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La mission FHF-télémédecine*, dans le cadre de sa campagne de sensibilisation #DeverrouillonsLaTélémédecine, s’est rendue le 22 décembre au Centre hospitalier de Moulins-Yzeure, situé dans l’Allier, qui a développé plusieurs dispositifs de télémédecine en réponse à des besoins précis, comme la prise en charge des détenus, les consultations gériatriques, la télécardiologie ou encore la filière AVC.
Pour son 9e Congrès, organisé les 1er et 2 décembre derniers à Paris, la Société française de télémédecine (SFT Antel) a souhaité mettre en avant les pratiques concrètes de soins soutenues par la télémédecine.
La télémédecine est une réalité en France. Or, si les professionnels y ont aujourd’hui recours, cette pratique innovante a besoin d’être reconnue et valorisée sur le plan financier. Attentive à l‘égalité d’accès aux soins comme à l’innovation, la Fédération hospitalière de France (FHF) oeuvre activement pour le déploiement d’une activité qui concourt à la recomposition décloisonnée et performante de l’offre de soins.
La mutuelle Intériale compte un peu plus de 300 000 adhérents et s’affiche comme la 15e mutuelle de France. Particularité : avec des adhérents fonctionnaires des collectivités territoriales et du ministère de l’Intérieur, Intériale peut compter sur leur fidélité.
« J’en avais assez d’entendre parler de la médecine du futur et que l’on ne dise rien de la médecine du présent. Aujourd’hui, on fait déjà de la médecine avec les technologies de l’information et de la communication, mais cela n’est pas suffisamment connu. »
Diviser par deux le nombre de journées d’hospitalisation des pensionnaires d’un EHPAD. C’est l’un des résultats présentés au colloque « la télémédecine en ambulatoire », organisé le 11 juin à Lyon avec Télémedinov, projet financé en Vendée dans le cadre du Plan Investissements d’Avenir.
Jacques Lucas, vice-président du CNOM, et Pierre Simon, président de l’ANTEL, viennent de se livrer à une exégèse de textes juridiques, document de 11 pages par lequel ils souhaitent enfoncer le clou : « la télémédecine, ce n’est pas du e-commerce ! ». Ils nous rappellent combien les termes sont ambigus et quels concepts se sont succédé depuis une quinzaine d’années - télémédecine, télésanté, e-santé - risquant de prêter à confusion.
Le workshop ENRICH (European Network of Regions Improving Citizens' Health) est traditionnellement associé au congrès annuel de l’ANTEL, dont la 6e édition a eu lieu les 15 et 16 novembre à Paris (1). La présidente du réseau, Solange Ménival, a donc invité trois régions – Toscane, Andalousie et Pays Basque espagnol – à faire état de leurs initiatives pour le développement de la télémédecine dans le contexte des parcours de soins.
Le nouveau pouvoir en place semble plutôt réservé sur l’usage de la télémédecine, du moins en médecine ambulatoire de premier recours, si l’on croit Catherine Lemorton, Présidente de la commission des affaires sociales à l’Assemblée nationale qui a été interviewée par DSIH Magazine. De plus, on remarquera l’absence de référence au plan national de télémédecine dans le PFLSS 2013. Lors de son interview, Catherine Lemorton précise que « si la télémédecine permet un partage des connaissances et des pratiques médicales…, elle ne peut se substituer à la médecine de proximité et au contact entre le médecin et son patient ».
Fin 2011, le SNITEM organisait un colloque sur le thème « Télémédecine et société ». Après avoir abordé en 2010 les enjeux économiques, d’interopérabilité et de gouvernance, cette dernière rencontre a permis de mettre en exergue le sujet de l’appropriation de la télémédecine par les professionnels de santé et les patients. Par ailleurs, cette journée a été l’occasion d’annoncer la signature de 3 conventions pour le SNITEM avec L’ANAP, l’ANTEL et le CATEL visant à formaliser des recommandations nationales en faveur d’un déploiement pérenne de la télémédecine.
L’Association nationale de télémédecine (ANTEL) est une société savante qui regroupe plus de 350 professionnels de santé médicaux et paramédicaux qui pratiquent la télémédecine. L’ANTEL a pour objet principal de promouvoir les nouvelles organisations de télémédecine qui sont démontrent un service médical rendu aux patients.
A l’occasion d’un séminaire d’information destiné à ses adhérents et intitulé « Télémédecine et société », le Syndicat national de l’industrie des technologies médicales et ses partenaires insistent sur la nécessité de faciliter l’appropriation de la télémédecine par la société, en particulier par les patients et les professionnels de santé. En complément des prérequis techniques, économiques et organisationnels, l’acceptation de la télémédecine par ses utilisateurs et ses bénéficiaires est une condition à la réussite de son déploiement.
La loi HPST du 21 juillet 2009 avec son article 78 définit la télémédecine. Le décret sur les conditions de mise en œuvre est paru le 19 octobre 2010. Les conditions légales et réglementaires sont désormais réunies pour un déploiement de la télémédecine à large échelle.
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