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Le projet de plateforme hospitalo-universitaire de biologie et de pathologie de territoire du groupe hospitalo-universitaire (GHU) AP-HP Henri-Mondor, dont le coût des travaux s’élève à 48,5M €, a officiellement débuté avec le concours architectural ouvert depuis le 27 mars dernier.
Depuis 1991, Computer Engineering a adopté un positionnement singulier sur le marché des solutions biomédicales : concevoir des logiciels métiers interopérables, capables de dialoguer avec les systèmes existants.
L’organisation du système de soins est confrontée depuis plusieurs années à la multiplication des parcours complexes. Face à ce nouveau défi, les DSI des établissements doivent continuer à répondre aux besoins spécifiques des prises en charge, tout en garantissant un flux optimal dans les échanges d’informations. Comment garantir cette continuité lorsque les patients naviguent entre différents établissements ? C’est à cela que la division Axigate du groupe Equasens a choisi de répondre dans sa nouvelle stratégie que nous présente Grégoire de ROTALIER, Directeur Général Délégué et Administrateur.
Il a porté une délégation francophone de plus de 40 acteurs de santé au congrès HIMSS 2024 et atterri juste de 8 jours riches d’échanges et de découvertes. Stéphan Haaz, directeur général du CATEL, qui se présente comme un incubateur de Communautés e-santé, revient pour DSIH sur les enseignements de ce déplacement au cœur de la e-health américaine !
A quelques heures de leur retour en France, et après sept jours d’échanges riches sur les dernières tendances américaines en e-santé, les délégations francophones, portées par le CATEL et SwissEnnov, ont partagé ensemble leur premier rapport d’étonnement. Tandis que le CATEL avait proposé à ses participants un arrêt à Atlanta pour visiter l’Emory Winship Cancer Institute (1) et le 11TEN Innovation Lab d’Atlanta, la délégation SwissEnov se retrouvait à Houston. Depuis deux jours, elles arpentent désormais les allées de l’édition 2024 de HIMSS. Regards croisés sur les premiers enseignements, les axes forts et les perspectives pour l’écosystème français.
Mardi 12 mars, la délégation française du CATEL, présente au salon HIMSS, organisait un duplex en direct d’Orlando avec le congrès de la Société française de pharmacie clinique (SFPC) qui se tenait en même temps à Toulouse. D’un côté et de l’autre de l’Atlantique, les pharmaciens hospitaliers ont pu échanger autour des enjeux de transformation de la filière « Pharmacie à Usage Intérieur » (PUI) induits par les (r)évolutions numériques.
Vendredi 8 mars, le Winship Cancer Institute d’Atlanta, clinique spécialisée en oncologie, recevait la délégation française portée par le CATEL pour une visite de ses bâtiments flambant neufs et une présentation de leur parcours de prise en charge à la pointe de l’innovation technologique et organisationnelle. Organisé autour du patient et d’une vision holistique de la prise en charge, nous avons vu hier comment la technologie accompagnait cette révolution. Continuons notre visite avec un focus sur la pharmacie hospitalière et une analyse de l’acceptabilité de l’innovation par les utilisateurs. Et posons ensemble la question de la transposition au modèle français. (2/2)
Vendredi 8 mars, le Winship Cancer Institute d’Atlanta, clinique spécialisée en oncologie, recevait la délégation française portée par le CATEL pour une visite de ses bâtiments flambant neufs et une présentation de leur parcours de prise en charge à la pointe de l’innovation technologique et organisationnelle. Après cinq années de travaux, financés par les dons de la Fondation Woodruff, il fêtera dans quelques jours ses 10 mois d’ouverture. Le défi lancé par le donateur était de « construire quelque chose de jamais vu ni même imaginé ». Pari tenu ? DSIH vous emmène à la découverte d’un centre de cancérologie des plus innovants. (1/2)
NIS 1 a vécu : le décret de 2016 est remplacé par sa seconde mouture publiée en décembre 2022, dont nous commençons à voir les contours au gré des conférences et débats en tout genre. Cette seconde mouture sera vraisemblablement la deuxième si l’on en juge par certaines dispositions qui laissent entrevoir une NIS 3 dans les prochaines années.
Développée par Computer Engineering, l’application hospitalière Essais assure la gestion et le suivi des essais thérapeutiques. Cet outil, qui simplifie largement le quotidien des équipes de la PUI, va s’enrichir de nouvelles fonctionnalités dans les prochains mois.
L’intelligence artificielle dans le domaine de la santé constitue d’ores et déjà une réalité opérationnelle pour l’amélioration de l’efficacité et de l’efficience de notre système de santé. Le SIB s’est emparé du sujet. Entretien avec Claudie David, Directrice de l’Innovation du SIB.
Transporter, soulever, déplacer, convoyer, remorquer : les robots mobiles autonomes (Autonomous Mobile Robot, AMR) sont aujourd’hui capables de se déplacer seuls de façon sécurisée dans l’hôpital pour transporter des charges lourdes, du matériel médical (médicaments, dispositifs médicaux, des échantillons d’analyse…), des chariots ou des bacs. UniHA propose à ses adhérents une nouvelle offre permettant l’automatisation des flux logistiques dans l’hôpital.
Pionnier du numérique en santé, source d’information de référence sur le médicament, VIDAL consolide sa position de site leader de l’information médicale grâce à la nouvelle version de vidal.fr, co-construit avec des professionnels de santé pour répondre à l’évolution de leur pratique.
Depuis le changement de réglementation concernant le suivi renforcé des Dispositifs Médicaux Implantables (DMI), les établissements de santé doivent mettre en place de nouvelles organisations informatiques afin de tracer rigoureusement prothèses, valves, pacemakers, et autres dispositifs médicaux implantables.
Le 9 octobre, les acteurs du plan France 2030 ont dévoilé le nom des 14 lauréats de l’appel à manifestation d’intérêt « Compétences et métiers d’avenir ». Huit d’entre eux sont consacrés à la santé numérique.
Nicolas SALVI est nommé Directeur Général du Centre Hospitalier de Valenciennes, en direction commune avec le Centre Hospitalier de Fourmies et assurera également la direction du Groupement Hospitalier de Territoire (GHT) du Hainaut-Cambrésis. Il prendra ses fonctions le 1er septembre prochain. Son objectif, avec l’ensemble de la communauté hospitalière, est le développement de l’offre de soins et de l’attractivité de l’hôpital, en parallèle de la mise en oeuvre du futur projet d’établissement et l’accompagnement de la réalisation du nouveau schéma directeur immobilier.
Le 30 juin, le ministère de la Santé et de la Prévention et la DGOS ont publié au Bulletin officiel Santé-Protection sociale-Solidarité un guide d’aide à la préparation au volet numérique du plan blanc.
Près de 500 professionnels ont participé à la journée « Robots et automates » organisée par l’Anap et le Resah ce 28 juin. Ils ont pu découvrir, tester et se projeter dans des innovations concrètes en logistique hospitalière et en pharmacie.Dans un contexte où le Ségur de l’investissement représente une opportunité inédite de transformation, l’Anap met à la disposition des établissements des outils clés en main pour prendre le virage de l’automatisation.
GPR, la plateforme de référence pour le bon usage clinique du médicament chez l’insuffisant rénal, a annoncé, lors du Salon SantExpo, sa distribution exclusive par la base de connaissances VIDAL. Cette collaboration permet ainsi à GPR d’élargir son périmètre, notamment auprès des praticiens de ville et à l’international où VIDAL développe ses solutions, et d’enrichir les différents outils d’aide à la prescription.
Le GHT Bourgogne Méridionale a démarré en 2022 la généralisation du DPI Maincare IC sur un périmètre fonctionnel large. Déjà déployé sur trois des trois établissements du groupement, il s’agit de la « première pierre du SI convergent », a témoigné Jean-Christophe Tamboloni, DSI du GHT, lors d’une table-ronde organisée par Maincare (stand F47) lors du salon Santexpo.
VIDAL intègre dans son service l’outil numérique de référence GPR, pour simplifier l’adaptation thérapeutique des patients atteints d’insuffisance rénale.
Depuis la création de ses logiciels Chimio et Pharma, l’éditeur Computer Engineering a mis l’interopérabilité au cœur de ses préoccupations. Un seul mot-clé : s’adapter… à la fois aux attentes des équipes de santé mais aussi aux SI en place.
À l’heure où les SI des pharmacies hospitalières doivent apprendre à dialoguer avec plusieurs types de dossiers patients, les solutions développées par Computer Engineering proposent une architecture informatique interopérable, offrant des possibilités de communication et de prise en charge très élargies.
Le 20 février 2023, dans le cadre du Ségur du numérique en santé, l’ANS a annoncé que 95 % des officines sont éligibles à la prise en charge par l’État après le référencement de la majorité des logiciels de gestion d’officine.
Fin janvier, l’Anap a présenté son COP 2022-2026, comprenant notamment la simplification et l’amplification des outils d’accompagnement.
Réussir la convergence des systèmes d’information au sein des GHT n’est pas toujours très simple. Car il faut à la fois harmoniser et mutualiser le circuit du médicament, tout en prenant en compte les installations existantes. Avec son application Pharma, Computer Engineering fournit une réponse adaptée aux pharmacies hospitalières.
Le 30 novembre 2022, Synapse Medicine annonce le déploiement de sa plateforme de conciliation médicamenteuse à Gustave Roussy, centre de lutte contre le cancer de Villejuif.
L’évolution de la réglementation européenne sur les dispositifs médicaux et l’arrêté du 8 septembre 2021 imposent aux établissements de santé de mettre en œuvre une traçabilité complète du circuit des DMI. Praticien hospitalier et Pharmacien au CH d’Agen Nérac (47), le Docteur Christian Guillaudin supervise tout le circuit des Dispositifs Médicaux Implantables. L’application Pharma et son module Traça, développés par Computer Engineering, ont fait gagner un temps considérable à son équipe sur tous les aspects de traçabilité des DMI.
Les accords du Ségur de la santé, signés en juillet 2020, ont consacré un volet numérique consistant dans l’investissement de 2 milliards d’euros au profit du développement du numérique en santé, avec comme objectifs affichés[1] de « rattraper le retard dans la modernisation, l’interopérabilité, la réversibilité, la convergence et la sécurité des systèmes d’information en santé », de sorte à « généraliser le partage fluide et sécurisé des données de santé ». Ce double objectif a été transposé au code de la santé publique imposant la conformité des services numériques en santé aux référentiels d’interopérabilité et de sécurité élaborés par l’Agence du Numérique en santé (ANS). Le volet numérique du Ségur s’articule en 6 couloirs distincts : hôpital, biologie, radiologie, médecine de ville, pharmacie et médico-social[2], avec, pour chacun d’eux, un dispositif de financement.
Si les attaquants réussissent encore à compromettre nos SI, c’est certainement car nous ne sommes pas bien préparés à leurs attaques. Et pourtant, les victimes ne manquent pas, les retours d’expériences non plus, tout comme les guides de bonnes pratiques, alors pourquoi nous faisons-nous toujours avoir ?
Le RSSI et le DPO sont souvent consultés pour des sujets bizarres, voire carrément étrangers à leur périmètre. Mais après tout, c’est le lot de pas mal de professions transverses, surtout dans le conseil.
Les 32e Journées Nationales de formation sur les Dispositifs Médicaux - Euro-Pharmat se sont tenues début octobre à La Rochelle. Sur son stand, Computer Engineering présentait à cette occasion ses solutions de gestion de la PUI et de la traçabilité des DMI, et répondait en direct aux questions de ses utilisateurs.
Avec la chaire industrielle E-LoDi, lancée le 23 septembre, la pharmacie centrale du CHU de Lille expérimente des technologies innovantes.
Le 14 juin dernier le GHT Bourgogne Méridionale a démarré la généralisation du DPI Maincare IC sur un périmètre fonctionnel large. Pour le GHT l’objectif est double : contribuer à l’amélioration de la prise en charge des patients sur tout le territoire et à celle des conditions de travail des personnels médicaux et soignants à travers une solution nouvelle génération moderne et ergonomique. Maincare IC sera mis en production sur d’autres GHT en 2022.
Après l’adoption du DPI Cerner Millennium® pour ses consultations d’anesthésie en septembre 2020 (1), le Centre hospitalier de Lens a étendu la feuille d’anesthésie numérique à l’ensemble du bloc opératoire. Une mise en œuvre qui contribue à sécuriser l’intégralité du parcours opératoire d’un patient.
La fondation Cognacq-Jay a utilisé l’outil d’analyse de risques de cybersécurité d’All4Tec à la clinique Saint-Jean-de-Dieu (Paris). Le bilan est positif : l’agilité de cet outil – le premier labellisé Ebios RM par l’Anssi – et son côté intuitif ont conquis les équipes. Laurent Cosson, PDG d’ALL4TEC, Vincent Gerbier, DSI de la clinique Saint-Jean-de-Dieu, et Anne Auvity-Pontet, responsable Transition et Innovation des SI à la fondation Cognacq-Jay, nous présentent ce projet.
Lors de la constitution des Groupements Hospitaliers de Territoire, les directions SI sont confrontées à des enjeux importants pour faire converger les systèmes d’information. Pour les pharmacies, l’objectif est de mutualiser les procédures et de travailler selon un référentiel commun à tous les sites du GHT.
Lifen et Synapse Medicine, deux start-ups healthtech françaises, s’allient pour faciliter la digitalisation de la pharmacie clinique dans les établissements hospitaliers français. En se connectant à Lifen Platform, Synapse Medicine facilite le déploiement de ses solutions dédiées à la pharmacie clinique dans plus de 600 établissements de santé.
Initialement orienté vers l’édition de logiciels de gestion pour les pharmaciens, le Groupe Pharmagest est aujourd’hui un acteur structurant du monde de la Santé en Europe qui adresse ses solutions logicielles à l’ensemble des professionnels de santé (les pharmaciens, les médecins libéraux, les hôpitaux, les structures de HAD, les maisons de retraite, les maisons de santé) à la ville comme à l’hôpital.
Lorsqu’ils ne sont pas informatisés, les essais cliniques s’avèrent très chronophages pour les équipes des pharmacies hospitalières. Il existe des logiciels dédiés qui évitent la transcription sur papier, réduisant les sources d’erreur et de perte de temps.
La règle n°1 de la directive NIS applicable aux OSE précise : « L'opérateur de services essentiels effectue et tient à jour, dans le cadre de l'homologation de sécurité prévue à la règle 3, une analyse de risque de ses systèmes d'information essentiels (SIE) ». Dans le but d’accompagner ses clients dans ces analyses des risques, WELIOM s’est doté de l’outil Agile Risk Manager de la société ALL4TEC (1), solution leader sur la méthode EBIOS RM, premier outil labellisé par l’ANSSI en 2019, et a consacré une année à l’adapter aux établissements de santé.
Le think tank Innovation Days lance une seconde édition de réflexions destinées à élaborer un scénario prospectif à dix ans pour savoir comment améliorer l’offre de soins au bénéfice de tous les patients et des soignants.
Le 10 janvier, Doctolib a annoncé un investissement de 300 millions d’euros en France, en Allemagne et en Italie, dont 80 % seront consacrés au développement des solutions existantes et à la création de nouveaux services pour les professionnels de santé.
Les 135 Hôpitaux désignés Opérateurs de Services Essentiels (OSE) en 2021 ont défini et déclaré leurs Systèmes d’Informations Essentiels (SIE). La mise en œuvre opérationnelle des 23 règles de la Directive NIS I devient alors un chantier prioritaire, à mener selon un calendrier établi avec l’ANSSI. Certaines de ces règles sont transversales, et applicables à l’ensemble des SIE, d’autres leur sont particulières, comme la règle n°1 : « L'opérateur de services essentiels effectue et tient à jour, dans le cadre de l'homologation de sécurité prévue à la règle 3, une analyse de risque de ses systèmes d'information essentiels (SIE) ».
Le 13 décembre, le département de pharmacie clinique du centre de lutte contre le cancer Gustave-Roussy a inauguré une nouvelle plateforme dotée d’un troisième robot de préparation d’anticancéreux injectables et devient l’un des départements de pharmacie clinique les plus robotisés au monde.
A ce jour, il n’existe pas de référentiel d’interopérabilité du médicament apte à répondre aux besoins de l’ensemble des acteurs de la chaîne « médicament » en France. Un tel référentiel unique et complet est pourtant incontournable pour dématérialiser la prescription et la dispensation médicamenteuse du patient, permettre notamment la prescription en dénomination commune (DC) et fluidifier les échanges à toutes les interfaces (hôpital/ville, prescripteur/dispensateur, etc.).
Les TROPHÉES INNOVATION SANTEXPO récompensent chaque année depuis trois ans, les projets les plusinnovants, les modèles de demain, les solutions et les services créateurs de valeur pour les professionnels de santé.Parmi les dossiers présentés cette année, 13 finalistes ont été sélectionnés par un Jury de 11 experts du monde de lasanté et se sont affrontés lors d’une journée des pitchs le 6 octobre dernier.
La Cnil lance, jusqu’au 19 novembre, une consultation sur un projet de référentiel destiné à aider les officines de pharmacie à respecter la protection des données.
Avec son portefeuille unique de services et de solutions ultra-communicantes et sécurisées qu’il édite, fournit et intègre, Dedalus, premier fournisseur de logiciels de santé en Europe répond aux nouveaux besoins du système de soins français et participe à l’amélioration constante du parcours de santé dans le secteur public et privé. Mobilité, Intelligence Artificielle, Parcours et Ségur sont au programme sur ses tables rondes et agoras.
L’Anap publie « Le Nouvel Ambulatoire en santé mentale : pour une vie debout ! », une synthèse des bonnes pratiques managériales et organisationnelles pour améliorer les parcours, notamment grâce aux outils numériques.
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