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En matière de SI et aussi de sécurité du SI, il y a des questions pour lesquelles la réponse est connue, le problème fini, rangé, classé. Par exemple, il faut mettre un antivirus sur les postes de travail, il faut mettre à jour les signatures et les patches de sécurité, etc. Dans la plupart des cas il s'agit de points techniques et la fameuse liste des fondamentaux de Patrick Pailloux se classe dans cette catégorie.
La Réunion Annuelle des Utilisateurs Maincare Solutions s’est tenue les 18 et 19 novembre à l’Espace Cap 15 à Paris et a rassemblé 400 participants sur les deux jours dont la majorité des CHU français.
Avec près de 2.500 lits de capacité d’accueil, 220.000 hospitalisations et 500.000 consultations par an, 1er employeur de la région Languedoc-Roussillon avec plus de 11.000 salariés, le CHRU de Montpellier demeure aujourd’hui parmi les tout premiers hôpitaux de France, parmi les plus dynamiques et les plus entreprenants.
A l’occasion de son numéro 100, DSIH 7 News inaugure une nouvelle rubrique, très attendue de nos lecteurs : Ils/elles bougent. Cette rubrique est la vôtre : si vous changez de fonction, faites le savoir. DSIH diffusera gratuitement l’information et vous aiderez ainsi vos relations professionnelles à vous suivre dans votre parcours.
Dans le cadre d’une expérimentation, certains médecins hospitaliers ont un droit d’accès et de modification au Dossier Pharmaceutique (DP). La 3ème journée de la Communauté des utilisateurs de VIDAL Hoptimal a donné lieu à un partage d’expérience.
Bien malin qui pourra prédire avec une marge d'erreur faible ce que sera la pratique médicale dans quelques décennies. Voici quelques tendances qui pourraient en effet rebattre les cartes.
La petite histoire, telle que je la raconterai à mes descendants (sources : Wikipédia).
« Le périmètre de l’hébergement agréé ne peut être fixé dans les tables, il doit évoluer avec la vie des professions, les développements technologiques. Une réflexion forte et urgente doit, par exemple, se mettre en place sur les bases détenues par les assureurs privés et publics. »
Moi, j'ai confiance dans l'hôpital. Je ne parle pas du secret médical, bien entendu, mais du système administratif, comme par exemple le système administratif de cotation des actes. Les départements d’information médicale sont muets comme des tombes : certes ils ont accès à tous les examens et actes que j'ai dû passer, mais sont tenus par le secret professionnel. Et puis ce sont quand même des médecins, pas de soucis. J'ai confiance.
Le Conseil d’Etat a choisi le numérique comme terrain d’étude pour 2014 et il en ressort un volumineux rapport de 446 pages qui traque le sujet sous tous les angles et se structure en 50 propositions.
Ca y est, c'est la rentrée, la vraie : les affaire reprennent, les annonces en tout genre aussi.
Les messageries sécurisées de données sanitaires, destinées à l'échange d'informations, entre professionnels de santé, concernant les patients dont ils ont la charge, sont autant d'outils favorisant la coordination pluridisciplinaire des soins. La CNIL a récemment publié ses recommandations quant aux aspects réglementaires à respecter pour l'utilisation de ces boites aux lettres.
Dans un communiqué du 9 juillet dernier, notre Ministre Marisol Touraine annonçait que, suite au rapport de la commission Open Data sur les données de santé, « certaines propositions seraient mises en œuvre dès cette année ». Points de détails sur les propositions en question, le communiqué laisse plus d’interrogations que de réponses. Il y a cependant deux aspects remarquables dans ce dossier.
Quelques semaines après le rapport de la CNIL sur l’usage des données de santé sur Internet, l’enquête « Parler de santé sur le web, quelle(s) conséquence(s) ? » s’intéresse à la perception des premiers concernés : les malades actifs sur Internet.
Aujourd’hui, la mobilité est partout : smartphones, tablettes, applications. Les hôpitaux n’échappent pas à la règle.
Dans une tribune récente cosignée par Beate Bartès (fondatrice et présidente de l'association « Vivre sans thyroïde », source APM du 20 juin 2014), plusieurs représentants d'associations s'émeuvent de la véritable finalité de certaines communautés de patients en ligne, certaines ayant semble-t-il des préoccupations pas si désintéressées que cela.
Le corps est-il en passe de devenir un objet connecté ? Le régulateur doit-il s’apprêter à encadrer les usages de la santé connectée, et lesquels ?
Dans son rapport d’activité 2013, la Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés s’inquiète de la gestion des données de santé notamment via les applications de m-santé. Elle repose également la question de l’INS.
Par le biais d'une note adressée le 28 avril dernier à l'ensemble des directeurs d'hôpital de l'Assistance publique-hôpitaux de Paris (AP-HP), le Directeur général (DG), Martin Hirsch, entend mettre en œuvre "une vérification générale" de la conformité à la loi Informatique et Libertés des applications informatiques, "préludant en tant que besoin à des mises en conformité".
En milieu de semaine dernière, Martin Hirsch, directeur général de l’AP-HP a tenté d’atténuer la tension qui règne à l’Hôpital Européen Georges-Pompidou (HEGP) depuis la révélation de l’existence d’un fichier sur les chirurgiens.
En octobre dernier, la CNIL a mis en demeure le Centre hospitalier de Saint-Malo, pour avoir permis à l'un de ses prestataires d'accéder aux dossiers médicaux de 950 patients.
Le mur du çon a été allègrement franchi par le Ministère de la santé à propos de la prise en charge du traitement de l'apnée du sommeil. Retour sur le feuilleton à épisodes.
Par Alexandra Gavarone, Directrice du développement de Beazley en France. Beazley est un groupe mondial d’assurance, expert notamment des cyber-risques.
En discussion l'Assemblée nationale, la future loi de programmation militaire fait rire ou pleurer, c'est selon.
Pour sa troisième édition, le Congrès National de la Sécurité des Systèmes d’Information de Santé accueillera 150 Professionnels, DSI, RSSI, Médecins, Institutionnels, Editeurs au Mans, les 1er, 2 et 3 avril 2014.
L’Agence Régionale de Santé de Bourgogne et le GCS e-Santé régional organisent, le 21 novembre prochain, des « Rencontres Sécurité des Systèmes d’Information » sur le thème « De la mutation numérique à la pratique du changement ».
Le site d’information spécialisé Data Security Breach nous informe qu’une quarantaine de Centres Hospitaliers français n’est pas passée loin d’une petite catastrophe. Dans un article intitulé « Fuite de données concernant une quarantaine de Centres Hospitaliers français »*, il est expliqué comment un fichier contenant l’ensemble des éléments permettant d’accéder aux bases de données recensant les patients reçus aux Urgences a circulé sur le WEB.
Selon les dispositions de la Loi Informatique et Libertés (art 6. 5°) les données personnelles ont une date de péremption : « Elles sont conservées sous une forme permettant l’identification des personnes concernées pendant une durée qui n’excède pas la durée nécessaire aux finalités pour lesquelles elles sont collectées et traitées. »
Le déploiement de l’hôpital numérique ces cinq dernières années par les établissements de santé, est un atout majeur dans la gestion et la performance du parcours de soin, de suivi et de santé du citoyen et du personnel médical et paramédical.
Le rapport sur la "Gouvernance et l'Utilisation des Données de Santé" rendu récemment par Pierre-Louis Bras à Marisol Touraine émet des préconisations quant à la création d'un système d'information public de gestion des données de santé nationales. Certaines de ces recommandations auront besoin d'être affinées, afin de définir clairement ce qui doit tomber dans le domaine public, ou pour ne pas provoquer le mécontentement des professionnels de santé.
La Présidente de la CNIL a adopté le 25 septembre 2013 une mise en demeure à l’encontre du Centre hospitalier de Saint-Malo. Elle fait suite à une procédure de contrôle qui a été engagée les 5 et 6 juin 2013. Ce contrôle a révélé qu’un prestataire a pu accéder, avec le concours de l’établissement, aux dossiers médicaux de plusieurs centaines de patients, méconnaissant ainsi le code de la santé publique et la loi Informatique et Libertés.
Pour cette troisième édition, 16 conférences sur mesure, 2 débats et une séquence « RSSI Santé : réalités et prospective » rythmeront les 3 jours, qui permettront également aux Congressistes, Conférenciers et Partenaires de se réunir au cours de 2 dîners et de 2 déjeuners animés !
Le dossier médical électronique est le maillon essentiel du parcours santé de demain où il ne sera pas concevable d’avoir une rupture d'information dans le parcours santé du patient, où chaque traitement, antécédent, allergie, pathologie chronique d’un malade devra être accessible quasiment en temps réel à chaque professionnel de santé de celui-ci. On parle même d’inclure le séquençage ADN comme type d’information à y entreposer…
Les systèmes de suivi et d'assistance des personnes âgées sont désormais observés avec attention par la CNIL, qui émettra prochainement une série de recommandations pour prévenir les effets pervers pouvant éventuellement survenir dans l'utilisation de ces outils. Elle souhaite, notamment, que les acteurs de la prise en charge des patients gardent la maîtrise de leur surveillance, ou que ces systèmes préservent leur liberté et leur dignité.
Paris, le 9 juillet 2013 -Les mesures annoncées vendredi dernier lors du 6ème CSIS (Conseil stratégique des industries de santé) présidé par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault et du CSF (Comité stratégique de filière) co-présidé par les ministres du redressement productif, de la santé et de la recherche, montre une identification accrue du secteur des dispositifs médicaux par les autorités. Le Syndicat National de l’Industrie des Technologies Médicales (SNITEM) s’en réjouit et salue la volonté manifestée par les pouvoirs publics de lever les freins à l’innovation, à l’accès au marché, à la production industrielle, à l’export et à la recherche. L’organisation professionnelle et ses entreprises adhérentes qui se sont fortement impliquées dans les travaux préparatoires au CSIS, suivront avec attention la mise en application des propositions prévue dans un an. A cet égard et de façon plus spécifique, le SNITEM et ses entreprises adhérentes soulignent leur volonté de pouvoir pleinement participer au groupe de travail qui va être créé sur l’accès au marché des produits.
L'existence d'un système qui met à disposition et permet de partager des données informatiques a suscité la naissance et le développement de Datacenter. De la même manière, dans le secteur de la santé, la nécessité de stocker et d'accéder instantanément à des données personnelles et sensibles a généré l'apparition des hébergeurs de données sensibles à caractère médical. La société IBO, basée à Clermont-Ferrand, poursuit sa dynamisation de l'image de l'Auvergne, en devenant hébergeur agréé de données de santé à caractère personnel.
Paris, le 25 juin 2013 – Deux mois après avoir présenté avec les ordres professionnels la démarche commune visant à construire le système des messageries sécurisées de santé MSSanté, l’ASIP Santé lance le betatest d’un premier service de messagerie sécurisée MSSanté destiné à tous les professionnels.
Paris, le 5 juin 2013 - Le Groupe Orange vient de communiquer dans la presse sur l’obtention d’une autorisation qui aurait été délivrée par la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) et l’ASIP Santé, lui permettant de développer un dispositif d’authentification utilisant un Smartphone et qui serait alternatif à la carte de professionnel de santé (CPS).
L’archivage sécurisé des dossiers patients, physiquement, sur site distant tout en y accédant 24h/24 de façon numérique. Communiqué de presse, Paris, le 14 mai 2013 – Iron Mountain, le leader mondial des services d’archivage et de protection des informations inaugure un nouveau service destiné aux cliniques et hôpitaux français, IM Santé : l’archivage sécurisé sur site distant des dossiers des patients, tout en y accédant de façon numérique 24h/24, en quelques clics.
Une clé d’échanges de données personnelles de santé au bénéfice des patients : coordination des parcours et coopérations interprofessionnelles.Pouvoir échanger entre professionnels de santé des mails sécurisés contenant des données personnelles de santé des patients, telle est la cible simple qui mobilise depuis plusieurs années l’ensemble des professionnels de santé et que l’ASIP Santé met en œuvre en 2013.
Lyon, le 16 avril 2013. Le Groupe EVERIAL, acteur majeur de la gestion des documents physiques et électroniques et du traitement des flux d’information, et la société GRITA, hébergeur agréé de données de santé et éditeur de la solution GED OCEANUM, concluent un partenariat stratégique pour fournir l’offre e.Santé, une solution globale de gestion physique et électronique du dossier patient papier.
En déclarant que le débat était ré-ouvert et que l’avis de la CNIL avait été « sur interprété », Jeanne Bossi, secrétaire générale de l’ASIP Santé, a surpris plus d’un participant à la réunion e-santé de l’EBG1 le 9 avril dernier.
Les récents épisodes de diffusion de données de santé sur le web ont fait couler beaucoup d'encre. DSIH est allé à la rencontre de Bruno Rasle, un spécialiste du secteur, puisqu'il est Délégué Général de l'Association Française des Correspondants à la Protection des Données à caractère Personnel (AFCDP).
En cette fin d’année, le plateforme de télémédecine COMEDI-e ®(COopération MEDicale Innovante en e-santé) a franchi une nouvelle étape avec le démarrage ce 13 décembre 2012 du service de télé radiologie permettant d’assurer la PDS (permanence des soins) en imagerie médicale entre le CH de Péronne (accueillant des patients en urgence requérant un scanner) et le CH de St Quentin (où se situent les radiologues d’astreinte).Cette action s’inscrit dans le cadre de l’appel à « projets pilotes » lancé par la DGOS, pour lequel la réponse de l’ARS de Picardie a été retenue pour son projet de développement de la PDS en télé radiologie.
Lors du conseil des ministres du 10 octobre, Fleur Pellerin, la ministre déléguée auprès du ministre du redressement productif, a présenté le projet porté par le gouvernement en faveur du numérique. L'égalité de tous pour l'accès aux technologies numériques est le leitmotiv de cette déclaration, notamment la poursuite du dossier de couverture intégrale du territoire en très haut débit, initié en son temps par Eric Besson.La ministre déléguée a réaffirmé la vigilance du gouvernement concernant la sécurité des réseaux, systèmes et données, mais aussi le respect de la vie privée et de la liberté d'expression avec le concours de la CNIL. Elle souhaite, de plus, mener une réflexion sur la fiscalité des activités économiques en ligne afin de l'adapter à ce marché croissant.
Après avoir obtenu en mars dernier l’autorisation de mise en oeuvre de la plateforme COMEDI-e permettant la réalisation d’actes de télémédecine, le GCS e-Santé Picardie a obtenu fin mai 2012 l’autorisation de mise en oeuvre du volet télé radiologie. La CNIL a autorisé la mise en oeuvre par le GCS e-santé Picardie de la plateforme Comedi-e permettant la réalisation d’actes de télémédecine, au sens du décret d’octobre 2010.
HSC vient d'obtenir le label de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) pour sa formation "Correspondant informatique et libertés" (CIL). Ce label a été délivré par la CNIL, réunie en séance plénière, le 14 juin 2012, pour une durée de trois années. Il s'agit de la première fois que la CNIL attribue des labels, comme l'article 11 de la loi du 6 janvier 1978 le lui permet.
Ecoutée par 200 000 auditeurs, l’émission Chek up Santé présentée par Fabien Guez et ses chroniqueurs Christine Colmont et Hervé Requillart, s’adresse à tous les acteurs de santé et propose chaque dimanche, entre 14h et 15h, des échanges autour de sujet d’actualité de santé : réglementation, politique, nouvelles technologies ou économie. A cette occasion, Fabien Guez s’entretiendra avec Maitre Omar Yahia, Avocat au Barreau de Paris.
Philippe Stoppa de FairWarning fait un état des lieux de l’application du cadre réglementaire en France en matière de confidentialité des données de santé à caractère personnel.D’un coté le citoyen, patient à ses heures, souhaite que ses données médicales se trouvent bien en lieu sûr et le suivent partout si nécessaire pour optimiser les soins prodigués, de l’autre le médecin qui a besoin d’accéder immédiatement aux informations de son patient et se préoccupe surtout de la fiabilité et de celles-ci.
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