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Le projet "Platform For Data In Primary Care" ou P4DP est un projet ambitieux qui réunit les acteurs clés français du numérique et de la recherche en soins primaires, afin de créer le premier entrepôt de données de santé de médecine générale à l'échelle nationale. Trop peu exploitées en France, les données de médecine de ville constituent des outils stratégiques pour améliorer la performance de notre système de soins grâce à la mobilisation de la communauté médicale.
Le Fonds de recherche du Québec - Santé (FRQS) et le Health Data Hub (HDH) ont annoncé les deux lauréats de la 2e vague de l'appel à projets conjoint visant à soutenir des collaborations scientifiques franco-québécoises, lors d'un webinaire dédié le 28 novembre 2023. Cet appel à projets vise à faire progresser les connaissances et la technologie en intelligence artificielle (IA) appliquées au domaine de la santé.
Faciliter l'accès aux données de santé du Système National des Données de Santé, tel est l'objectif poursuivi par la CNIL avec la publication de deux nouvelles méthodologies de référence permettant, à condition de s'y conformer, de se soustraire à une demande d'autorisation.
La Délégation au numérique en santé (DNS), l’Agence du numérique en santé (ANS) et la Caisse nationale de l’Assurance maladie (Cnam) ont souligné, le 21 septembre lors d’une conférence de presse, le « succès » de la première étape du Ségur du numérique marquée par le déploiement des mises à jour des logiciels « Ségur vague 1 »
Le 8 septembre, la DNS, l’ANS, la Cnam et les éditeurs de logiciels ont annoncé la poursuite de leur collaboration pour améliorer les fonctionnalités Ségur des logiciels et renforcer l’appropriation de leurs usages par les médecins de ville.
Lancée en février 2021, l’action conjointe "Vers un espace européen des données de santé" (TEHDaS), mobilisant 25 pays européens, et ayant pour objectif de faciliter le partage transfrontalier de données de santé pour la recherche et l’innovation dans le cadre du futur Espace européen des données de santé (EHDS), est arrivée à son terme le 31 juillet 2023. En France, le Health Data Hub a travaillé aux côtés de 5 entités affiliées : l’ANS, l’INSERM, les Hospices Civils de Lyon (HCL) et les universités Aix-Marseille et l’Université Toulouse III-Paul Sabatier.
Simple d’utilisation, Efficience garantit l’obtention rapide de données médicales fiables et pertinentes pour la prise en charge des patients en s'appuyant sur les services socles nationaux de la e-santé. Elle sera présentée à l’occasion du Congrès Urgences.
Comment favoriser le développement de solutions innovantes en santé ? Le Health Data Hub, en partenariat avec la délégation ministérielle du numérique en santé (DNS) et l’agence de l’innovation en santé (AIS) rattachée au secrétariat général pour l’investissement, accompagnera trois nouveaux « Data Challenges en santé » en 2023, portant à 10 le nombre de challenges accompagnés depuis 2020. Les data challenges en santé sont des compétitions en science des données, ouvertes à tous et visant à développer des solutions innovantes en temps limité sur des thématiques de santé, à l’aide de l’analyse des données mises à disposition.
Le Health Data Hub a soumis la candidature française à l'appel à financement de la Commission européenne intitulé “Direct grant to Member States setting up services by Health Data Access Bodies - Secondary use of health data”. Une enveloppe de 37 millions d’euros du programme l’UE pour la santé doit permettre aux pays européens de se préparer au futur règlement de l’espace européen des données de santé (EHDS).
data.ansm est une nouvelle plateforme d’information en accès libre. Elle permet de consulter des informations et des données chiffrées sur l’historique des déclarations d’effets indésirables de médicaments, d’erreurs médicamenteuses et de ruptures de stocks de médicaments depuis 2014.
Le 31 mars 2023, le Journal officiel a publié un décret sur la prise en charge anticipée des dispositifs médicaux numériques à visée thérapeutique et des activités de télésurveillance médicale par l’Assurance maladie.
A l’occasion d’un événement organisé par le ministère de la Santé et de la Prévention et le Health Data Hub ce jour, Sylvie Retailleau, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, François Braun, ministre de la Santé et de la Prévention, Roland Lescure, ministre en charge de l’industrie et Jean-Noël Barrot, ministre en charge de la Transition numérique et des Télécommunications, avec Bruno Bonnell, secrétaire général pour l’investissement, en charge de France 2030, et Lise Alter, directrice de l’agence d’innovation en santé, annoncent les six premiers lauréats sélectionnés dans le cadre de la première vague de l'appel à projets « Accompagnement et soutien à la constitution d'entrepôts de données de santé hospitaliers » de France 2030.
Porté par le CHU de Toulouse, avec ses partenaires Collective Thinking et le Health Data Hub, le projet APSoReN vise à croiser les données du CHU de Toulouse avec celles du Système National de Données de Santé afin d’identifier les patients susceptibles de “décrocher” de leur parcours de soins et d’améliorer la prise en charge des 150 000 nouveaux cas de patients victimes de traumatismes crâniens recensés en France tous les ans.
Le Green Data for Health, plateforme référençant des données environnementales, et le Health Data Hub, plateforme hébergeant des données de santé, ont annoncé aujourd’hui les quatre projets lauréats de l’appel à projets qui seront accompagnés humainement et financièrement sur 18 mois minimum. Cette annonce a eu lieu dans le cadre de la 2e édition de la Communauté de la donnée en santé-environnement. Cette journée, visant à fédérer et animer une communauté de la donnée au service des enjeux de recherche en santé environnement, s’inscrit dans le cadre du quatrième Plan national santé environnement.
La semaine dernière, l’ANSSI publiait son panorama de la cybermenace 2022 [1]. Quels enseignements tirer pour nos SI de santé, des attaques observées en France l’an passé ?
Si 2022 a été l’année du lancement de Mon Espace Santé, 2023 sera celle de son alimentation par les logiciels métiers, a assuré Thomas Fatôme, directeur général de la CNAM, lors d’une interview diffusée le 24 janvier à l’occasion de la conférence annuelle « Les grandes tendances de la E-santé de 2023 ».
Comme le mentionnait François Braun, Ministre de la Santé et de la Prévention, lors du colloque annuel du Health Data Hub, cette structure publique participe à ce que l’usage des données de santé dans la science et la recherche, révolutionne notre médecine moderne et façonne la manière de faire de la politique de santé. Au cours de ses trois années d’activités, le Health Data Hub s’est d’abord structuré, et il a enregistré des premiers résultats convaincants pour l’accélération de la recherche et de la compétitivité du pays. Stéphanie Combes, directrice du Health Data Hub et Gérard Raymond son vice-président, indiquent, de concert, que les prochains projets de la nouvelle feuille de route répondront à une demande renouvelée et croissante d’un accès plus rapide et facilité des données de santé et de faire de l’ouverture des données une norme.
Le 15 décembre, l’Alliance de la biologie médicale a annoncé sa décision de suspendre jusqu’à nouvel ordre la transmission des données de biologie sur Mon espace Santé. Elle dénonce ainsi les risques que feraient courir les autorités aux laboratoires de biologie médicale de proximité, à leurs salariés et aux services d’urgence si elles mettaient à exécution leur projet de réaliser une économie de 1,3 milliard d’euros.
Dans le cadre de l’Appel à Manifestation d’Intérêt BOAS, et après la sélection de deux premières vagues de lauréats en 2021 et 2022, le HDH est heureux d’annoncer une nouvelle série de lauréats lors de son évènement : “rencontre open source et annonce des lauréats de la troisième vague de l’appel à manifestation d’intérêt BOAS”. Ce dernier a eu lieu le 14 décembre à 14h, dans les locaux de PariSanté Campus.
Le numérique en santé constitue un virage majeur pour le système de santé et l’assurance maladie. Pour mieux répondre aux enjeux qu’il représente et accompagner les acteurs du secteur au bénéfice de ses usagers (patients comme professionnels de santé), la Caisse nationale de l’assurance maladie crée un département dédié à la télésanté et à l’innovation numérique.
Sélectionné cet été par la Commission européenne, le consortium visant à mettre en œuvre le projet-pilote de l’Espace européen des données de santé (EHDS), a récemment lancé ses travaux. Pendant deux jours, les 17 membres ont discuté des priorités du projet ainsi que participé à des groupes de travail pour lancer les travaux prévus et les cas d’usage choisis du projet-pilote. Un accord de subvention avec l’Agence exécutive pour la santé et le numérique (Hadea) a également été signé, amorçant pleinement la dynamique du consortium.
Le Health Data Hub est engagé dans le Partenariat pour un gouvernement ouvert via la plateforme d’information sur les événements et les actualités des administrations engagées dans cette démarche d’ouverture, plateforme qui permet d’en suivre régulièrement les avancées.
La Caisse nationale de l’assurance maladie (Cnam) a dévoilé vendredi 30 septembre son plan de lutte contre la fraude. Son objectif est d’atteindre rapidement 500 millions d’euros de préjudices financiers détectés et stoppés.
Le projet de loi de financement de la sécurité sociale 2023 (PLFSS) a été présenté le 26 septembre. Il prévoit notamment que seules les sociétés de téléconsultation agrées pourront facturer à l’assurance maladie les actes de téléconsultation réalisés par les médecins qu’elles salarient.
Le 27 juillet, l’Uncam et les syndicats représentatifs de la profession ont signé l’avenant 9 à la convention nationale, destiné à promouvoir l’exercice libéral des infirmiers en pratique avancée, la vaccination et la télésanté.
Le 19 juillet, Point Vision et la Cnam ont présenté le premier bilan de leur expérimentation d’un an du premier centre de télémédecine en ophtalmologie à Saint-Quentin (Aisne).
Les données médicales constituent une exception sur pas mal d’éléments du RGPD : pas de droit à l’opposition du recueil (on excepte la question de l’anonymat), peu de droit à la rectification. Mais il est une question qui revient de temps en temps et qui concerne la question de l’effacement des données médicales d’un patient (soit tout le dossier, soit un séjour en particulier). La question est tout sauf simple, d’autant qu’il existe pas mal de cas d’usage à tiroirs. Cet article n’a pas la prétention de l’exhaustivité, juste d’illustrer une question qui paraît simple mais qui, en réalité, est protéiforme.
Le 30 juin, le syndicat Jeunes Médecins appelait à « lever la limitation du taux de téléconsultation », réduit depuis septembre 2021 à 20 % du volume d’activité pour un médecin libéral.
Pour construire sa nouvelle feuille de route pluriannuelle 2023-2025, le Health Data Hub (HDH) a mené une consultation de 26 acteurs de l’écosystème et 4 groupes de travail, pour 46 organismes rencontrés. Présentée ensuite en conseil d’administration(1) et en assemblée générale, elle a été approuvée à l’unanimité le 9 juin dernier. Ainsi, le HDH va renforcer ses actions préexistantes autour de ses 4 axes stratégiques originels, et accélérer ses liens avec l’Europe, et les autres “hub” de santé à l’échelle régionale et locale.
Mi-mai, le Health Data Hub a annoncé la publication du premier arrêté portant la liste des bases composant la base principale du catalogue du Système national des données de santé et qui contribue à l’élargissement de ce dernier à l’ensemble des données financées par la solidarité nationale.
Le 6 avril 2022, la Cnam a publié une charte de bonnes pratiques de la téléconsultation listant les recommandations et obligations de la pratique de l’activité à distance qui conditionnent sa prise en charge par l’Assurance maladie.
Unicancer et le Health Data Hub (HDH) ont dévoilé le 7 avril, les 3 lauréats de leur premier AMI UNIBASE, dans le cadre d’un événement conjoint organisé à PariSanté campus. Sophie Beaupère, Déléguée Générale d’Unicancer et Stéphanie Combes, Directrice du HDH ont remis les prix aux trois projets sélectionnés qui bénéficieront d’un accompagnement de ces deux acteurs majeurs de la cancérologie ainsi que d’une subvention financière du HDH. A l’issue de la cérémonie, s’est tenue une table ronde sur le thème « Cancer et données de santé ».
Très impliqué dans l’ensemble des dispositifs du programme Simphonie, le Mipih est aujourd’hui le 1er éditeur public à avoir obtenu la certification complète ROC, sur sa Gestion Administrative du Patient : Pastel. Cette dernière couvre à présent les 5 axes du programme Simphonie : CDRi, FIDES, Diapason, Pilotage et maintenant ROC. Eclairage de Jérôme Manzanares, directeur de l’offre Gestion du Patient au Mipih.
Damien Porquet, co-fondateur et directeur technique d’icanopée (filiale de Docaposte), dresse un panorama des avancées du Ségur. Il pointe notamment plusieurs aspects prioritaires à améliorer afin que tous les acteurs concernés soient en ordre de marche. L’enjeu est de passer le cap de l’alimentation automatique pour aller vers la consultation du DMP, c’est-à-dire la vague 2, à l’horizon 2023.
Le numérique pour le secteur social et médico-social : une feuille de route coordonnée pour accélérer son déploiement en 2022
Dans un webinaire des « Jeudis du Numérique – DISH » consacré au DMP, Dominique Pon annonce la fin des expérimentations et la généralisation par la CNAM du DMP dans Mon Espace Santé dès le début du mois de février.
Pour ce premier webinaire 2022 des Jeudi du Numérique en Santé, nous vous proposons de revenir sur les 18 ans du DMP avec Yvon Merliere, ancien responsable de la mission DMP à la CNAM. Le futur du DMP passe par Mon Espace Santé, et Dominique Pon nous donnera sa vision prospective en qualité de responsable ministériel de la délégation du numérique en santé. Le Dr Bernard Castells, ancien Directeur de l’innovation et de la transformation au Centre Hospitalier de Valenciennes et Xavier Augay, Directeur Général de la société icanopee, nous feront part de leurs expériences de mise en œuvre du DMP dans les systèmes d’information Santé.
L’hôpital FOCH est fier d’annoncer qu’il a remporté un prix dans la catégorie « Système d’Information Hospitalier » des Talents de la e-santé, dans le cadre de cet événement annuel consacré à la reconnaissance et la valorisation de ceux qui mènent des projets de e-santé structurants pour leur territoire et pour l’avenir du système de santé français.
A ce jour, il n’existe pas de référentiel d’interopérabilité du médicament apte à répondre aux besoins de l’ensemble des acteurs de la chaîne « médicament » en France. Un tel référentiel unique et complet est pourtant incontournable pour dématérialiser la prescription et la dispensation médicamenteuse du patient, permettre notamment la prescription en dénomination commune (DC) et fluidifier les échanges à toutes les interfaces (hôpital/ville, prescripteur/dispensateur, etc.).
La continuité des soins en Europe devient réalité; la France fait partie des premiers pays à permettre la prise en charge efficace et rapide des patients européens et ouvre le service SESALI pour l’accès des professionnels de santé.
À l’occasion de SantExpo 2021, Catel a présenté un rapport d’étude sur le développement des usages de la télésanté en milieu hospitalier, avec le soutien de la FHF.
L’ANS concrétise sa collaboration avec l’OMS France en intégrant son centre de gestion des terminologies de santé au Centre collaborateur français de l’OMS.
L’Agence du numérique en santé a ouvert, jusqu’au 19 septembre, une concertation sur le processus de référencement des services numériques au sein du catalogue « Mon espace Santé ».
Le décret relatif à la mise en œuvre de l’Espace numérique de santé a été publié au Journal officiel du 7 août dernier. Il ouvre la porte aux expérimentations avant généralisation en 2022.
Le 23 juin 2021, l’Agence nationale de sécurité des médicaments et des produits de santé ainsi que le Health Data Hub annonçaient la signature d’une convention-cadre pour favoriser le partage des données, faciliter l’accès de tous aux données sur les médicaments et assurer une plus grande transparence en privilégiant l’Open Source.
L’Agence du numérique en santé (ANS) revisite son animation régionale du déploiement des stratégies MSSanté et DMP, avant les autres services socles.
Le Ségur de la Santé donne un coup d'accélérateur au virage du numérique du secteur de la santé qui devient peu à peu une réalité au service des usages sur le terrain. Témoignage d’icanopée.
En dehors de la question de savoir combien va coûter, pour le monde de la santé, la prise en compte de ce nouveau risque que constituent les cryptomalwares (5 % ? 10 % ? un peu plus ?) et si le financement de la protection contre ces attaques va se faire en rajoutant des budgets ou en réduisant la voilure existante, je vous propose de nous livrer à une petite réflexion qui intéressera certainement du monde.
Soutenir les acteurs à l’origine de la collecte des données dans la démarche de partage des données pour la recherche et l’innovation est l’un des axes de l’offre de service du Health Data Hub (HDH). Avec le projet Hugoshare, c’est une première collaboration ambitieuse qui est lancée entre le Health Data Hub et le groupement de coopération sanitaire (GCS) HUGO, porteur de la première plateforme de données de santé interrégionale.
Le 12 janvier, le Cercle Prévention & Santé et le Club Numérique & Territoires de Com’Publics ont présenté leur livre blanc « Pour un patient maître de ses données de santé ».
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