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La crise du Covid a mis en évidence un vrai problème de santé publique : l'incapacité pour les établissements de santé de savoir où se trouvaient les lits libres dans un bassin de population. Bien que les ressources soient limitées, il arrive bien souvent que des lits soient disponibles à quelques kilomètres d’un établissement demandeur en lits d’aval. Est-ce dû à un manque de communication, de temps de mise en place des conventions, de visibilité… ?
Les systèmes de santé produisent de plus en plus de données et les exigences concernant leur usage augmentent proportionnellement aux besoins de santé publique. Malgré une politique publique française volontariste, et un consensus sur l’utilité de l’exploitation des données de santé pour la santé publique, les données hospitalières sont encore sous-exploitées. Convaincu que ces données représentent une opportunité importante de moderniser les approches classiques de santé publique tout en et assurant la soutenabilité de notre système de santé, le Healthcare Data Institute (HDI) s’est emparé du sujet pour dresser un état des lieux des usages des données hospitalières, identifier les leviers et proposer des recommandations pratiques et stratégiques pour accélérer l’usage de ces données.
Le 14 mars dernier, WELIOM assistait aux Journées nationales du numérique à l’hôpital, l’occasion de débattre du bilan du programme HOP’EN et du nouveau volet SUN-ES, en compagnie de l’ANS, de la DGOS, de l’ANAP et d’autres acteurs opérationnels.
À l’heure où les SI des pharmacies hospitalières doivent apprendre à dialoguer avec plusieurs types de dossiers patients, les solutions développées par Computer Engineering proposent une architecture informatique interopérable, offrant des possibilités de communication et de prise en charge très élargies.
Le 14 avril, l’Anap a fait paraître trois publications pratiques pour faire de l’expérience patient et usager un levier de performance majeur des établissements de santé et médico-sociaux.
À moins d’être totalement allergique à l’informatique, il est difficile d’émettre un avis négatif sur le fait que le domaine est tout de même hyperintéressant. Innovations à tout va, concepts de haut niveau maniés à longueur de journée, sans parler des différentes couches où tout le monde peut facilement trouver chaussure à son pied. Le réseau vous branche : il y a. Le développement Objet vous fascine ? Il y a aussi. À moins que vous ne préfériez les langages fonctionnels de type Haskell ou Lisp ? Il y a encore. Les middlewares et les bases de données ? Les applications métiers et leurs liens avec les processus ? Il y a encore et encore. Bref, on peut s’y vautrer allègrement toute sa vie sans voir deux fois la même chose. Pour un technophile, c’est le nirvana total.
Aujourd’hui, les GPU ou cartes graphiques jouent un rôle central dans le domaine de l’Intelligence artificielle avec la puissance de calculs que nécessitent ces nouvelles technologies. Hôpitaux, CHU, Universités scientifiques… Découvrez comment développer l’IA au sein de vos établissements avec vos ressources GPUs, et leur rôle prépondérant dans l’intégration de ces nouvelles technologies.
Le décret du 3 avril relatif au dossier pharmaceutique apporte des changements majeurs pour les droits des patients et les usages métiers, notamment sa création automatique sauf opposition du patient dans un délai de six semaines.
La news a été diffusée par plusieurs médias spécialisés : le dossier patient (DP) de Pierre Palmade à l’AP-HP a été consulté à de multiples reprises par des personnels n’ayant rien à voir avec la prise en charge médicale de l’humoriste… voire travaillant dans l’un des établissements de l’AP-HP où il n’était pas hospitalisé. Il s’agit d’un accès indu au DP (ou de curiosité malsaine en langage courant). C’est illégal et c’est puni par la loi. Cela étant, le sujet est très complexe. Décryptage.
Le 29 mars 2023, la Haute Autorité de santé et l’Institut national du cancer ont annoncé la mise en ligne d’une plateforme d’aide à la prise de décision partagée pour donner accès à une information claire et pédagogique sur l’ensemble des possibilités proposées aux femmes qui vont avoir ou ont eu une mastectomie pour prévenir ou traiter un cancer.
A l’occasion d’un événement organisé par le ministère de la Santé et de la Prévention et le Health Data Hub ce jour, Sylvie Retailleau, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, François Braun, ministre de la Santé et de la Prévention, Roland Lescure, ministre en charge de l’industrie et Jean-Noël Barrot, ministre en charge de la Transition numérique et des Télécommunications, avec Bruno Bonnell, secrétaire général pour l’investissement, en charge de France 2030, et Lise Alter, directrice de l’agence d’innovation en santé, annoncent les six premiers lauréats sélectionnés dans le cadre de la première vague de l'appel à projets « Accompagnement et soutien à la constitution d'entrepôts de données de santé hospitaliers » de France 2030.
Les séries TV fleuves vous ennuient ? Les histoires avec le méchant JR et le gentil Bobby Ewing vous font bâiller à vous en décrocher la mâchoire ? Essayez ChatGPT.
Porté par le CHU de Toulouse, avec ses partenaires Collective Thinking et le Health Data Hub, le projet APSoReN vise à croiser les données du CHU de Toulouse avec celles du Système National de Données de Santé afin d’identifier les patients susceptibles de “décrocher” de leur parcours de soins et d’améliorer la prise en charge des 150 000 nouveaux cas de patients victimes de traumatismes crâniens recensés en France tous les ans.
Ça y est, c’est le printemps, il est largement temps de se changer les idées avec un petit quiz pas du tout orienté ni poil à gratter – pas mon genre. Une seule bonne réponse par question, on compte les points à la fin.
La tempête n’est toujours pas passée… C’est ce que nous apprend le récent panorama de la cybermenace 2022 de l’ANSSI [1] : le nombre de cyber-attaques touchant les établissements de santé reste au plus haut niveau. Alors que faire face à cette situation ? La réponse : se préparer aux intempéries à venir ! C’est tout l’objet de l’instruction ministérielle SHFDS/FSSI/2023/15 du 30 janvier 2023 [2] : elle impose aux établissements de santé de réaliser annuellement un exercice de gestion de crise. Attention, l’objectif de ces exercices n’est pas de tester la continuité informatique ou bien la continuité de l’activité via le déclenchement des modes dégradés, mais bien de tester le fonctionnement de la cellule de crise de l’établissement.
De nombreux pharmaciens spécialisés en oncologie avaient fait le déplacement le 2 mars dernier, à Bordeaux, pour découvrir la version 6.0 de l’application Chimio de Computer Engineering. L’éditeur a présenté toutes les évolutions de son logiciel phare.
La présidente de la CNIL a rappelé à deux organismes procédant à des recherches médicales leurs obligations légales.
L’agence du numérique en santé (ANS) a organisé les 14 et 15 mars à Paris ses troisièmes Journées nationales du numérique à l’hôpital. Elles ont été l’occasion de présenter le chemin parcouru par les programmes HOP’EN et SUN-ES dédiés à la transformation numérique et la modernisation des établissements de santé.
Impossible d’être passé au travers tant l’info a fait le tour de l’actualité cyber : jeudi dernier le CHU de Brest était la victime d’une attaque cyber. Soyons clair : à ce stade, même si la communauté des RSSI hospitaliers dispose de plusieurs éléments techniques, impossible de divulguer quoi que ce soit dans un média ouvert sur ladite attaque pour des raisons évidentes de protection des SIH.
Les solutions réseau d’HPE Aruba Networking pour les établissements de santé tirent parti de la technologie SD-WAN. Elle simplifie la gestion des sites distants et optimise les communications entre eux, en utilisant des technologies logicielles pour diriger le trafic de manière dynamique. Avec à la clef, plus de résilience, de flexibilité et d’économies.
Dans un monde où les inégalités face à l’accès aux soins perdurent, où le problème des déserts médicaux n’est toujours pas résolu et où le eHealthwashing se développe, les innovations numériques sont appelées à prendre de plus en plus de place au sein de nos systèmes de santé. Soucieux de faire émerger et de soutenir, dans ce domaine, les entrepreneurs et leurs projets innovants, les trophées de la e-santé de l’Université de la e-santé de Castres-Mazamet sont le rendez-vous à ne pas manquer !
Alors que l’espace européen des données de santé est encore à ses balbutiements, le règlement sur la gouvernance des données, (en anglais data governance act – DGA), première pierre de l’arsenal juridique européen visant à instaurer le marché unique de la donnée, entrera en application le 24 septembre prochain. Applicable tout secteur confondu, ce règlement trouve un écho particulier dans le secteur de la santé. Preuve en est, le cas des services d’intermédiation.
Une des qualités premières pour prétendre à une carrière de RSSI, c’est de garder ses yeux d’enfant. C’est ce que l’on se disait récemment, mes 52 printemps et moi-même. Illustration.
L’Agence du Numérique en Santé (ANS) a publié le 21 février la nouvelle version de la doctrine du numérique en santé. Ce document, qui fournit le cadre de référence dans lequel les services numériques d’échange et de partage de données de santé devront s'inscrire dans les années à venir, comprend deux nouveaux chapitres sur SAS et Via Trajectoire.
Villefranche-sur-Saône, Dax, Oloron-Sainte-Marie, Albertville, Arles, Castelluccio, Saint-Dizier, Vitry-le-François, Mâcon, Paris, Corbeil-Essonnes, Versailles… Et ceci n’est qu’une courte liste des différents établissements de santé publics et privés visés par des cyberattaques ces dernières années. En pleine ouverture et mutation numérique, le secteur hospitalier a dû faire face à de multiples vagues successives de cyberattaques bloquant tout ou partie de leur activité et forçant certains à revenir à l’ère du crayon à papier. Aider les établissements de santé à maitriser le risque cyber nécessite toutefois d’adopter une approche résolument proactive en prenant en compte les contraintes propres au secteur. La protection du réseau – et les technologies adaptées – sont indispensables pour prémunir les structures concernées.
Au 1er mars 2023, deux catégories de dispositifs médicaux innovants seront radiées du Titre V de la LPPR1, les cathéters de thrombo-aspiration (AVC) et les guides FFR (maladie coronarienne). Cette décision prise par les autorités sans aucune concertation préalable impactera fortement les établissements de santé qui, faute de financement dédié, risquent de renoncer à acheter ces produits. Elle entrainera un accès restreint et inégal à ces technologies sur le territoire, une dégradation de la prise en charge des patients victimes d’AVC et de maladies coronariennes, conduisant à une réelle perte de chance pour ces patients.
Pour assurer la chaîne complète de prise en compte des patients en cas de crises d’ampleur, qu’elles soient locales, régionales ou nationales, le Portail SI-Samu (outil collaboratif des professionnels de l’urgence et de prise en charge médicale des patients lors d’évènements majeurs), SI-VIC (solution d’identification et de suivi des victimes d’attentats ou de situations sanitaires exceptionnelles) et SINUS (système d’information pour le dénombrement des victimes du ministère de l’intérieur) sont aujourd’hui interfacés. Avec cette interconnexion, tous les acteurs de la crise (établissements de santé, Samu, pompiers, médecins, Agences régionales de santé, ministères) partagent leurs informations en temps réel pour une gestion plus rapide, coordonnée et efficace des situations de crise.
Si de nombreux établissements hospitaliers fonctionnent avec l’application Pharma, de Computer Engineering, pour gérer l’activité de leur PUI, d’autres cherchent des outils facilement interopérables avec leur SI en place. Computer Engineering propose notamment un logiciel autonome pour assurer la rétrocession des médicaments.
Récemment, une discussion entre amis a doucement dérivé vers les théories complotistes.
Le 3 février 2023, le Conseil national de l’Ordre des médecins et la Cnil ont annoncé la signature d’une convention de partenariat pour la protection des données de santé.
Maincare a annoncé deux partenariats visant à renforcer son catalogue et à proposer une solution « tout intégrée ». Le premier, avec Evolucare, permettra l’intégration croisée de leurs solutions respectives Oproom et e-Venue dans leur catalogue produits. Le second concerne l’intégration dans le catalogue de Maincare de la solution de gestion des flux patients SESAME d’Atout Majeur Concept.
On pourra toujours se rassurer – Coué, Coué, Coué – en lisant dans les derniers rapports de l’Anssi qu’il y aurait eu moins d’attaques en 2022 qu’en 2021, il n’empêche, de mémoire de vieux croûton, je n’ai jamais connu un tel début d’année.
Maincare et Atout Majeur Concept ont signé un partenariat pour apporter une réponse complète aux enjeux des établissements et GHT en matière d’optimisation des flux patients : d’un côté la solution SESAME d’Atout Majeur Concept ; de l’autre la complémentarité de leurs expertises pour intégrer rapidement la solution dans le SIH et accompagner les établissements dans la transformation des organisations.
La Sciences Po Cybersecurity Association a organisé le 8 février une conférence sur le thème « Le secteur de la santé face aux cyberattaques ». Les participants sont notamment revenus sur le sensible sujet des rançons payées et sur les prétentions « éthiques » de certains pirates.
Spécialiste de la gestion de contenus et de l’interopérabilité des systèmes d’information notamment dans le domaine de la santé, la société américaine Hyland se développe fortement en Europe. Entretien avec Éliane Faivre-Richard, sa responsable de la satisfaction clients EMEA. Elle nous explique le potentiel des solutions de l’entreprise pour les établissements de santé français.
Dans un récent et excellent article de La Tribune[1], Marc Sztulman, conseiller régional d’Occitanie et délégué au Numérique pour tous, s’interroge sur ce que sont ou ne sont pas la souveraineté et la confiance, en particulier autour des notions de Cloud. À titre personnel, je n’avais même pas connaissance de la différence entre ces deux idées (confiance versus souveraineté) car – selon moi – elles se recouvrent totalement. Il semble tout de même important de revenir sur quelques concepts.
Les services de santé publics et privés sont perçus par une majorité de Français comme légitimes pour proposer des solutions ou services digitaux de santé. Les entreprises du médicaments, entreprises technologiques et GAFAM souffrent eux d’une faible légitimité, selon une étude IPSOS.
La semaine dernière, l’ANSSI publiait son panorama de la cybermenace 2022 [1]. Quels enseignements tirer pour nos SI de santé, des attaques observées en France l’an passé ?
La routine, vraiment la routine.
Le Groupe Dedalus, principal éditeur de solutions logicielles pour la santé et le diagnostic en Europe, a dressé le 26 janvier le bilan de son année 2022, marqué par une forte croissance de son chiffre d’affaires et par la poursuite de la transformation de son organisation, à l’occasion de la journée D4Evolution 2023.
Le programme de Financement Ségur des établissements SUN-ES est organisé autour de quatre fenêtres d’atteinte des cibles d’usage. La DGOS a partagé courant décembre 2022 les résultats de la 1ère Fenêtre du programme SUN-ES (janvier - septembre 2022) pour les 879 établissements candidats. Verdict : comparé à la moyenne nationale, les établissements ayant choisi Lifen comme PFI sont proportionnellement plus nombreux à avoir atteint leurs cibles d’usages.
Incroyable, le nombre de vidéos qui fleurissent sur les réseaux sociaux – même BFM TV titre dessus pour vous expliquer que Google a quelques soucis à se faire, c’est dire. Passé les premières séances de jeu avec l’interface où l’on se prend à poser les questions les plus bizarres sur les sujets les plus divers. Il y a ce que ChatGPT fait, ce qu’il ne fait pas, ce qu’il peut faire et ce qu’il ne fera jamais, en tout cas dans sa version actuelle.
Les stocks des laboratoires hospitaliers nécessitent des logiciels dédiés, intégrant toutes les spécificités de ces produits, notamment les dates de péremption des réactifs. Fonctionnant en module indépendant ou en complément de l’application Pharma, la solution Labo de Computer Engineering répond à ces besoins.
Bon, apparemment, tout le monde se marre entre la poire et le fromage en posant les questions les plus diverses à ChatGPT. Tout le monde sauf moi, et cela ne peut pas durer. J’ai donc décidé, moi aussi, de tester la bête, mais attention, pas n’importe comment : un test rigoureux, pas du tout orienté, basé sur un corpus de questions sélectionnées par un comité représentatif de moi-même, bref que du lourd. Allons-y.
Docaposte, filiale numérique du groupe La Poste, est entrée en négociation exclusive en vue de l’acquisition de Maincare, un des leaders de l’accompagnement de la transformation numérique des hôpitaux en France, auprès de ses actionnaires (Montagu Private Equity). Ce rapprochement structurant s’appuie sur le partage de valeurs communes et la vision d’un projet industriel ambitieux de long terme. En associant les actifs de Maincare avec son expertise en confiance numérique, Docaposte créera un leader technologique souverain au service de la transformation numérique des acteurs de la santé.
Le 6 janvier 2023, La Poste et le fonds Patient autonome de Bpifrance ont annoncé la fusion de leur participation Nouveal avec Maela pour constituer un acteur de référence de la télésurveillance.
Le 5 janvier 2023, l’Agence du numérique en santé a annoncé la fin prochaine de la publication de ses anciens fichiers d’extraction de l’annuaire des professionnels et des établissements de santé ainsi que la bascule vers une nouvelle version des extractions.
Comment relever les défis que soulève la gestion des données de santé ? Comment aborder le cloud dans les établissements de santé et comment le numérique peut-il améliorer la qualité de vie au travail (QVT) des soignants ? Le D4Evolution de Dedalus, une 5e édition 100 % présentiel au Novotel Centre Tour Eiffel, 61 Quai de Grenelle, 75015 Paris. Rendez-vous le 26 janvier 2023 pour une journée de partage d’expériences, de rencontres et d’échanges
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