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En avril 2024, l’Ordre des pharmaciens a présenté le calendrier du déploiement de LABOé-SI pour faciliter le signalement de certaines pathologies par les laboratoires de biologie médicale.
Galeon, projet communautaire d’intelligence artificielle en santé, annonce un financement de 500 000 € sans contrepartie pour le repurposing de médicaments. Début avril 2024, l’entreprise lance un appel à candidatures de médecins ou scientifiques ayant constaté des cas de réutilisation possible de médicaments pour d’autres pathologies pour lesquelles ils n’étaient pas destinés. Une fois les projets sélectionnés par un comité scientifique d’experts, Galeon financera l’étude à mener pour valider scientifiquement cette réutilisation. Une première dans le milieu des start-ups.
Nombre de collaborateurs, salariés notamment dans des établissements de santé, ont accès, dans le cadre leurs fonctions, à des documents contenant des données médicales de patients. Ces informations sont protégées par le secret médical. Mais, le jour où survient un litige entre l’un de ces salariés et son employeur, ce secret médical peut-il être levé ? En d’autres termes, un salarié peut-il utiliser, comme moyen de preuve, des documents couverts par le secret médical dans le cadre d’un litige prud’homal, n’intéressant donc pas le patient concerné ?
Pour s’adapter à l’évolution des technologies, des usages et de l’organisation des hôpitaux, les trois filières Ingénierie biomédicale, Biologie et Santé digitale & numérique d’UniHA, premier acheteur public dans le secteur de la santé, travaillent désormais de concert au sein d’Unibiotech pour construire les marchés pour lesquels les données et l’intelligence artificielle sont devenues les moteurs de l’optimisation diagnostique et thérapeutique.
Depuis plusieurs années, WELIOM accompagne les Centres de Luttes contre le Cancer (CLCC), autour de prestations telles que l’assistance à la définition des orientations stratégiques SI, l’aide au choix de logiciels, l’accompagnement au déploiement de ces solutions, mais aussi la réalisation d’analyses de risques ainsi que la mise en conformité règlementaire au travers des programmes HOPEN/ SEGUR.
L’Igas a publié le 18 janvier un rapport visant à poser les bases d’une feuille de route en matière de réutilisation des données de santé.
Un arrêté de fin décembre, paru au Journal officiel du 7 janvier 2024, modifie les montants forfaitaires de l’activité de télésurveillance médicale prise en charge par l’assurance maladie ainsi que les modulations applicables à ces tarifs et la périodicité de leur révision.
A l’occasion du Conseil du Numérique en Santé et de l’anniversaire de Paris Santé Campus, Aurélien ROUSSEAU, ministre de la Santé et de la Prévention, Roland LESCURE, ministre délégué chargé de l’Industrie, ont annoncé 10 nouveaux lauréats de l'appel à projets « Accompagnement et soutien à la constitution d'entrepôts de données de santé hospitaliers » et 9 nouveaux lauréats de l'appel à projets « Evaluation du bénéfice médical et/ou économique des dispositifs médicaux numériques ou à base d'intelligence artificielle ».
Après une analyse approfondie par des experts indépendants dans le domaine de l’éthique, de la réglementation, de la sécurité et du niveau de preuve et de bénéfice clinique, le comité de l’Institut National de e-Santé (INeS), a attribué son label de solution à haut niveau d’évaluation clinique pour l’application VIDAL Sentinel et son label de la solution à fort potentiel clinique pour VIDAL Ma Santé.
Définir, appliquer et contrôler une politique cohérente d’accès aux données médicales d’un DPI est en soi un vrai défi. A fortiori quand l’établissement est de grande taille (CHU ou gros CH), a fortiori s’il mêle des activités hétérogènes (MCO, Psy, SSR, etc.), a fortiori si l’établissement appartient à un plus gros ensemble (CHT, GHT), a fortiori si les éléments de l’ensemble ont des cultures hétérogènes, des histoires différentes. En plus des 70 pages du guide Apssis[1], votre serviteur ne parvient pas à épuiser totalement le sujet, c’est dire.
Faciliter l'accès aux données de santé du Système National des Données de Santé, tel est l'objectif poursuivi par la CNIL avec la publication de deux nouvelles méthodologies de référence permettant, à condition de s'y conformer, de se soustraire à une demande d'autorisation.
Début octobre, le groupe mutualiste Aésio Santé a annoncé que la télémédecine en Éhpad était dorénavant ouverte à la cardiologie pour que les personnes âgées dont l’état de santé le nécessite puissent bénéficier d’une expertise sans avoir à se déplacer.
Le 10 octobre 2023, la Direction de l’innovation, de la recherche et de la transformation numérique de l’ARS Île-de-France a communiqué la liste des lauréats de l’édition 2023 de l’appel à projets « Innovation organisationnelle s’appuyant sur une solution technologique ou numérique ».
Avec l’extension de l’ambulatoire et des soins à domicile (thérapies orales, HAD…), le temps que passent les patients dans un établissement de santé est de plus en plus court. Les hôpitaux et cliniques ne sont plus le "centre" mais une étape de leur prise en charge. Les logiciels doivent donc suivre ces évolutions et apporter les outils nécessaires.
Prévenir, gérer ou traiter un trouble médical par une intervention thérapeutique digitale : tel est l’objectif poursuivi par les dispositifs médicaux numériques à visées thérapeutiques, autrement appelées DTx. Anecdotique encore il y a peu, l’utilisation de ces nouvelles thérapies devraient concerner, selon des études récentes, plusieurs centaines de millions de patients dans le monde en 2025.
France Biotech annonce la création d’une task force dédiée aux dispositifs médicaux numériques à visées thérapeutiques.
Le 25 juillet, le Health Data Hub a annoncé l’ouverture des inscriptions au Désiu « Réutilisation de données pour la recherche en santé », en partenariat avec les universités de Bordeaux, Aix-Marseille et Paris Cité.
… mais un acteur du dispositif oublié : les PSAD, maillon pourtant indispensable entre les prescripteurs, les solutions de télésurveillance et les patients
Le 28 juin, la société Deeptech OSO-AI, l’AP-HP et Sorbonne Université ont annoncé le lancement d’un partenariat pour l’implémentation d’une oreille augmentée pilotée par IA et le développement de nouvelles fonctionnalités en pneumologie.
Simple d’utilisation, Efficience garantit l’obtention rapide de données médicales fiables et pertinentes pour la prise en charge des patients en s'appuyant sur les services socles nationaux de la e-santé. Elle sera présentée à l’occasion du Congrès Urgences.
Le projet « Jumeau Numérique “état de santé d’un territoire” » évalue l’état de santé de la région Normandie par rapport aux allergies aux pollens. Via un travail algorithmique portant sur la dispersion des pollens, les porteurs de projet étudient les corrélations et les mécanismes de causalité entre santé et pollens.
Le 16 mai, le président de la République a annoncé la création de quatre nouveaux bioclusters et douze nouveaux IHU[1] pour renforcer la recherche en santé sur le territoire national et accélérer le passage de la recherche au soin.
Conçue par l’équipe du Professeur Erwan Donal, cardiologue au CHU de Rennes, avec le soutien du Fonds Nominoë, Eva est un véritable assistant de santé qui informe et apporte des conseils personnalisés. Cette application accompagne les malades atteints d’une anomalie des valves cardiaques et sensibilise aussi l’entourage ou toutes les personnes curieuses d’apprendre davantage sur ces pathologies qui touchent 3 à 5 % de la population française.
Porté par le CHU de Toulouse, avec ses partenaires Collective Thinking et le Health Data Hub, le projet APSoReN vise à croiser les données du CHU de Toulouse avec celles du Système National de Données de Santé afin d’identifier les patients susceptibles de “décrocher” de leur parcours de soins et d’améliorer la prise en charge des 150 000 nouveaux cas de patients victimes de traumatismes crâniens recensés en France tous les ans.
Theranexus, Inria, l'Université Claude Bernard Lyon 1 et les Hospices Civils de Lyon annoncent aujourd’hui la création d’une nouvelle équipe-projet de recherche publique/privée, AIstroSight. Cette équipe-projet a pour objectifs de développer des méthodes numériques innovantes pour la recherche de nouveaux médicaments candidats destinés à traiter les maladies du cerveau, en particulier certaines maladies neurologiques rares.
Les services de santé publics et privés sont perçus par une majorité de Français comme légitimes pour proposer des solutions ou services digitaux de santé. Les entreprises du médicaments, entreprises technologiques et GAFAM souffrent eux d’une faible légitimité, selon une étude IPSOS.
Le 6 janvier 2023, La Poste et le fonds Patient autonome de Bpifrance ont annoncé la fusion de leur participation Nouveal avec Maela pour constituer un acteur de référence de la télésurveillance.
Deux décrets parus au Journal officiel du 31 décembre 2022 définissent la prise en charge et le remboursement des activités de télésurveillance médicale ainsi que le contenu de la déclaration des activités de télésurveillance médicale aux ARS.
Mi-décembre, PariSanté Campus et Bpifrance ont annoncé le lancement d’un programme d’accompagnement en faveur de l’innovation dans la prévention en santé, avec un fonds d’investissement de 100 millions d’euros.
Dans le cadre de l’Appel à Manifestation d’Intérêt BOAS, et après la sélection de deux premières vagues de lauréats en 2021 et 2022, le HDH est heureux d’annoncer une nouvelle série de lauréats lors de son évènement : “rencontre open source et annonce des lauréats de la troisième vague de l’appel à manifestation d’intérêt BOAS”. Ce dernier a eu lieu le 14 décembre à 14h, dans les locaux de PariSanté Campus.
Le mois dernier, cinq cas d’usage ont été sélectionnés par la Commission européenne pour la version test de l’espace européen des données de santé (« EHDS ») s’agissant de « l’utilisation secondaire » des données de santé. Ces cas « pilotes » permettent d’apprécier plus concrètement les tenants et aboutissants de la proposition de règlement européen sur l’EHDS.
Le 7 novembre, le Health Data Hub a annoncé l’ouverture du nouveau diplôme interuniversitaire « Réutilisation des données pour la recherche en santé » qui démarrera en janvier, en partenariat avec les universités de Bordeaux, Aix-Marseille et Paris-Cité.
Le 3 novembre 2022, à l’occasion du premier bilan du lancement de Mon espace Santé, l’Agence du numérique en santé a annoncé l’ouverture du catalogue de services.
Le 21 octobre, lors de son colloque annuel, l’UFSBD a présenté le programme Oralien de télésurveillance bucco-dentaire développé avec DentalMonitoring.
La collaboration avec les équipes de VIDAL à permis à Odaiji d’être le premier éditeur à obtenir la nouvelle certification de la HAS pour la médecine ambulatoire.
L’utilisation simultanée de plusieurs fournisseurs d’accès promet aux établissements de santé un accès permanent et ininterrompu aux ressources d’Internet, qu’elles soient publiques, privées ou dans le Cloud.
Le 19 septembre 2022, le collectif MentalTech et l’institut Sapiens ont dévoilé une cartographie des acteurs numériques en santé mentale pour faire état des solutions numériques françaises robustes et utiles, mais aussi tirer les premiers enseignements d’un écosystème en plein essor.
Le 5 septembre, le Comité stratégique de filière des industries et technologies de santé a lancé un appel à manifestation d’intérêt pour identifier, sur le territoire français, les ruptures dans les parcours de santé en s’appuyant sur les données et les techniques d’intelligence artificielle.
À la demande du Premier ministre, le Conseil d’État a publié le 30 août 2022 une étude en faveur d’une stratégie de l’IA ambitieuse au service de la performance publique pour créer les conditions de la confiance tout en dotant la France des ressources et de la gouvernance à la hauteur de ses ambitions. La santé, en lien avec le Health Data Hub, n’y est pas oubliée.
Mi-mai, le Health Data Hub a annoncé la publication du premier arrêté portant la liste des bases composant la base principale du catalogue du Système national des données de santé et qui contribue à l’élargissement de ce dernier à l’ensemble des données financées par la solidarité nationale.
En mai 2022, le CHU de Montpellier, le MiPih et la start-up Yooli s’unissent pour créer un portail patient unique des établissements de santé, basé sur Digihosp Patient qui digitalise l’admission et fluidifie ainsi le parcours du patient à l’hôpital.
Pour la seconde fois, Atlanpole Biothérapies, le pôle de compétitivité Santé du Grand-Ouest, était présent à SantExpo sur un stand collectif partagé avec sept entreprises de l’innovation en santé. Rencontre avec Florence Hallouin, directrice déléguée du pôle.
inEurHeart est un projet d'innovation en matière d'intelligence artificielle et de jumeau numérique visant à révolutionner l'ablation par cathéter, intervention effectuée dans certaines pathologies cardiaques.
La plateforme « Les patients s’engagent », portée par l’association Aider à Aider annonce le soutien institutionnel des laboratoires Pfizer, Roche France et Takeda dans le cadre de Coalition Next afin de renforcer la valorisation des initiatives de patients ou d’aidants.
Labellisé dans la cadre de la PFUE, SANTEXPO 2022 rassemblera les acteurs de la santé venus de tout le continent pour réfléchir aux nouveaux chantiers de l’Europe de la Santé à l’heure des risques globaux. La FHF souhaite proposer à tous les acteurs de la santé de se réunir autour d’une thématique fil rouge : « La santé, nouvelle frontière de l’Europe ? » Au programme de cette nouvelle édition quelques temps forts à ne pas manquer !
Le monde de la santé a été une nouvelle fois victime d’une cyberattaque, rendue publique. Le 17 mars 2022, l’Assurance Maladie annonçait dans un communiqué officiel[1] avoir détecté des connexions de personnes non autorisées au portail « Ameliepro » qu’elle édite pour ses services, via 19 comptes de professionnels de santé.
Le réseau coopératif Vidi a fait le choix de référencer la société MILVUE sur un spectre fonctionnel innovant et inédit et de donner accès à l’ensemble de ses adhérents à des outils de dernière génération en radiologie conventionnelle.
Depuis le 9 mars 2022, OdySight, jeu mobile doté de modules médicaux recommandé dans la surveillance rapprochée de patients atteints de maladies chroniques ophtalmiques, est remboursé après expérimentation dans le cadre du dispositif de l’« article 51 » sur l’innovation.
L’Agence régionale de santé (ARS) Auvergne-Rhône-Alpes, le Groupement de coopération sanitaire (GCS) Sara et l’Assurance Maladie ont organisé un événement digital afin de lancer une instance de concertation en Ardèche permettant de favoriser le développement des projets de e-santé : le Comité d’Animation Stratégique des Systèmes d’information de Santé (CASSIS). Plus d’une cinquantaine de professionnels de santé, parmi lesquels professionnels libéraux, établissements sanitaires et médico-sociaux, fédérations, réseaux… se sont connectés afin de marquer leur engagement autour de la stratégie numérique de santé.
Le 17 janvier 2022, SimforHealth, concepteur de simulateurs numériques en santé, a annoncé le soutien d’Ipsen, Novartis, Pfizer et Takeda via Coalition Next pour la création de la première plateforme de simulation numérique dédiée aux maladies rares.
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