Vous êtes dans : Accueil > code >
UniHA et Medasys annoncent la signature commune du premier marché national portant sur la maintenance, le support et l'évolution des logiciels DX Family. Cette solution complète de production de soins (dossier patient, imagerie, laboratoires, prescription...), à la couverture fonctionnelle médicale et administrative très large, structure de manière importante le fonctionnement et la production de l'hôpital.
Préserver une copie des données des systèmes d’information dans un cadre sécurisé est une priorité pour les établissements de santé ; les restaurer avec le même souci de protection de leur intégrité est tout aussi important. La société Kiwi Backup a développé une solution simple, conforme à la législation et peu onéreuse.
Après TimeWise Bloc, Canyon Technologies a lancé en 2017 TimeWise Stérilisation. Un module qui enrichit les briques logicielles dédiées à l’organisation et à la traçabilité en salle d’opération ou à la gestion du péri-opératoire.
Avec la mise en œuvre des GHT, de nombreux défis techniques, organisationnels et budgétaires liés à la convergence des systèmes d’information s’élèvent et les réponses concrètes sont limitées. Fort d’une présence dans la majorité des GHT, dont un quart d’établissements supports, Medasys a choisi d’étoffer son offre afin d’adresser l’ensemble des problématiques des établissements et d’être un véritable partenaire intégrateur au plus proche de leurs attentes. Aux différents défis, Medasys répond par une expérience pointue et cumulée avec le Groupe Dedalus dans des domaines variés ainsi que par un accompagnement de proximité pour soutenir les établissements dans la transformation de leur SI.
Le monde de l’e-santé, et plus récemment de la m-santé (santé via mobile), connaissent un essor parfaitement inédit. L’Internet des objets, le big data, la télémédecine ou encore la 5G sont les moteurs d’une métamorphose qui s’annonce aussi profonde que durable. Les avancées sont souvent spectaculaires et laissent augurer des progrès notables pour la relation patient-médecin.
Férié ou pas, comme chaque deuxième mardi du mois, Microsoft a publié son célèbre « patch tuesday » [1], qui contient pour ce mois de mai, pas moins de 67 rustines pour les diverses versions de Windows supportées, ainsi que pour d’autres produits annexes, tels que ses navigateurs IE et Edge, Office, Exchange…
Le webzine ZDNet a récemment publié pas moins de trois articles sur la fin des mots de passe selon Microsoft (ici[1], ici[2]et ici[3]). Grosso-modo, deux techniques sont mises en avant : la biométrie et l’authentification à partir d’un terminal de confiance (par exemple un SMS envoyé sur un mobile précédemment appareillé). Super génial, sauf que certains – dont votre serviteur – sont légèrement dubitatifs.
Le règlement général européen sur la protection des données personnelles (RGPD), applicable dès le 25 mai, sera le nouveau garant du respect de la vie privée, notamment en ce qui concerne les données de santé.
Ce sixième congrès de l’APSSIS [1] aura encore une fois été une grande réussite ! Devenu au fil des années la grande « messe » de la sécurité des SI de santé, un évènement incontournable tenu d’une main de maître par son créateur et organisateur, Vincent Trély .
En ce début avril, Olympus sort le DS-9500, un nouveau dictaphone sans fil avec transfert de fichiers en wi-fi pour plus de flexibilité et de liberté au quotidien. L’équipementier espère ainsi renforcer sa position dans le domaine de la dictée numérique.
Le code de santé publique confère aux établissements supports des GHT la responsabilité d’orchestrer la politique d’achat pour tout le groupement. Pour accompagner cette mutation, le MiPih accroît son offre de gestion économique et financière avec SIHA, un système d’information hospitalier dédié à l’achat. SIHA facilite l’échange et la collaboration de tous les acteurs de l’achat du GHT au moyen de modules fédérateurs, paramétrables et évolutifs.
Développée par Computer Engineering, l’application Sté® est destinée aux équipes du service de stérilisation et des blocs opératoires. Sté® intervient à chaque étape de lavage, conditionnement, stérilisation, distribution et traçabilité des instruments ou consommables stérilisés dans l’établissement de santé.
Les données de santé à caractère personnel vont bénéficier d’un nouveau cadre de protection avec le règlement général sur la protection des données, le RGPD, qui entre en vigueur le 25 mai 2018 et les nouvelles procédures de certification des hébergeurs de données de santé, applicables au plus tard le 1er janvier 2019. Deux éléments qui doivent contribuer à bâtir un écosystème de confiance autour de la santé numérique. Sont-ils pour autant compatibles ?
Les rançongiciels chiffrant, sont déjà depuis plusieurs années dans le spectre des équipes SI et SSI. En effet, quel établissement de santé peut se vanter de ne pas avoir eu à faire, ne serait-ce qu’une fois à l’une de ces attaques lors des cinq dernières années. L’infection de 81 hôpitaux britanniques par le ransomware Wannacry en mai 2017, en est sûrement l’exemple le plus marquant(1).
La sécurité, dans le secteur du numérique, ou plutôt, le sentiment de sécurité que nous pouvons ressentir, repose avant tout sur la confiance que nous accordons aux différentes technologies que nous utilisons. Le matériel, tout d’abord, et les récentes vulnérabilités Meltdown et Spectre(1), nous prouvent encore une fois, qu’il s’agit d’un paramètre non négligeable, puis les systèmes d’exploitation, fonctionnant en mode « boîte noir », pour une majorité des serveurs, terminaux et autres dispositifs médicaux équipant nos établissements de santé, pour finir avec les applicatifs, qui là encore, ne présentent que rarement le code « qu’ils ont dans le ventre ».
Succédant à la sensibilisation(1) et au RGPD(2), le troisième thème abordé lors de ce colloque SSI co-organisé par la DGOS, la DSSIS, le service du HFDS et l’ASIP Santé, fut la mise en œuvre des démarches nationales de prévention des incidents SSI.
La certification HAS des logiciels d'aide à la dispensation (LAD) dans les pharmacies à usage interne (PUI) exige l’utilisation d’un code MedicaBase pour identifier un médicament virtuel dans un message de prescription.
Depuis quelques mois, le sujet « RGPD » sature la bande passante des canaux d’information des DSI et des RSSI de santé. Son application en mai 2018 (c’est bientôt), ses 99 articles et 173 considérants (c’est épais), les montants des amendes pour non-conformité (élevés) et l’ampleur du travail estimé (important) font partie des sources d’angoisse générées.
On nous aurait menti ?! C’est un véritable séisme qui secoue le milieu des éditeurs des logiciels d’aide à la prescription.
Depuis plus de 10 ans, notamment grâce à la publication du Livre Blanc sur la télémédecine en 2009 et ses développements ultérieurs, le Conseil national de l’Ordre des médecins contribue activement à l’inclusion du numérique dans les pratiques médicales.
Les établissements de santé seront confrontés dans les deux prochaines années au double défi de l’identification unique des patients au sein des GHT et de la généralisation de l’identifiant national de santé.
L’association à but non lucratif SNOMED International qui maintient et distribue la terminologie médicale de référence SNOMED CT, a organisé l’événement « SNOMED CT Expo ». L’objectif ? Rassembler les parties prenantes (éditeurs, décideurs, professionnels de santé, terminologistes) de tous les continents pour confronter les expériences de mise en œuvre de cette terminologie. Le cru « SNOMED CT Expo 2017 » qui s’est tenu les 19 et 20 octobre derniers à Bratislava, a été l’occasion pour Phast de présenter sa traduction française et les premières implémentations exploitant cette traduction.
L’évolution de la procédure d’agrément pour l’hébergement de données de santé sur support numérique vers la certification HDS est sur le point d’être adoptée. Une transition à anticiper !
GS1, l’organisation mondiale de standardisation des échanges commerciaux, célèbre le World Standards Day (14 0ctobre 2017) et choisit pour cela de mettre en lumière l’usage des standards dans le secteur de la santé. Une utilisation synonyme de bénéfices majeurs à la fois pour les patients et les acteurs de la filière santé.
Telle est la question qui m’a été posée. A l’origine du questionnement une chronique juridique, issue des informations mensuelles du CISME, intitulée Activité des SSTI et obligations juridiques, dans laquelle il est indiqué que :
Sa nomination effective depuis le 4 septembre dernier coïncide avec la volonté du Groupe de se positionner stratégiquement sur les nouveaux besoins des territoires de soins.
Dans le secteur de la cybersécurité, s’il y a bien une chose de sûre, c’est que l’on ne s’ennuie jamais. L’actualité complètement folle de ce domaine toujours en quête de nouveautés nous amène parfois à découvrir des choses complètement insolites !
Comme tous les premiers mardi du mois, Microsoft a publié le 12 septembre dernier son désormais célèbre « Patch Tuesday ». Être à l’heure pour passer les mises à jour de sécurité n’a pas toujours été notre spécialité dans le secteur de la santé, mais on fait des progrès.
Medasys, principal éditeur et intégrateur français de logiciels médicaux pour établissements de santé, publics et privés, dans les domaines du dossier patient, de la production de soins et des plateaux techniques (biologie, imagerie, pharmacie), annonce l’acquisition de la société Netika SAS, société spécialisée dans le développement et la commercialisation de logiciels dédiés à l’assurance qualité et à la gestion des Systèmes d’Information de Laboratoires.
C’est la question que l’on peut se poser lorsqu’on regarde de près l’actualité numérique.
Dans un article récent du journal Le Monde (1), on apprend à peine étonnés que « les employés du futur veulent de la sécurité, mais ne veulent ou peuvent pas se remémorer des dizaines de mots de passe. La seule méthode, dans un contexte où ces mêmes employés choisiront le même mot de passe pour tous leurs comptes et où il faut sécuriser tout de même, c’est l’authentification forte (à plusieurs facteurs).
Courrier International publie cette semaine un très intéressant dossier sur la lutte antivirale à l’échelon planétaire, faisant suite aux deux alertes majeures Wannacry et Petya. Rappelons que le principe de l’hebdomadaire n’est pas de défendre un point de vue mais de présenter un panel relativement large des points de vue internationaux sur chaque sujet.
Suite au succès des 3 premières saisons du MOOC* « Initiation à la e-santé », l’association FORMATICSanté, pionnière dans le domaine de la e-formation et la e-santé, propose un accès permanent et gratuit au Module Introducation à la e-santé - " Enjeux et domaines de la e-santé "
APICRYPT vient de passer la barre des 70 000 utilisateurs.
En interfaçant TimeWise à Direct-Consult et DirectOP, Canyon Technologies propose aux gestionnaires de blocs opératoires une information exhaustive du parcours du patient opéré, y compris dans le champ de l’anesthésie. Un connecteur transparent pour l’utilisateur et très simple à mettre en œuvre permet l’échange de fichiers via un EAI ou un simple partage de répertoires.
Il y a à peine une petite dizaine d’années, tous les spécialistes de la sécurité physique ou informatique tenaient pour acquis, cela ne faisait pas l’ombre d’un doute, que la biométrie était l’avenir de l’homme, ou en tout cas celui du RSSI. Voire.
Avec IUP, le MiPih propose une vraie solution d’identification unique du patient.
Le secteur IT mondial s’apprête à vivre une importante crise. Un nouveau rançongiciel chiffrant (ou cryptovirus) se propage de manière préoccupante sur l’ensemble de la planète depuis ce vendredi 12 mai.
Il ne faut pas se leurrer, la sécurité d’une solution est bien souvent limitée par l’imagination de ses concepteurs. Chaque vulnérabilité est due, soit à une erreur de conception, une mauvaise idée ou une chose à laquelle les concepteurs n’avaient pas pensé (une mauvaise analyse de risque si vous voulez).
Le dernier module de Computer Engineering, Chimio® Wifi, apporte une solution ergonomique pour contrôler et tracer en direct l’administration des chimiothérapies. Le soignant dispose ainsi d'un outil simple d'utilisation qui lui permet d'optimiser ses pratiques et mieux se consacrer à son cœur de métier.
Avec TimeWise Stérilisation, Canyon Technologies complète son offre logicielle dédiée à la gestion des activités de bloc opératoire. Ce nouveau module, conçu en étroite collaboration avec les professionnels de santé, est en phase de bêta-test depuis 2016 et sera lancé à l’occasion du Salon HIT 2017.
Annoncé depuis plusieurs mois, le vote, par le Parlement Européen, de la réglementation européenne dispositifs médicaux est effectif depuis le 5 avril 2017. Elle intègre la notion nouvelle d’identifiant unique, également appelée en anglais « UDI » (Unique Device Identifier), permettant d’assurer une codification harmonisée et une meilleure traçabilité des dispositifs médicaux. Cette réglementation s’appuie sur les standards GS1 pour assurer son fonctionnement.
Excellent article[1] de Pierre Desmarais sur son blog concernant la légalisation de l’utilisation du NIR (numéro Insee) dans le monde de la santé.
Les plus lus