Manager de la société ALL4TEC (1), solution leader sur la méthode EBIOS RM, premier outil labellisé par l’ANSSI en 2019, et a consacré une année à l’adapter aux établissements de santé.
Alors que la controverse sur son fonctionnement et notamment l’hébergement des données par une société américaine court toujours, le Health Data Hub a publié le 2 février sur son site son programme de travail pour 2022. Sept grandes orientations ont été retenues.
Fin décembre, l’ARS Île-de-France a autorisé l’expérimentation Vigie-Âge, portée par le CH Rives de Seine, qui permet la télésurveillance de personnes âgées en situation de maladie aiguë ou chronique.
Les 135 Hôpitaux désignés Opérateurs de Services Essentiels (OSE) en 2021 ont défini et déclaré leurs Systèmes d’Informations Essentiels (SIE). La mise en œuvre opérationnelle des 23 règles de la Directive NIS I devient alors un chantier prioritaire, à mener selon un calendrier établi avec l’ANSSI. Certaines de ces règles sont transversales, et applicables à l’ensemble des SIE, d’autres leur sont particulières, comme la règle n°1 : « L'opérateur de services essentiels effectue et tient à jour, dans le cadre de l'homologation de sécurité prévue à la règle 3, une analyse de risque de ses systèmes d'information essentiels (SIE) ».
L’hôpital FOCH est fier d’annoncer qu’il a remporté un prix dans la catégorie « Système d’Information Hospitalier » des Talents de la e-santé, dans le cadre de cet événement annuel consacré à la reconnaissance et la valorisation de ceux qui mènent des projets de e-santé structurants pour leur territoire et pour l’avenir du système de santé français.
Il est parfois difficile de décrire la gravité de la situation lors d’un appel téléphonique au 15. Depuis quelques mois, le SAMU 68 (Groupe hospitalier de la région de Mulhouse et Sud-Alsace) utilise VisioRegul afin d’obtenir des compléments visuels si nécessaires lors d’un appel en vue d’un diagnostic et d’une décision de prise en charge médicale. Ce projet de régulation grand public vise à proposer au SAMU une solution de visioconférence permettant d’envoyer une invitation simple et instantanée à la personne appelant le 15, de façon sécurisée. Une solution innovante et aidante pour les régulateurs médicaux.
L’Hôpital Nord-Ouest de Villefranche-sur-Saône a déployé le logiciel de gestion des lits M-Visibilité de l’éditeur Maincare. Un projet plus organisationnel que technique, a témoigné Pascale Fraisse, coordonnatrice générale des soins de l’établissement, le 9 novembre lors du salon SANTEXPO 2021.
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