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Début février, la Cnil a mis en demeure plusieurs établissements de santé à propos de la sécurité du dossier patient informatisé, au motif que « les données des patients ne doivent être accessibles qu’aux personnes justifiant du besoin d’en connaître ».
Lifen poursuit sa volonté d’améliorer le système de soins et se veut le partenaire idéal des équipes Qualité des établissements. Grâce à l’Intelligence Artificielle, Lifen Qualité simplifie les campagnes IFAQ et permet d’améliorer en continu le niveau de qualité des établissements de santé. La solution simplifie et optimise la phase d’audit des dossiers patient pour l’IQSS Qualité de la Lettre de Liaison à la Sortie (LDL).*
Le 5 juillet, la DGOS et la cellule Éthique du numérique en santé de la DNS ont publié une grille de réflexion éthique à destination des professionnels pour analyser des situations complexes en télésanté.
Docaposte, filiale numérique du groupe La Poste, entre en négociation exclusive en vue d’une prise de participation majoritaire dans WELIOM, cabinet de conseil spécialisé dans l’accompagnement des acteurs de la santé dans leur transformation numérique. Ce rapprochement opéré autour d’ambitions et de valeurs communes permettra de constituer au sein de Docaposte un pôle autonome d’expertise et de conseil dédié au secteur de la santé. En s’associant avec WELIOM, Docaposte poursuit sa stratégie visant à devenir un leader numérique souverain au service de la transformation des organisations de santé.
Docteur, je change de sexe ! Docteur, je veux une chambre particulière ! Docteur, je veux une chambre confortable avec vue sur la montagne… ! La gestion des lits dans les établissements de santé a toujours été un vrai casse-tête.
Une patiente admise en soins psychiatriques peut-elle faire modifier les données intégrées dans son dossier médical au nom du sacro-saint RGPD ? En d’autres termes, la réglementation sur les données personnelles prévaut-elle sur le contenu du dossier médical déterminé par le code de la santé publique ?
Le 20 avril 2023, la Société française de radiologie a lancé un appel en faveur d’un usage pondéré de l’intelligence artificielle appliquée au domaine de la santé via un partage d’expérience et d’expertise.
Quand le brillant RSSI et DPO Cédric Cartau et moi-même décrochons notre téléphone en pleine journée pour nous appeler, c’est qu’un « serpent de mer » technico-juridique nous travaille. Le dernier en date : les droits d’habilitation au Dossier Patient Informatisé (DPI), et ce, dans le contexte d’un article de presse[1] annonçant les mesures prises par l’APHP « la mise en œuvre d’un système de surveillance du mode « bris de glace » afin de contrôler et d’identifier les accès illégitimes ». Dans un premier volet, la vision technique et opérationnelle a donc été présentée[2]. Ce deuxième volet vise à présenter le cadre juridique. Que disent les textes ?
Le 29 mars, l’Institut Paoli-Calmettes de Marseille a publié un communiqué de presse sur l’essai thérapeutique qu’il mène notamment à l’aide du G-Eye®, un coloscope déplissant mieux les haustrations coliques à l’aide d’un ballon distal. Il espère pouvoir augmenter avec ce dispositif le taux de détection de polypes.
Dans un monde où les inégalités face à l’accès aux soins perdurent, où le problème des déserts médicaux n’est toujours pas résolu et où le eHealthwashing se développe, les innovations numériques sont appelées à prendre de plus en plus de place au sein de nos systèmes de santé. Soucieux de faire émerger et de soutenir, dans ce domaine, les entrepreneurs et leurs projets innovants, les trophées de la e-santé de l’Université de la e-santé de Castres-Mazamet sont le rendez-vous à ne pas manquer !
Docaposte, filiale numérique du groupe La Poste, est entrée en négociation exclusive en vue de l’acquisition de Maincare, un des leaders de l’accompagnement de la transformation numérique des hôpitaux en France, auprès de ses actionnaires (Montagu Private Equity). Ce rapprochement structurant s’appuie sur le partage de valeurs communes et la vision d’un projet industriel ambitieux de long terme. En associant les actifs de Maincare avec son expertise en confiance numérique, Docaposte créera un leader technologique souverain au service de la transformation numérique des acteurs de la santé.
À la date d’écriture du présent article, la phase de concertation d’un nouveau référentiel HDS (commenté dans un récent article[1]) est terminée depuis quelques jours ? Pour mémoire, ce référentiel définit les exigences de la certification s’imposant aux termes de l’article L1111-8 du Code de la santé publique à « toute personne qui héberge des données de santé à caractère personnel recueillies à l’occasion d’activités de prévention, de diagnostic, de soins ou de suivi social et médico-social, pour le compte de personnes physiques ou morales à l’origine de la production ou du recueil de ces données […] ». Dans le même temps, une version 2022 de la doctrine du numérique en santé a été mise en concertation[2] et a créé l’émoi chez ceux qui s’inquiètent de la suppression de l’exemption au régime relatif à l’hébergement de données de santé qui y figurait – sous conditions – pour les établissements d’un groupement hospitalier de territoire (GHT). L’objet du présent papier est d’éclairer le lecteur sur ce dernier sujet, du point de vue juridique d’abord, puis selon la vision opérationnelle du RSSI.
Les participants, issus des établissements de santé et médico-sociaux de la région, ont échangé sur l’identité nationale de santé (INS), son déploiement dans leurs structures et les enjeux de son utilisation pour une meilleure prise en charge du patient..
Un service numérique régional unique, déjà utilisé par les services mobiles d’urgence et de réanimation de la région Grand Est, sera prochainement déployé dans tous les SAMU(1) de la région Occitanie. Les Observatoires des Urgences (ORU), les Groupements régionaux d’appui au développement de la e-santé (GRADeS) et les Agences Régionales de Santé (ARS) des deux régions ont collaboré pour donner accès en mobilité au dossier patient SMUR(2), dans la région Grand-Est puis en Occitanie.
Le 10 octobre, l’AP-HP et l’Inria ont annoncé le lancement d’URGE, un projet de recherche pour analyser et optimiser les parcours des patients aux urgences grâce à un simulateur de flux.
En janvier 2022, le Dr Arnaud Wilmet a pris ses fonctions de Directeur médical d’innova- tion en e-santé (CMIO) chez Nuance Communications, une société de Microsoft. Coup d’œil sur son rôle au sein de la société et sur le statut de l’IA conversation- nelle dans le paysage médi- cal français.
L’éditeur Dedalus, le CHU de Montpellier et l’Université de Montpellier ont annoncé le 18 mai, lors du salon SANTEXPO 2022, le lancement du projet ERIOS, un lieu d’expérimentation inédit sur les usages des logiciels en santé. Basé sur une logique de co-construction, il va dans un premier temps se consacrer à améliorer les usages du dossier patient informatisé (DPI). DSIH a rencontré les promoteurs du projet.
Un arrêté daté du 26 avril 2022 et publié samedi au Journal officiel fixe la liste des documents soumis à l’obligation d’alimentation du dossier médical partagé (DMP) par les médecins et les biologistes et d’envoi tant aux professionnels de santé qu’aux patients par le biais des messageries sécurisées de santé.
Le groupe Dedalus ("Dedalus"), le principal fournisseur de solutions logicielles pour les soins de santé et le diagnostic en Europe, et Ibex Medical Analytics ("Ibex"), le leader du marché des diagnostics du cancer basés sur l'intelligence artificielle (IA) pour le diagnostic du cancer, annoncent aujourd'hui un partenariat stratégique visant à apporter la puissance de l'intelligence artificielle à la pathologie digitale.
DSIH lance une série d’entretiens, intitulée les Entretiens de la Semaine, menés par nos consultants. Le principe repose sur un face-à-face permettant d’aborder des sujets autour du numérique, de l’évolution des Systèmes d’information, de la formation… Le ton est amical mais sans langue de bois.
La continuité des soins en Europe devient réalité; la France fait partie des premiers pays à permettre la prise en charge efficace et rapide des patients européens et ouvre le service SESALI pour l’accès des professionnels de santé.
Cet été, l’Agence du numérique en santé (ANS) semble ne pas avoir fait de pause. Fin juillet, elle annonçait l’ouverture du Service européen de santé en ligne (Sesali) qui permet aux professionnels de santé de consulter les données de santé de patients européens. Par ailleurs, le portail Convergence a été mis à jour avec de nouvelles fonctionnalités et la nouvelle version du serveur multi-terminologies a été mise en production.
VIDAL Sentinel, est une nouvelle solution de revue et de validation en temps réel des prescriptions hospitalières. Elle identifie et alerte le pharmacien hospitalier sur des situations à risque tout en les priorisant.
En appui des professionnels exerçant dans les secteurs sanitaires, médico-sociaux et sociaux, le nouveau service e-Parcours Parceo accompagne la transformation numérique du parcours de santé en Grand Est. Pulsy et les acteurs du territoire impliqués dans son déploiement vous convient à découvrir Parceo lors de l'évènement
Tout établissement de santé français, public ou privé, engagé dans une démarche d’amélioration de la qualité et de la sécurité des soins en vue d’une certification par la Haute Autorité de santé, doit remplir des objectifs déclinés en critères par la HAS. L’utilisation d’une solution de reconnaissance vocale comme Dragon Medical One contribue à l’atteinte de ces objectifs et donc à la démarche d’amélioration continue de la qualité des soins.
Dans un contexte où la digitalisation des établissements de santé est encouragée par le gouvernement français (Projet Ma Santé 2022, Programme HOP’EN), de plus en plus de structures de soins décident de se doter d’une plateforme d’interopérabilité biomédicale. « De nombreux acteurs de la santé doivent entamer ou continuer leur transformation numérique et leur digitalisation. Ces nouveaux défis permettent d’éliminer l’usage du papier dans les établissements et gagner en efficacité », rappelle Isabelle Verne, Product Marketing Manager chez Enovacom.
En cas de situation de crise exceptionnelle telle que nous la vivons aujourd’hui, les lits de tous les établissements de santé sont à flux tendus. Pour gérer l’afflux de patients, le personnel soignant doit veiller à la disponibilité de ses lits chauds (réanimations, soins intensifs…).
Au programme, plateau TV, reportages, tables rondes avec des invités de marque, témoignages et retours d’expérience, 45 workshops organisés par nos experts produits, un espace networking pour échanger avec nos collaborateurs.
Depuis plusieurs années déjà, l’application Chimio® de Computer Engineering sait fonctionner dans un environnement multi sites. Mais sa dernière version 6.0 ouvre de nouvelles perspectives, très utiles dans le cadre des GHT.
La France comble petit à petit son retard sur le taux de chirurgie ambulatoire. S’il était limité à 58,5 %[1] en 2019, l’objectif est de le porter à 70 % en 2022. Largement plébiscité par les patients et leurs familles, ce mode de prise en charge présente de nombreux avantages : taux de satisfaction élevé, récupération plus rapide, mais aussi diminution des coûts. En raccourcissant le temps de séjour, il contribue également à réduire les infections nosocomiales contractées par les patients dans un établissement de santé. C’est là que le Covid-19 se présente comme un allié de l’ambulatoire.
Dedalus, leader européen dans l’édition et l’intégration de solutions numériques pour le monde de la santé, signe un accord industriel avec DeepOR, start-up française, pionnière dans le domaine du traitement du langage naturel médical pour équiper l’hôpital d’un assistant vocal intelligent.
Après avoir déployé les fondations du système d’information de territoire en novembre 2019 puis démarré le service pilote en janvier 2020, le GHT Armor a lancé début juin la généralisation du DPI aXigate dans les différents établissements du territoire.
Pulsy, le CHRU de Nancy et le Groupe Pharmagest : 3 structures au service des acteurs de santé
Proposer aux établissements de santé un « Chimio® de territoire », très utile dans le cadre des regroupements de type GHT : voilà ce que permet la nouvelle version 6.0 de l’application Chimio® de Computer Engineering.
Aujourd’hui, la migration de l’ancienne solution de téléradiologie, T-Lor, est terminée. Vingt-trois établissements du Grand Est utilisent désormais la solution de téléradiologie régionale Odys Téléradiologie, permettant de nombreuses coopérations entre structures publiques et privées. Ce service sécurisé, porté par Pulsy avec le soutien de l’Agence Régionale de Santé Grand Est, facilite et accélère l’échange et l’interprétation de données d’imagerie médicale programmée ou urgente, entre sites distants du Grand Est. En plus des radiologues, il s’adresse à tous les professionnels de santé ayant recours à l’imagerie médicale.
Face au COVID-19, comment faciliter la prise en charge du patient ?
nehs, créé par la Mutuelle Nationale des Hospitaliers, propose une offre globale de services à la personne et de services métiers, totalement dédiée aux professionnels de santé et aux établissements. Face au coronavirus, ses équipes se sont mobilisées pour construire, en un temps record, des réponses à la crise sanitaire Covid-19.
aXigate, filiale de la Division Solutions pour les Etablissements Sanitaires et Médico-Sociaux du Groupe Pharmagest, est retenue par le Réseau des Acheteurs Hospitaliers (RESAH) dans son nouveau marché de Dossier Patient Informatisé de Groupements Hospitaliers de Territoire (GHT), avec 6 autres éditeurs de logiciels santé.
Mercredi 19 Février 2020, l’Agence Régionale de Santé de Guyane annoncera officiellement le lancement du projet « PEPITES », nom donné à sa « Plateforme d’Echange et de Partage Informatisée Territoriale En Santé » du territoire guyanais, intégrant une solution de Dossier Patient Informatisé portée par l’éditeur Softway Medical.
En 2019, le MiPih, acteur public du numérique en santé, a engagé une stratégie d’évolution de son offre, en lien avec la transformation du système de santé et le décloisonnement du parcours de soins, impulsés par Ma Santé 2022. Porté par une forte croissance, l’éditeur français, leader des SIH, ambitionne de devenir un acteur incontournable de la e-santé. Retour sur les succès qui ont fait 2019.
La dernière version de l’application Soins® de Computer Engineering fédère les informations provenant des outils métiers spécialisés. Elle répond ainsi au besoin des soignants d’avoir une visualisation globale sur un même outil de tous les aspects de la prise en charge du patient.
Afin de répondre aux besoins des pharmaciens, Computer Engineering a mis au point le module BMO® pour la gestion de la conciliation médicamenteuse. Objectif : prévenir la iatrogénie médicamenteuse et faire gagner du temps aux équipes de soins.
Le Centre hospitalier de Luxembourg – implanté dans la capitale du Grand-Duché – et le Centre hospitalier Émile-Mayrisch – à Esch-sur-Alzette, au sud-ouest du pays – viennent de démarrer le déploiement de leur dossier patient mutualisé informatisé de nouvelle génération Dop@min. Cette solution est basée sur la plateforme territoriale de production de soins Maincare IC.
Une personne meurt de sepsis toutes les 5 secondes dans le monde. C’est encore aujourd’hui une des causes de mortalité les plus importantes. Cela représente 30 000 décès chaque année en France, où la mortalité des patients atteints d’un sepsis est de 27% et peut atteindre 50% pour la forme la plus grave, le choc septique. Et les prévisions projettent un doublement du nombre de cas d’ici cinquante ans, notamment dû au vieillissement de la population.
Le Grand Est est la première région de France à publier son appel d’offres e-Parcours. Dès 2020, le Grand Est pourra ainsi offrir aux acteurs de la santé, du médico-social et du social de la région un bouquet de services numériques de coordination, facilitant la prise en charge du patient et de l’usager dans son parcours de soins. La démarche e-Parcours du Grand Est s'inscrit pleinement dans la continuité de la stratégie de transformation du système de santé « Ma santé 2022 ».
Ça y est, c’est l’odeur des cartables neufs, des Bic sous blister et des chaussures toutes neuves qui font mal aux petons : il est temps de faire le bilan de l’été. Parce qu’il n’y a pas eu que la canicule, fallait se tenir un minimum informé.
ORATORIO, cabinet conseil dédié au monde de la santé, créé par nehs, a récemment remporté l’appel d'offres du Resah qui ouvre la voie à un nouveau marché, celui des supports robotiques pour accompagner la prise en charge dans les établissements de santé. Entretien avec Samira Bekhti, directrice générale d’ORATORIO.
Comment optimiser le parcours administratif du patient tout autant que les étapes de facturation et de paiement des séjours hospitaliers ? C’est l’équation que propose de résoudre Dedalus avec sa borne d’accueil Digitalis, point d’entrée d’un parcours patient intelligent.
Animé par l’équipe brestoise du LaTIM* et son directeur, le Pr Éric Stindel, le consortium scientifique et industriel, mis en place dans le cadre du projet de RHU FollowKnee, présente, un an après son lancement, ses premiers résultats et fait un focus sur ses travaux en Réalité Augmentée.
On peut lire et entendre de plus en plus fréquemment le terme de « Health Data Hub » lorsque l’on s’intéresse aux problématiques de santé numérique. Cette notion a été officiellement introduite en France suite à la remise du rapport Villani [1]en mars 2018, qui se penche sur la stratégie nationale en termes d’Intelligence Artificielle et donc d’exploitation des données. En juin 2018, le terme Health Data Hub est repris pour faire l’objet d’une mission de préfiguration lancée par la Ministre de la santé Agnès Buzyn [2].
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