Doter tous les Samu-Centres 15 d’un même outil de travail ? Telle est l’ambition du SI-Samu. Une des premières fonctionnalités opérationnelles est le portail SI-Samu, véritable porte d’entrée à un bouquet de services proposés aux Samu.
Dans le cadre du programme « e-parcours » qui a pour objectif de mettre à disposition des professionnels exerçant dans les secteurs sanitaire, médico-social et social un bouquet de services numériques de coordination, la centrale d’achat du Resah a lancé une procédure concurrentielle avec négociation visant à la conclusion de 3 accords-cadres multi-attributaires nationaux ayant pour objets respectifs :
Harmoniser un système d’information à l’échelle d’un groupement hospitalier de territoire implique des coûts et un temps de mise en œuvre importants. Il faut pouvoir consolider les données de manière globale, quelles que soient leurs sources, et les mettre à disposition des utilisateurs. Une fois de plus (1), tout est affaire d’interopérabilité, comme le montre bien François Decourcelle, directeur adjoint de l’innovation chez Enovacom.
Il semble que dans cette merveilleuse société qui est la nôtre, on ne cultive pas suffisamment une qualité essentielle de l’individu : l’art de rejeter la faute sur les autres. Par exemple, quand un machin tombe en panne dans l’informatique, croyez-en mon expérience, il faut toujours dire que c’est la faute du réseau. Le DPI qui rame ? La faute du réseau. Les batches de paye bloqués ? La faute au réseau. La machine à café connectée en panne ? Oui, non là, ça va être compliqué d’incriminer le réseau. Quoique, avec tous ces objets connectés, on pourra toujours dire que la trame IP est incompatible avec le certificat SSI 802?1x, ce qui ne veut rien dire, mais aucune importance, personne ne le sait.
Avec ses milliers de patients, le monde hospitalier génère des quantités phénoménales de données. Le stockage de cette data est donc une priorité informatique pour ces structures de santé. Cependant, les hôpitaux sont confrontés à des contraintes budgétaires et les solutions de stockage sont onéreuses.
Les Assises de la sécurité à Monaco sont « une véritable réunion de famille », comme l’a indiqué en patriarche Guillaume Poupard, dont la conférence d’ouverture est toujours attendue comme une grand-messe pour les paroissiens de la cybersécurité.
Face à une problématique de réactivité et d’efficacité à la mobilisation d’équipes en situation d’urgence, le CHU Saint Pierre a souhaité moderniser ses équipements afin d’améliorer le quotidien des pompiers et des ambulanciers. Pour ce faire, ils ont fait appel à Enovacom, éditeur de logiciels français dédié à l’échange et au partage sécurisé des données de santé et plus particulièrement à son logiciel Enovacom Surycat.
Ce partenariat stratégique accélère l’arrivée des technologies ambiantes afin de réduire les burn-out des professionnels de santé en leur permettant de se recentrer sur les patients pendant que l’IA gère les tâches administratives.
Pour faciliter la gestion et l’archivage liés à la dématérialisation des dossiers médicaux, le centre hospitalier universitaire de Limoges a déployé un système de gestion électronique de documents avec utilisation de QR Codes. L’ergonomie de l’imprimante d’étiquettes QL-820NWB développée par Brother en fait la solution idéale.
Événement majeur dans le monde de la e-santé, les Journées e-Santé 360 se dérouleront les mardi 5 et mercredi 6 novembre 2019 à Paris dans la cadre prestigieux des Jardins de Saint-Dominique. Ce rendez-vous annuel se concentrera cette année sur les initiatives concrètes d’une approche globale des parcours et de décloisonnement entre la ville et l’hôpital, fil rouge du volet numérique du plan national Ma santé 2022.
Le DPI ORBIS d'Agfa Healthcare, le plus utilisé en Europe, fait l'objet d'un évolution constante, grâce notamment à une interaction régulière avec ses clients regroupés au sein d'une association dédiée, RESO. Nous avons rencontré Emmanuel Mougeotte, Directeur Général d'Agfa Healthcare, et Ghislain Boisseau, Directeur Country Solution Manager France, qui approuvent cette collaboration favorisant les axes de progrès pour ce DPI.
La centrale d'achat de l'informatique hospitalière (CAIH) a annoncé début Octobre avoir sélectionné la société Lifen comme attributaire unique de son marché pour la dématérialisation et l’optimisation des courriers. Permettant ainsi aux 1 100 établissements de santé adhérents à la CAIH d’implanter la solution la plus performante pour la dématérialisation et le traitement postal de leurs courriers médicaux.
Les hôpitaux souffrent d’un manque de moyens et de ressources depuis de nombreuses années. Les changements de réglementation, les contraintes économiques et démographiques, les regroupements, fermetures et reconstructions d’établissements n’ont jamais permis à ces structures particulièrement complexes de s’organiser pour être à la fois plus efficaces, moins coûteuses et propices à une meilleure qualité de vie au travail des soignants.
Pour ceux qui ne sont pas du « sérail » – comprendre la bande de geeks qui parlent IPv6 dans le texte –, il est important de comprendre un fait majeur : tout comme la nature a sa chaîne alimentaire, la DSI a la sienne.
Dans un entretien accordé à DSIH Magazine (1), Cédric O, secrétaire d’État chargé du numérique (2), nous livre son analyse de la transformation numérique en examinant ses conséquences à l’échelle de la France, mais aussi des citoyens et du secteur de la santé. Au cœur des préoccupations gouvernementales : l’emploi, la fracture numérique et la régulation. Morceaux choisis.
En France, comme ailleurs dans le monde, la tendance concernant les systèmes d’information est de privilégier le meilleur logiciel par silo applicatif (RIS, GAM, DPI, etc.), ce que les Anglo-Saxons appellent « the best of breed[1] », plutôt que des solutions intégrées. Résultat, certains établissements de santé peuvent compter jusqu’à 300 applicatifs différents. Lorsqu’il s’agit de faire communiquer l’ensemble, on se retrouve vite face à une tour de Babel. DSIH vous emmène à la découverte en quatre étapes des bien-fondés de l’interopérabilité hospitalière, à l’échelle d’un GHT ou plus largement régionale, essentielle au partage et à l’échange de l’information médicale. Premier volet : l’interopérabilité au cœur des projets SI.
Le centre hospitalier de Douai s’est tourné vers la plateforme de digitalisation de la production de soins Maincare IC pour moderniser son dossier patient informatisé. Une évolution qui s’inscrit dans une démarche d’ouverture vers la ville et de responsabilité populationnelle.
Le 24 octobre, retrouvez la deuxième édition du Forum de l’IoT, la vie connectée
Belle actualité pour aXigate. Le spécialiste du dossier patient informatisé à l’hôpital conforte son avancée technologique avec le lancement de deux solutions : Welcome PASS, passerelle ville-hôpital permettant l’échange sécurisé de documents entre l’ensemble des professionnels de santé à l’échelle d’un territoire. Un premier déploiement de cette plateforme démarre en octobre à l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille ; Welcome DOC, un entrepôt documentaire à destination des GHT.
C’est le 30 juillet dernier qu’a été officialisée l’acquisition par le groupe Dedalus de Web100T, un acteur majeur de solutions de gestion médico-administrative et médicale dédiées aux établissements de santé principalement privés. Cette mise en synergie va profiter autant aux utilisateurs des solutions Dedalus que de Web100T.
# Entretien avec Cédric O. Le secrétaire d’État chargé du numérique depuis le 31 mars dernier livre à DSIH son analyse de la transformation numérique en examinant ses conséquences à l’échelle de la France, mais aussi des citoyens et du secteur de la santé. Au cœur des préoccupations gouvernementales : l’emploi, la fracture numérique et la régulation.
Deux mois après l’annonce de URGENT/11 [1], une panoplie de 11 vulnérabilités affectant les systèmes VxWorkrs, la société ARMIS nous passe la deuxième couche de rouge vif.
Prudemment mais sûrement, le Gouvernement s’est emparé de la question en lançant un programme d’investissements d’avenir (PIA), devant permettre de ’’tester sur le terrain, par des applications concrètes, le potentiel l’IA’’(Cf. communiqué de presse commun de la Dinsic et de la DITP).
En déplacement au CHU de Poitiers le 9 septembre dernier, la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a plébiscité la gestion numérique des lits de l’établissement, qui s’effectue en temps réel pour les urgences. Elle a ainsi déclaré : « Je vais demander à tous les hôpitaux qui ont un service d’urgence de se doter d’un logiciel de management des lits [au sein des cellules informatisées de gestion des lits]. » L’objectif mis en avant par la ministre est de couvrir 50 % des GHT d’ici à 2020.
Les 31 mars, 1er et 2 avril 2020, l’Apssis accueillera 180 professionnels dans le cadre du 8e Congrès national de la SSI de santé, qui se tiendra à l’espace culturel des Quinconces du Mans, pour trois jours de conférences, de débats et d’échanges. L’événement sera l’occasion de fêter les dix ans de l’Association !
La prise en charge d’un patient opéré fait intervenir de nombreux professionnels de santé. Elle est également soumise à de fortes contraintes réglementaires. Les établissements privilégient donc des solutions informatiques complètes, qui prennent en compte toutes les étapes de l’activité de chirurgie.
À une époque pas si lointaine (il me semble) de mon existence, la SSII dans laquelle je travaillais avait constaté qu’un de nos clients faisait religieusement ses sauvegardes tous les soirs, comme on le lui avait montré. OK, c’était au millénaire précédent, OK, c’était sur des disquettes souples 5 ¼ pouces, OK, je ne suis pas exactement le perdreau de l’année, mais sauvegardes tout de même il y avait. Sauf que tous les soirs, juste avant de partir, le chef du client en question mettait un coup de trouilloteuse dans ladite disquette pour pouvoir la ranger dans un grand classeur à anneaux (authentique).
WEDA, leader des logiciels de Dossiers Patients en ligne, propose une solution complète qui s’adresse aux professionnels de santé libéraux exerçant individuellement, en cabinets de groupe ou en maisons et centres de santé pluridisciplinaires. La plateforme WEDA rassemble aujourd’hui plus de 10 000 utilisateurs dont 60 % de médecins.
Ils sont actuellement 48 à avoir décroché la certification hébergeurs de données de santé, d’après le site de l’Asip Santé, le dernier en date étant, sauf erreur, le groupement de coopération sanitaire GCS Tesis (La Réunion et Mayotte), premier groupement régional d'appui au développement de l'e-santé (Grades) de la liste des hébergeurs pour son datacenter, et qui en plus couvre les 6 activités du référentiel.
Le top départ de l’e-santé 2022 a récemment été donné (voir la vidéo [1]de la première session du Tour de France ainsi que l’analyse [2]à grosse maille de votre serviteur), et c’est une bonne chose que la SSI fasse partie des préoccupations officielles des pouvoirs publics. Cela étant, où en est-on de la sécurité des données patients, justement ? D’où part-on ? Quel chemin, de roses ou de croix, à parcourir ?
Discrète à sa création dans le concert des groupes leaders de l’informatique de santé, la société Softway Medical a rapidement gagné en notoriété. Solidement installée désormais dans le paysage de la santé, elle se tourne actuellement vers l’intelligence artificielle pour la radiologie. Entretien avec Jean-Baptiste Franceschini, cofondateur de Softway Medical et directeur de la division Imaging.
L’APSSIS fédère les acteurs de la cybersécurité des systèmes d’informations de santé. Ses 150 Adhérents sont des établissements de santé publics et privés, des GHT par leur établissement support, des groupes privés MCO / EHPAD / ESPIC, des institutionnels, des GRADES, des industriels et éditeurs, des experts indépendants. Ces structures sont représentées par leurs RSSI, DSI, RSI ou Directeur Général.
Depuis début septembre, les patients peuvent désormais bénéficier de l’innovation des deux scanners avec intelligence artificielle intégrée installés dans le service d’imagerie Guilloz du CHRU de Nancy. Ces scanners intelligents et apprenant permettent au service d’imagerie de révolutionner ses pratiques et d’adapter les traitements dispensés aux patients.
Avec sa plateforme logicielle dédiée à la télérégulation au sein des SAMU Centres 15, en lien avec les professionnels de l’urgence, Exelusest le précurseur et le leaderde la télémédecine mobile en France. Forte de ce positionnement unique sur le marché, Nomadeec a élargi son périmètre à la téléconsultation et à la télé-expertise et est déployée notamment dans les structures médico-sociales, dont les EHPAD. Afin d’affirmer son leadership dans la télémédecine mobile pour les professionnels de santé, Exelus annonce une levée de fonds de trois millions d’euros.
Avec le standard international DICOM-RTV, bcom ouvre le champ des possibles pour le marché de la santé
Le 44ème Congrès de la FEHAP se tiendra les 27 & 28 novembre à Marseille et portera sur le thème « la personne actrice de son parcours à l’ère du numérique ». En cohérence avec cette thématique dans l’air du temps, la Fédération a choisi d’apporter quelques transformations à son événement phare.
Cette nouvelle délibération de la CNIL [1] arrive comme une pépite de chocolat sur le cookie afin de préciser les lignes directrices relatives à l’application de l’article 82 de loi informatique et libertés [2] et plus précisément aux opérations de lecture / écriture de traceurs sur le terminal d’un utilisateur.
N’ayant pas pu être présent à Lille pour le lancement du Tour de France de présentation du programme Ma santé 2022, je me suis rattrapé en visionnant la conférence (ici1) pour vous faire un premier retour à chaud.
Les 7es Rencontres du progrès médical du Snitem, qui se sont tenues la semaine dernière, étaient centrées sur l’innovation pour tous. Elles ont été l’occasion de s’interroger sur l’impact de l’innovation dans l’organisation des soins.
Pour répondre aux attentes des professionnels de santé hospitaliers en matière de données sur les dispositifs médicaux, la solution VIDAL DMI s’enrichit en élargissant son périmètre d’informations. Carlos Carvalho, directeur des ventes et responsable de la solution VIDAL DMI, nous en dit plus.
Les 7es Rencontres du progrès médical du Snitem,qui se sont tenues la semaine dernière, étaient centrées sur l’innovation pour tous. Elles ont été l’occasion de s’interroger sur le positionnement du patient dans le développement des dispositifs médicaux.
Avec Direct-Consult et Direct-Op, les anesthésistes de la clinique Médipôle Garonne de Toulouse assurent l’informatisation du dossier d’anesthésie, totalement intégrée dans le système d’information de l’établissement. Entretien avec le Dr Olivier Rontes, anesthésiste à la clinique.
Après les GHT Atlantique 17 (communiqué du 18 juin 2019) et du Douaisis (communiqué du 1er juillet 2019), le GHT des Landes a annoncé avoir retenu la plateforme territoriale de production de soins Maincare IC. Un choix qui lui permet de répondre à 3 objectifs stratégiques : convergence de son S.I., modernisation du DPI et ouverture vers la ville.
« Développer le recours à la télésanté (télémédecine et télésoin) », telle est l’une des missions désormais obligatoires des communautés professionnelles territoriales de santé (CPTS) souscrivant à l’accord conventionnel interprofessionnel signé le 20 juin 2019 et approuvé par arrêté publié au Journal officiel le 24 août dernier[1].
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