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Récemment, l’ensemble des RSSI et DSI d’hôpitaux ont dû faire face à un malware de la classe des ransomware : le bien nommé cryptolocker. Malware, parce qu’il se propage par la messagerie et infecte les boîtes aux lettres et les fichiers des utilisateurs. Ransomware, car son action principale consiste à crypter les fichiers de la victime, qui doit alors sortir la CB et les billets pour accéder de nouveau à ses propres données.
Le système d’intégration pour appareils biomédicaux de la société Capsule, appelé SmartLinx MDIS®, est en déploiement au Centre Hospitalier de Gonesse, dans le Val-d’Oise. Retour d’expérience avec Muriel Forest, cadre de santé, détachée auprès de la DSI.
Les 7èmes Journées des Adhérents du SIB qui se tiennent les 8, 9 et 10 avril à la Baule, s’intéressent à la transformation digitale de la santé amenée par la santé connectée, au « nouveau rôle » du patient augmenté-citoyen connecté et à l’impact des nouvelles organisations territoriales (CHT, GHT, …) sur les Systèmes d’Information de Santé.
L'exemple des CHT de Puget / Entrevaux est significatif de ce que peuvent réaliser les CH avec leurs moyens. Mamar Menai, DSI de cette CHT, évoque pour nous l'évolution de son projet de structuration de son SI et l'organisation de la formation des soignants, qui ont adopté leurs nouveaux outils.
Actualité protéiforme cette semaine. Que l'on en juge.
Quelques mois après son lancement à l’été 2014, CasSIS Conseil, la branche conseil du MiPih, leader en informatique hospitalière en France, dresse un bilan positif de ses activités. Les acteurs de terrain sont unanimes.
Un utilisateur à son Directeur des Systèmes d’Information (DSI)
Le 16 avril 2015 à 13 heures débutera le CyberatHack 015. Plus de 200 personnes sont attendues pour cette seconde édition qui se déroulera à Toulouse. Réunissant Directeurs Généraux, DSI, Bloggeurs spécialisés en cybersécurité et Juristes autour de thématiques d’actualité, le concours Capture The Flag- concours de hacking -clôturera l’événement. Entretien avec Marion Godefroy - Marketing and Communication Manager – Itrust.
Le CHU de Reims a mis en place une procédure de gestion des droits d’accès pour le personnel hospitalier qui simplifie grandement la tâche du service des ressources humaines et des administrateurs de la Direction des Systèmes d’Information.
Ceux qui ont eu le courage de lire les deux premiers opus de cette série sont en droit de se demander : que faire-, une fois que l'on aura remis à plat toute la gestion du parc des PC ? Comment bien gérer tout cela ?
Quand un ambulancier transporte un patient d'un site à un autre, il est possible qu'un de ses pneus crève. En tout cas cela n’est pas une hypothèse à exclure.
Une fois le constat fait que l’on s’y est tous pris comme des nuls dans la gestion de nos parcs de PC, quelles solutions pour remettre tout cela à plat ? Annonçons tout de suite la mauvaise nouvelle : ça va coûter un bras, si ce n’est pas un œil en prime.
Une question qui titille régulièrement les décideurs : quel profil recruter pour être le DSI de son hôpital, sa clinique, sa structure de soins, etc. ? Force est de constater que l’on pourrait presque écrire une histoire de l’informatique de santé à la lumière de cette question et des réponses qui ont été apportées au fil du temps.
A l’occasion de son assemblée générale annuelle, le 5 février dernier, l’association EDESS-Edisanté (1) a ouvert le débat - inépuisable - de l’échange de données entre représentants de médecins, de collectivités locales et du monde associatif.
Ces dernières semaines, entre les alertes cryptolocker et autres attaques ciblées, certaines DSI doivent légèrement transpirer et se remémorer le cuisant souvenir de Conficker. Rappelons en effet que l’infection Conficker avait pour terreau l’absence de mise à jour du SP1 en SP2 de Windows XP, mise à jour toujours repoussée aux calendes grecques par les DSI de l’époque car ce n’est jamais le bon moment – par définition. Trop de travail, trop de qualification, pas urgent, on passe.
L’interface de dossier médical Vieviewer passe la seconde. Pour développer son expertise, l’éditeur s’est doté d’un comité scientifique.
Le président du SMPS (Syndicat des manageurs publics de santé), Jérémie Sécher, a accordé un entretien à DSIH Magazine dans le cadre du dossier qui vient d’être publié, « La DSI vue par les DG » (1).
Dans ce qui n'est pas vraiment un ouvrage de fond mais plutôt un « white paper », les trois auteurs posent clairement un problème qui va plomber le monde IT si l’on ne fait rien pour changer les choses : après 50 années d’existence, les Directions des Systèmes d’Information (DSI) autant que les éditeurs restent scotchés à des méthodes de travail relevant de l’artisanat pur alors que la migration vers des processus industriels aurait déjà dû commencer.
Les DSI du monde de la santé peuvent être rassurés. Les directeurs d’établissements intègrent désormais la dimension numérique dans leurs orientations stratégiques. Les facteurs d’incompréhension entre DSI et DG s’estompent. Rançon du succès : le (la) DSI idéal (e) s’apparente au mouton à 5 pattes aux yeux des DG.
Il y a longtemps loin d'ici, vivaient dans un pays étrange et merveilleux des petits lutins joyeux : il s'agissait des Schlips.
A l’occasion des vœux de l’AP-HP, le 15 janvier, Martin Hirsch a annoncé la création d’un conseil numérique « associant médecins et techniciens » pour « permettre aux innovations de se diffuser plus rapidement, y compris pour des applications mobiles ».
Une évolution majeure des systèmes d’information hospitaliers se profile à l'horizon : le numérique est sur le point de pénétrer en profondeur les processus de soins pour améliorer, entre autres, la qualité de prise en charge des patients dans les établissements de santé. Et la Champagne-Ardenne ne compte pas rester en marge de cette ambition portée par le Programme Hôpital Numérique (PHN). Fort de ses réflexions et partages de longue date autour des questions posées par les démarches de certification, de fiabilisation des comptes et de "numérisation" de l'hôpital, le collège des Directeurs des Systèmes d’Information et de l’Organisation (DSIO) de la région a été entendu début 2014 par l'ARS dans sa demande de renforcement de compétences pour mettre les établissements en situation d'avancer concrètement sur le "Programme Hôpital Numérique".
Il a été porté à notre connaissance que différents groupes de pirates informatiques envisageaient de lancer une action de malveillance d’envergure pour le 15 janvier 2015. En conséquence, il vous est demandé d’ores et déjà d’être vigilant en cette période de forte tension.
« Mais de toute ma carrière, je n'ai jamais connu d'accident […] d'aucune sorte qui vaille la peine d'être mentionné. Pendant toutes ces années passées en mer, je n'ai vu qu'un seul navire en détresse.
Comme nous l’évoquions en décembre, les organisateurs des Salons Santé Autonomie et d’Health-ITExpo (HIT) ont décidé de dynamiser et moderniser cet événement dédié aux Technologies et Systèmes d’Information appliqués à la Santé.
Nous sommes un pays latin, en conséquence de quoi tout le monde est d'accord avec les règles, sur le principe mais uniquement sur le principe : dès lors que la règle s'applique à nous-même nous cherchons la plupart du temps le moyen d'y échapper. Petite analyse informatico-sociologico-énervée de la déclinaison de ce concept dans le monde SI.
En matière de SI et aussi de sécurité du SI, il y a des questions pour lesquelles la réponse est connue, le problème fini, rangé, classé. Par exemple, il faut mettre un antivirus sur les postes de travail, il faut mettre à jour les signatures et les patches de sécurité, etc. Dans la plupart des cas il s'agit de points techniques et la fameuse liste des fondamentaux de Patrick Pailloux se classe dans cette catégorie.
Format magazine ou site web (1), dossiers de fond et veille au quotidien, outil de benchmark, de partage d’expériences… quatre lecteurs de DSIH nous expliquent dans ce court film ce qu’ils lisent, comment ils se documentent, quelle place ils donnent aux outils d’information DSIH parmi l’ensemble des sources disponibles.
Cette fin de semaine a été marquée par une déferlante sans précédent d'alertes au malware Cryptolocker.
La Réunion Annuelle des Utilisateurs Maincare Solutions s’est tenue les 18 et 19 novembre à l’Espace Cap 15 à Paris et a rassemblé 400 participants sur les deux jours dont la majorité des CHU français.
Avec près de 2.500 lits de capacité d’accueil, 220.000 hospitalisations et 500.000 consultations par an, 1er employeur de la région Languedoc-Roussillon avec plus de 11.000 salariés, le CHRU de Montpellier demeure aujourd’hui parmi les tout premiers hôpitaux de France, parmi les plus dynamiques et les plus entreprenants.
On l'avait compris, la connexion d'un matériel non maîtrisé par l'institution au réseau interne a tendance à me donner de l'urticaire. Cela étant, il existe tout de même des pistes de travail, pour peu que certains principes restent respectés. Dans l'idéal, il faut raisonner par couches ou catalogue de services : on va découper l'approche BYOD en plusieurs strates, chacune correspondant à un service mis en œuvre par la DSI et implémentant également des règles de sécurité. L'idée est que plus on autorise, sur un terminal non maîtrisé, l'accès aux fonctionnalités du SIH, et plus les contraintes de sécurité doivent être respectées.
Après le filet un peu énervé de la semaine dernière – et qui a suscité pas mal de commentaires, à la fois sur le site DSIH et par message privé sur linkedin – après avoir dit ce qu'il ne fallait pas faire, chacun est en droit de demander : ok, mais maintenant on fait quoi ? Il y a, en fait, plusieurs axes de travail, plusieurs façons d'aborder la question. Ce sujet a déjà été traité dans un article de DSIH version papier (1), mais il est utile de rappeler quelques principes.
Il y a longtemps loin d'ici, vivaient dans un pays étrange et merveilleux des petits lutins joyeux : il s'agissait des Schlips.
On pourra me taxer d'être réac, vieux jeu, plus en phase avec son époque ou que sais-je, la dépêche de Ticsanté concernant le déploiement du BYOD au CH de Troyes (1) me laisse perplexe. Si les données contenues dans la dépêche sont avérées – alors « verroterie » est certainement une nouvelle marque de savon.
Corinne Casoli, directeur des systèmes d’information du Centre Hospitalier de Belfort-Montbéliard et Christian Joannic, ingénieur responsable à la direction du système d’information du Centre Hospitalier Sud-Bretagne en témoignent : assurer la qualité de l’accueil téléphonique tient parfois de la gageure. Et quand on sait à quel point l’image d’un hôpital peut être atteinte par les longs temps d’attentes téléphoniques, on les comprend !
Marie Seys est, depuis 2012, responsable informatique de la clinique de Montberon, située dans les environs de Toulouse. L’établissement est spécialisé dans le traitement des maladies du système nerveux qui relèvent de la psychiatrie adulte, notamment les troubles du comportement alimentaire et les conduites addictives. C’est une structure privée indépendante, créée en 1968, qui dispose de 120 lits d’hospitalisation et d’un accueil de jour. Elle nous retrace les étapes du processus Hôpital Numérique initié dans son établissement, auquel les solutions Corwin ont grandement contribué.
Dans le cadre d’une expérimentation, certains médecins hospitaliers ont un droit d’accès et de modification au Dossier Pharmaceutique (DP). La 3ème journée de la Communauté des utilisateurs de VIDAL Hoptimal a donné lieu à un partage d’expérience.
Avec Impax Agility, Agfa HealthCare met à disposition des radiologues toutes les fonctionnalités relatives à leurs pratiques dans un seul environnement de travail. Cette solution assure aux DSI un retour sur investissement significatif par une optimisation des workflows et l’acquisition d’une seule licence.
Un outil d’analyse comportementale qui détecte ce qu’on ne cherche pas et capable d’apprendre tout seul… Curieuse, je demande à Jean-Nicolas Piotrowski - Directeur Général – Itrust de m’en dire un peu plus sur IT-Tude, solution d’analyse des failles et risques de sécurité d’un nouveau genre.
Le projet de loi de santé pour 2015 annonce la mise en œuvre de Groupements hospitaliers de territoire conçus, entre autres, pour renforcer la mutualisation en matière de systèmes d’information. Comment se préparer ? Le CH de Troyes montre une des voies possibles.
Les DSI innovent, anticipent sur les usages et les besoins des soignants, comme des patients ; ils s’apprêtent à installer l’hôpital 2.0 sur son territoire et à l’ouvrir (virtuellement) jusqu’au domicile. Avec son numéro 13 (octobre 2014), DSIH Magazine met en scène « Les DSI à l’heure de l’innovation ».
Moi, j'ai confiance dans l'hôpital. Je ne parle pas du secret médical, bien entendu, mais du système administratif, comme par exemple le système administratif de cotation des actes. Les départements d’information médicale sont muets comme des tombes : certes ils ont accès à tous les examens et actes que j'ai dû passer, mais sont tenus par le secret professionnel. Et puis ce sont quand même des médecins, pas de soucis. J'ai confiance.
Pour la rentrée, ENOVACOM organise un nouveau cycle de webinars à destination des professionnels de santé. La première session portera sur les échanges inter-applicatifs : « Comment bien mener une démarche d'urbanisation du SIH ? ».
Pour une fois qu'une mesure pas trop stupide est en élaboration dans les bureaux lambrissés des ministères, il fallait que nous l'évoquions.
La start-up ICANOPEE, créateur de solutions logicielles de partage et d'échange de données de santé à destination des professionnels de santé, édite aujourd'hui l’API qui facilite l’intégration de 100% des transactions du DMP.
Piloter une infrastructure technique complexe, composée de serveurs, de baies de stockage, de composants actifs réseau, de fermes virtualisées est l’une des principales missions des équipes techniques de la DSI.
A compter de septembre 2014, l’ANAP lance le projet volet Ressources Humaine en Système d’Information (Volet RH en SI).
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