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Déjà sous pression depuis plusieurs années, le secteur de la santé a subi de plein fouet les conséquences de la crise sanitaire mondiale, affichant une détérioration encore plus marquée des conditions de travail dans l’hôpital. Sans parler des risques psychosociaux et fortes exigences émotionnelles qui alourdissent l’environnement des soignants.
Save the date ! WELIOM organise un webinaire le mardi 26 mars de 12h30 à 13h30 : « Enjeux et perspectives de Mon Espace Santé ».
Le voyage d’étude organisé par le CATEL autour du congrès HIMSS est aussi l’occasion pour les membres de la délégation de partager leurs expériences. Ce lundi 11 mars, il était notamment question de la conduite des projets e-santé au sein des établissements. Avant de partir à la découverte des dernières tendances technologiques, rien de plus pertinent que de reposer les bases. Agilité, conduite du changement, compréhension des besoins, … reste-t-il un acteur du numérique en santé pour penser qu’un projet SI réussi ne tient qu’à sa performance technologique ?
Vendredi 8 mars, le Winship Cancer Institute d’Atlanta, clinique spécialisée en oncologie, recevait la délégation française portée par le CATEL pour une visite de ses bâtiments flambant neufs et une présentation de leur parcours de prise en charge à la pointe de l’innovation technologique et organisationnelle. Organisé autour du patient et d’une vision holistique de la prise en charge, nous avons vu hier comment la technologie accompagnait cette révolution. Continuons notre visite avec un focus sur la pharmacie hospitalière et une analyse de l’acceptabilité de l’innovation par les utilisateurs. Et posons ensemble la question de la transposition au modèle français. (2/2)
Le regroupement des hôpitaux en Groupement Hospitalier de Territoire (GHT) représente un défi complexe pour les établissements publics de santé à l’échelle d’un territoire, mais cela représente également une formidable opportunité pour faciliter le parcours du patient et optimiser la gestion des établissements de santé. Au-delà de l’impératif de garantir la sécurité des données de santé, la question de l’identité des patients émerge comme l’une des solutions clés pour améliorer son parcours de soin.
La Délégation au numérique en santé a publié le 5 février 2024 les résultats d’une étude sur la perception du numérique en santé. Elle montre un usage croissant de ces technologies, et la confiance qui leur est accordée est renforcée, notamment en termes d’utilisation des données de santé.
Présent sur le secteur de la santé depuis près d'une dizaine d’années, le groupe La Poste a annoncé mi-octobre lors de l’événement Horizon Santé 360 la création de La Poste Santé & Autonomie. Pilotée par Dominique Pon, La Poste Santé & Autonomie ambitionne de devenir un partenaire de référence autour des services de proximité humaine pour la santé à domicile, et des services numériques de confiance pour les données de santé grâce notamment à l’expertises de Docaposte et de ses filiales, Maincare, Heva et WELIOM.
La protection des données personnelles est de plus en plus au cœur de litiges aux sujets variés. Un salarié sur le départ, un concurrent jaloux ou encore comme c’est le cas ici, un patient mécontent de son médecin, autant de personnes qui décident de s’appuyer sur les dispositions du règlement UE n°2016/679 dit « RGPD » pour obtenir des documents qui leur seront bien utiles devant un juge.
Début octobre, le groupe mutualiste Aésio Santé a annoncé que la télémédecine en Éhpad était dorénavant ouverte à la cardiologie pour que les personnes âgées dont l’état de santé le nécessite puissent bénéficier d’une expertise sans avoir à se déplacer.
Mercredi 20 septembre, s’est terminée la phase de déploiement de la « vague 1 » du programme Ségur numérique SONS, pour les logiciels du secteur sanitaire, lancée durant l’été 2021.
Le 4 septembre, l’ANS a annoncé le démarrage d’une expérimentation de Mon espace Santé dans les établissements et services sociaux et médico-sociaux sur le modèle de la phase pilote lancée en 2022 pour le secteur sanitaire.
Softway Medical et le GHT de la Martinique annoncentavoir conclu un accord le 15 février 2023 pour équiper les9 établissements du territoire - soit environ 1 500 lits –du DPI Hopital Manager.
L’Agence du Numérique en Santé renforce la co-construction avec les éditeurs de solutions de e-santé dans le cadre du déploiement de Pro Santé Connect
Simple d’utilisation, Efficience garantit l’obtention rapide de données médicales fiables et pertinentes pour la prise en charge des patients en s'appuyant sur les services socles nationaux de la e-santé. Elle sera présentée à l’occasion du Congrès Urgences.
Par un arrêt du 11 avril 2023, la Cour administrative d’appel de Paris a statué sur la licéité d’un traitement de données à caractère personnel relatif au dossier médical d’un patient. Cette décision est particulièrement éclairante sur les contours des droits et obligations des parties prenantes : la personne concernée/le patient, d’une part, et le responsable du traitement/l’établissement ou le professionnel de santé, d’autre part.
Une patiente admise en soins psychiatriques peut-elle faire modifier les données intégrées dans son dossier médical au nom du sacro-saint RGPD ? En d’autres termes, la réglementation sur les données personnelles prévaut-elle sur le contenu du dossier médical déterminé par le code de la santé publique ?
Le 24 avril 2023, l’Agence du numérique en santé a annoncé la publication de quatre volets d’interopérabilité liés au Ségur du numérique en santé dans le cadre du projet Data Radiologie, Imagerie médicale & Médecine nucléaire.
Une des qualités premières pour prétendre à une carrière de RSSI, c’est de garder ses yeux d’enfant. C’est ce que l’on se disait récemment, mes 52 printemps et moi-même. Illustration.
Depuis janvier 2022, l’espace numérique de santé « Mon Espace Santé » a remplacé ce que l’on appelait avant DMP (ou dossier médical partagé). Destiné à simplifier autant le parcours santé des usagers que leurs échanges avec les professionnels de santé, la finalité est surtout d’optimiser la prise en charge en permettant le stockage des données dans un seul et unique espace. C’est dans ce contexte que la gestion de la donnée de santé évolue de plus en plus vite et se digitalise. En 2021, c’est l’application « Appli carte Vitale » - qui a été testée dans plusieurs départements - avait pour objectif une généralisation dans tout l’hexagone d’ici la fin 2023.
Les professionnels de santé sont tenus au respect du secret médical, y compris entre eux s’ils n’appartiennent pas à une même équipe de soins. Le système d’informations de l’établissement dans lequel ils exercent doit donc faire l’objet de mesures techniques et organisationnelles susceptibles de garantir la sécurité, et donc la confidentialité, des données de santé qui y sont stockées.
Les participants, issus des établissements de santé et médico-sociaux de la région, ont échangé sur l’identité nationale de santé (INS), son déploiement dans leurs structures et les enjeux de son utilisation pour une meilleure prise en charge du patient..
Maincare s’est mobilisé dès le lancement des premiers travaux du Ségur du numérique. Entretien croisé avec Frédéric Fillatreau, directeur du programme Ségur chez Maincare, et Acyl Benslimane, directeur chez Capgemini qui accompagne l’éditeur dans la mise en oeuvre de la partie du programme relative au financement à l’équipement.
L’Agence du numérique en santé (ANS) a présenté le 9 novembre de nombreux usages développés par les 150 établissements pilotes qui se sont lancés dans la démarche Mon espace santé. Leurs retours d’expérience sera bientôt accessible.
Les accords du Ségur de la santé, signés en juillet 2020, ont consacré un volet numérique consistant dans l’investissement de 2 milliards d’euros au profit du développement du numérique en santé, avec comme objectifs affichés[1] de « rattraper le retard dans la modernisation, l’interopérabilité, la réversibilité, la convergence et la sécurité des systèmes d’information en santé », de sorte à « généraliser le partage fluide et sécurisé des données de santé ». Ce double objectif a été transposé au code de la santé publique imposant la conformité des services numériques en santé aux référentiels d’interopérabilité et de sécurité élaborés par l’Agence du Numérique en santé (ANS). Le volet numérique du Ségur s’articule en 6 couloirs distincts : hôpital, biologie, radiologie, médecine de ville, pharmacie et médico-social[2], avec, pour chacun d’eux, un dispositif de financement.
Le 7 octobre, l’Ordre des médecins a publié ses propositions pour une nouvelle organisation de l’équipe de soins coordonnée en intégrant l’utilisation et l’essor du numérique en santé.
L’Agence du numérique en santé continue ses concertations même au cœur de l’été. La première d’entre elles concerne Mon espace Santé ainsi que les spécifications des API d’interopérabilité, et la seconde les volets CI-SIS du projet de diffusion d’imagerie médicale du Ségur du numérique en santé.
Fin juillet, La Délégation ministérielle au numérique en santé et l’Agence du numérique en santé ont ouvert une concertation sur les exigences de sécurité des systèmes d’information dans le cadre de la vague 2 du Ségur du numérique en santé.
Élément clef du système d’information hospitalier, Dragon Medical One, la solution de reconnaissance vocale 100% cloud de Nuance a déjà emporté l’adhésion de nombreux professionnels de santé dans les hôpitaux. Les fonctionnalités développées par le spécialiste de l’intelligence artificielle conversationnelle sont en adéquation avec les besoins des utilisateurs : gain de temps médical et administratif, documentation clinique en temps réel du dossier patient informatisé, facilité de déploiement et d’utilisation de la solution, adaptation des fonctionnalités en continu avec l’IA.
Un arrêté publié le 5 juillet 2022 au Journal officiel détaille les critères que doivent respecter les éditeurs désireux de référencer leurs services et outils numériques dans le catalogue d’applications de l'espace numérique de santé (« Mon Espace Santé »). Ils ont trait notamment à la sécurité, à l'interopérabilité et à l'éthique.
Le 24 juin 2021, le ministère chargé de la Santé a publié le bilan de la feuille de route du numérique en santé 2019-2022, présenté lors du 7e Conseil du numérique en santé.
Dicsit Informatique est éditeur de logiciels de gestion pour les professionnels de santé à domicile avec la gamme DOMILINK. Leader sur le secteur de l’hospitalisation à domicile (HAD) avec 160 établissements équipés de la solution DOMILINK HAD (anciennement antHADine.net), c’est le 1er Dossier Patient Informatisé spécialisé pour les HAD à obtenir le référencement SEGUR sur les 3 DSR (Dossier de Spécifications de Référencement) du couloir hôpital : DPI (Dossier Patient informatisé), PFI (Plateforme d’Intermédiation) et RI (Référentiel d’Identité).
La Délégation du numérique en santé (DNS) a organisé le 18 mai, à l’occasion du salon SANTEXPO 2022 qui se tient jusqu’au 19 mai à Paris, une agora consacrée au Ségur du numérique. L’occasion notamment de faire le point sur le nombre, à date, de solutions référencées et de commandes signées.
A travers ce partenariat stratégique avec Docaposte, référent des services de confiance numérique, Maincare souhaite renforcer l’accompagnement des établissements de santé dans leur transformation numérique.Ce partenariat se concrétise par l’intégration de services numériques fournis par Docaposte à l’offre de Maincare. La première étape est de proposer aux établissements de santé la digitalisation du bulletin de paie notamment avec la solution Digiposte opérée par Docaposte. La seconde étape sera de proposer de nouvelles solutions à valeur ajoutée pour les établissements de santé : la signature électronique, la vérification d’identité à distance et l’interconnexion au DMP.
Un arrêté daté du 26 avril 2022 et publié samedi au Journal officiel fixe la liste des documents soumis à l’obligation d’alimentation du dossier médical partagé (DMP) par les médecins et les biologistes et d’envoi tant aux professionnels de santé qu’aux patients par le biais des messageries sécurisées de santé.
Des retours d’expérience des pilotes Ségur pour les champs personnes âgées, personnes en situation de handicap et domicile très prometteurs
Le groupement hospitalier de territoire de Dordogne (11 établissements, 4 000 lits) a entamé une étroite collaboration avec Lifen depuis 2020 et déploie progressivement sa plateforme d’intermédiation. Une décision dictée par la volonté de participer au déploiement de l’identité nationale de santé et d’accélérer l’envoi de documents médicaux vers la messagerie sécurisée de santé et le dossier médical partagé dans le cadre du programme Hop’en. Choix gagnant et surtout parfaitement adapté au lancement du Ségur du numérique. En effet, les établissements équipés sont d’ores et déjà non seulement capables de répondre aux exigences du Ségur, mais aussi d’anticiper ses prochaines évolutions.
Enovacom répond à toutes vos questions sur le Ségur lors d’un webinar dédié le jeudi 10 mars 2022 à 10h30.
Le nouvel espace numérique individuel « Mon espace santé » a été officiellement inauguré le 3 février 2022 au ministère des Solidarités et de la Santé. Après une phase d’expérimentation sur trois départements, il se déploie sur l’ensemble du territoire national.
Le 17 janvier 2022, SimforHealth, concepteur de simulateurs numériques en santé, a annoncé le soutien d’Ipsen, Novartis, Pfizer et Takeda via Coalition Next pour la création de la première plateforme de simulation numérique dédiée aux maladies rares.
Dans un précédent volet(1), le cabinet Houdart et Associés décryptait un premier aspect portant sur le périmètre restreint du référentiel sur les entrepôts de données de santé, dans ce second Laurence Huin et Adriane Louyer analysent les modalités d’information préalable des patients.
Pour ce premier webinaire 2022 des Jeudi du Numérique en Santé, nous vous proposons de revenir sur les 18 ans du DMP avec Yvon Merliere, ancien responsable de la mission DMP à la CNAM. Le futur du DMP passe par Mon Espace Santé, et Dominique Pon nous donnera sa vision prospective en qualité de responsable ministériel de la délégation du numérique en santé. Le Dr Bernard Castells, ancien Directeur de l’innovation et de la transformation au Centre Hospitalier de Valenciennes et Xavier Augay, Directeur Général de la société icanopee, nous feront part de leurs expériences de mise en œuvre du DMP dans les systèmes d’information Santé.
La continuité des soins en Europe devient réalité; la France fait partie des premiers pays à permettre la prise en charge efficace et rapide des patients européens et ouvre le service SESALI pour l’accès des professionnels de santé.
Le 17 novembre, la Caisse nationale de l’assurance maladie annonçait que « Mon espace Santé » pouvait d’ores et déjà être utilisé par 3,3 millions de personnes en France, en rappelant que la généralisation nationale de la plateforme est prévue à partir du début de l’année 2022.
Le GHT Sud Val-d’Oise a déployé la reconnaissance vocale cloud basée sur l’intelligence artificielle de Nuance pour accompagner sa transformation numérique. En quelques mois seulement, le temps de production documentaire a été divisé quasiment par deux, a-t-on appris lors d’une agora organisée sur le salon SANTEXPO le 8 novembre et animée par Christophe Jacquinet du cabinet de conseil et de veille en innovations santé Care Insight.
Début novembre, France Assos Santé Occitanie a publié les résultats d’une étude BVA sur les regards et les pratiques des habitants d’Occitanie, l’une des régions pilotes de Mon espace Santé, concernant le numérique en santé.
Les patients pris en charge au sein des établissements de santé membres du Groupement Hospitalier de Territoire de Maine-et-Loire commenceront à bénéficier à partir de 2022 d’un nouveau Dossier Patient Informatisé. Le GHT 49 s’appuie sur le Groupement d’Intérêt Public SIB et sa solution de DPI Sillage qui sera déployée au sein de ses 10 établissements engagés dans ce programme. Au-delà des nombreux bénéfices pour les professionnels de santé, ce DPI partagé permettra de faciliter les prises en charge et la communication entre les différents établissements de santé et la médecine de ville (médecins généralistes, spécialistes et officines).
Nombre de Directions Hospitalières, Chefs de Service, médecins et soignants, de Centres Hospitaliers Généraux (CHG), doutent de l’oppor- tunité qu’aurait leur établissement à s’engager dans une démarche DATA et IA. Doutes sur l’opportunité, mais aussi sur la faisabilité : est-ce accessible d’un point de vue budgétaire ? A-t-on suffisamment de disponibilité des compétences techniques et organisationnelles internes ? Et, surtout, quels usages pourraient intéresser les praticiens ?
France Assos Santé a sorti en juillet une étude sur « Les Français et la e-santé » qui montre notamment que, au-delà du boom de la pratique pendant les confinements, la télémédecine s’ancre dans les habitudes des Français.
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