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2019 fut une année de profondes mutations chez l’éditeur d’applications biomédicales. Entre la mise en place de la sérialisation et le développement de solutions de mobilité, Computer Engineering a permis aux équipes soignantes de se concentrer davantage sur leur métier grâce à des outils toujours plus adaptés.
La prise en charge d’un cancer, nécessairement pluridisciplinaire, requiert une bonne coordination des différentes spécialités intervenant pendant le parcours de soins. Le facteur « temps » y joue un rôle essentiel. Tout repose sur l’accessibilité des données pertinentes du patient. C’est à partir de cette analyse que l’équipe de la DSI du centre hospitalier de Valenciennes a développé dans le DPI Cerner Millennium®une fonctionnalité dédiée aux cancers ORL.
Les 31 mars, 1er et 2 avril 2020, l’Apssis accueillera 180 professionnels dans le cadre du 8e Congrès national de la SSI de santé, qui se tiendra à l’espace culturel des Quinconces du Mans, pour trois jours de conférences, de tables rondes, de débats et d’échanges. L’événement fêtera à cette occasion les dix ans de l’Association.
Auvergne-Rhône-Alpes s’engage résolument dans le virage numérique du plan MaSanté 2022 en étant la première région française à intégrer la e-CPS à sa plateforme numérique de santé. Cette réalisation est le fruit d’une collaboration étroite entre l’ASIP Santé, l’ARS Auvergne-Rhône-Alpes et le Gcs Sara, afin de faciliter l’usage des outils numériques régionaux et nationaux.
OphtAI, une Joint-Venture (JV) innovante proposant des solutions d’Intelligence Artificielle (IA) pour le dépistage des maladies oculaires, s’est vu décerner mercredi 4 décembre 2019 à Paris le grand Prix de l’Innovation lors du 12ème Congrès de la Société Française de Santé Digitale (SFSD) (Ex-Société Française de Télémédecine (SFT).
Une personne meurt de sepsis toutes les 5 secondes dans le monde. C’est encore aujourd’hui une des causes de mortalité les plus importantes. Cela représente 30 000 décès chaque année en France, où la mortalité des patients atteints d’un sepsis est de 27% et peut atteindre 50% pour la forme la plus grave, le choc septique. Et les prévisions projettent un doublement du nombre de cas d’ici cinquante ans, notamment dû au vieillissement de la population.
GS1, en collaboration avec plusieurs acteurs du secteur de la santé, présente un standard permettant une identification des produits de recherche dans les processus d’essais cliniques. Cette avancée répond à un besoin de meilleure identification et de traçabilité afin d’assurer la sécurité des patients.
La solution Dic’T de la société Anticyclone, acquise en 2019 par le groupe Maincare Solutions, a fait l’objet d’un nouveau référencement par le Resah dans le cadre du marché « Acquisition, installation et mise en oeuvre d'une solution logicielle de dictée numérique, de reconnaissance vocale et acquisition de matériels associés ».
Depuis le 1er juillet dernier, le portail myHOP s’appelle désormais Viapatient mais son objectif reste inchangé : proposer un éventail de services le plus complet possible dans une solution unique à l’échelle d’un territoire, d’un GHT ou d’une région.
Mieux comprendre pour mieux soigner… L’analyse de l’histoire singulière des patients et de leur parcours de soins, à l’échelle d’un établissement, d’un territoire ou encore populationnelle, se nourrit des multiples données de prise en charge stockées dans des entrepôts. Des outils d’interopérabilité sont indispensables pour abonder ces bases comme pour les consulter.
L’AP-HP a récemment annoncé avoir déployé son DPI Orbis dans ses 39 hôpitaux, et cette information parue dans un média[1], est très intéressante à la fois par ce qu’elle dit et par ce qu’elle ne dit pas.
Le Grand Est est la première région de France à publier son appel d’offres e-Parcours. Dès 2020, le Grand Est pourra ainsi offrir aux acteurs de la santé, du médico-social et du social de la région un bouquet de services numériques de coordination, facilitant la prise en charge du patient et de l’usager dans son parcours de soins. La démarche e-Parcours du Grand Est s'inscrit pleinement dans la continuité de la stratégie de transformation du système de santé « Ma santé 2022 ».
En avril dernier était présentée la feuille de route « Accélérer le virage numérique » du plan Ma Santé 2022, une présentation suivie quelques mois plus tard par la mise en concertation des premiers éléments de sa doctrine technique. En phase avec l’ambition et les fondamentaux de cette feuille de route, Maincare Solutions a présenté lors des Journées e-Santé 360 les principaux points d’alignement de sa stratégie avec les orientations et les actions de la doctrine nationale.
Ancien premier vice-président et délégué général au Numérique du Conseil National de l’Ordre des Médecins, qualifié en Médecine interne, Cardiologie et Néphrologie, le Dr Jacques Lucas suit depuis de nombreuses années les sujets du numérique en santé. Il a rédigé plusieurs livres blancs concernant les exercices professionnels, l’éthique médicale et la déontologie dans le monde du Numérique en santé.
Publié le 10 octobre 2019 au Journal officiel, un décret a modifié les dispositions relatives à l’utilisation du numéro d’inscription au répertoire (NIR) en tant qu’identifiant national de santé (INS), pour les mettre en conformité avec la loi n°78-17 du 6 janvier 2018 modifiée relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés, dans sa rédaction résultant de l’ordonnance n°2018-1125 du 12 décembre 2018.
Le 8e Congrès national de la SSI de santé se tiendra les 31 mars, 1eret 2 avril prochains au Mans.L’interview de Gérard Gaston, RSSI du groupe LNA Santé, est l’occasion pour l’Apssis de donner la parole à l’un de ses fidèles congressistes et de revenir sur les points forts de cet événement atypique.
Après une consultation de plusieurs mois et de nombreuses auditions et démonstrations, Maincare Solutions, associé à Atos, est l’un des quatre consortiums à avoir été retenus par le Resah dans le cadre de l’appel d’offres « Fourniture de services numériques pour les parcours de santé et leur coordination dans la sphère sanitaire et médico-sociale (coordination interprofessionnelle et appui à la coordination) et prestations associées ».Ce référencement est un support au programme e-parcours qui s'inscrit dans la stratégie de transformation du système de santé « Ma santé 2022 » et de son volet numérique en mettant à disposition un bouquet de services de coordination pour les professionnels de santé, complémentaire aux trois premiers services socles que sont le DMP, la MSSanté et l’e-prescription. Ce programme est doté d’un financement national de 150M€ sur la période 2018-2022.
Événement majeur dans le monde de la e-santé, les Journées e-Santé 360 se dérouleront les mardi 5 et mercredi 6 novembre 2019 à Paris dans la cadre prestigieux des Jardins de Saint-Dominique. Ce rendez-vous annuel se concentrera cette année sur les initiatives concrètes d’une approche globale des parcours et de décloisonnement entre la ville et l’hôpital, fil rouge du volet numérique du plan national Ma santé 2022.
Dans un entretien accordé à DSIH Magazine (1), Cédric O, secrétaire d’État chargé du numérique (2), nous livre son analyse de la transformation numérique en examinant ses conséquences à l’échelle de la France, mais aussi des citoyens et du secteur de la santé. Au cœur des préoccupations gouvernementales : l’emploi, la fracture numérique et la régulation. Morceaux choisis.
Les 31 mars, 1er et 2 avril 2020, l’Apssis accueillera 180 professionnels dans le cadre du 8e Congrès national de la SSI de santé, qui se tiendra à l’espace culturel des Quinconces du Mans, pour trois jours de conférences, de débats et d’échanges. L’événement sera l’occasion de fêter les dix ans de l’Association !
Ils sont actuellement 48 à avoir décroché la certification hébergeurs de données de santé, d’après le site de l’Asip Santé, le dernier en date étant, sauf erreur, le groupement de coopération sanitaire GCS Tesis (La Réunion et Mayotte), premier groupement régional d'appui au développement de l'e-santé (Grades) de la liste des hébergeurs pour son datacenter, et qui en plus couvre les 6 activités du référentiel.
L’APSSIS fédère les acteurs de la cybersécurité des systèmes d’informations de santé. Ses 150 Adhérents sont des établissements de santé publics et privés, des GHT par leur établissement support, des groupes privés MCO / EHPAD / ESPIC, des institutionnels, des GRADES, des industriels et éditeurs, des experts indépendants. Ces structures sont représentées par leurs RSSI, DSI, RSI ou Directeur Général.
Cette nouvelle délibération de la CNIL [1] arrive comme une pépite de chocolat sur le cookie afin de préciser les lignes directrices relatives à l’application de l’article 82 de loi informatique et libertés [2] et plus précisément aux opérations de lecture / écriture de traceurs sur le terminal d’un utilisateur.
N’ayant pas pu être présent à Lille pour le lancement du Tour de France de présentation du programme Ma santé 2022, je me suis rattrapé en visionnant la conférence (ici1) pour vous faire un premier retour à chaud.
Pour répondre aux attentes des professionnels de santé hospitaliers en matière de données sur les dispositifs médicaux, la solution VIDAL DMI s’enrichit en élargissant son périmètre d’informations. Carlos Carvalho, directeur des ventes et responsable de la solution VIDAL DMI, nous en dit plus.
Après les GHT Atlantique 17 (communiqué du 18 juin 2019) et du Douaisis (communiqué du 1er juillet 2019), le GHT des Landes a annoncé avoir retenu la plateforme territoriale de production de soins Maincare IC. Un choix qui lui permet de répondre à 3 objectifs stratégiques : convergence de son S.I., modernisation du DPI et ouverture vers la ville.
Comme un fait exprès, dans la même quinzaine nous tombons sur deux news, apparemment sans rapport, mais à y regarder de plus près en fait de rapport il y a.
Qare, première solution complète de téléconsultation en France et partenaire du monde médical, et Jeunes Médecins, organisation représentant les jeunes médecins, signent un contrat de partenariat au niveau national.
La mise en place des groupements hospitaliers de territoire (GHT) implique, au plan numérique, une convergence des systèmes d’information (SI) des établissements parties du groupement, l’objectif étant d’aboutir à un SI commun.
Le 20 juin 2019, la Haute autorité de santé (HAS) a rendu public une série de documents pour rendre opérationnel le déploiement de la téléconsultation, de la téléexpertise et de la téléimagerie.
La réglementation relative aux dispositifs médicaux (DM) qui entrera en vigueur en mai 2020 va bouleverser certains éditeurs et fabricants, qui seront de facto soumis à des contraintes beaucoup plus importantes.
Le coup d’envoi sera donné le 5 septembre au Grand Palais de Lille. Pendant six mois, Dominique Pon et Laura Létourneau, respectivement responsable et déléguée ministériels de la délégation du Numérique en santé vont aller à la rencontre des territoires. Pour les accompagner, des acteurs institutionnels feront le voyage. Comme l’Asip Santé, qui a accepté de répondre à nos questions.
La révolution numérique est largement engagée dans le champ de la santé, et s'esquisse dans le champ social et médico-social : accès facilité aux soins et aux accompagnements, mobilisation des données, amélioration des pratiques professionnelles et des parcours, recours à l'intelligence artificielle. Autant de promesses qui imposent d'agir dès à présent pour que le numérique apporte des solutions utiles et efficaces. Dans un rapport prospectif qu'elle publie ce jour, la HAS développe 29 propositions pour une mobilisation de tous : usagers, professionnels, industriels et Etat.
À l’occasion du Salon HIT 2019, les fédérations d’établissements hospitaliers et médico-sociaux ainsi que les institutions représentatives des industriels ont annoncé la modernisation de la Charte de bonnes pratiques pour les systèmes d’information de santé entre les donneurs d’ordre et les prestataires spécialisés datant de 2012.
GS1, l’organisation mondiale de standardisation de la chaîne d'approvisionnement a été accréditée par la Commission européenne, en tant qu'entité reconnue pour la délivrance des codes identifiants uniques dans le cadre de la règlementation UDI (Unique Device Identification ou IUD : Identification Unique des Dispositifs).
On peut lire et entendre de plus en plus fréquemment le terme de « Health Data Hub » lorsque l’on s’intéresse aux problématiques de santé numérique. Cette notion a été officiellement introduite en France suite à la remise du rapport Villani [1]en mars 2018, qui se penche sur la stratégie nationale en termes d’Intelligence Artificielle et donc d’exploitation des données. En juin 2018, le terme Health Data Hub est repris pour faire l’objet d’une mission de préfiguration lancée par la Ministre de la santé Agnès Buzyn [2].
Adopté par le Parlement Européen le 12 mars 2019, le Cybersecurity Act a été définitivement adopté le 7 juin 2019 par le Conseil de l’Union Européenne [1].
Grâce à la technologie de ses offres full Web, nativement développées pour le Cloud, Web100T propose une nouvelle opportunité au marché de la santé sur l’ensemble de sa gamme de logiciels.
360° sur les exigences, les méthodes et les tendances de la SSI Santé6 heures dédiées à la préparation et à l’animation d’un Comité de Sécurité 3 équipes – 3 présentations – 3 Comités SSI composés des grandes fonctions métiers
Le projet de loi relatif à l'organisation et à la transformation du système de santé a fait l’objet d’une procédure accélérée engagée le 13 février 2019 par le Gouvernement. Adopté le 26 mars 2019 par l’Assemblée nationale, le texte a été transmis au Sénat en 1ère lecture, et à sa commission des affaires sociales, laquelle a arrêté la version qui sera discutée en séance publique à partir du 3 juin prochain.
La responsabilité populationnelle des acteurs de la santé devient un facteur majeur de la qualité d’un système de soins. Gilles Launay, directeur commercial de Cerner France, nous explique comment la solution HealtheIntent® qui agrège et analyse les données de santé peut y contribuer.
Pour être performante, une fonction achat commune de territoire doit disposer d’un système d’information dédié et d’outils informatiques efficaces, adaptés à un contexte territorial et à un travail collaboratif entre établissements. Ceux utilisés actuellement par les directions achat ne sont plus adaptés à ce nouveau contexte.
21,5 milliards d’euros (Md€) de crédits alloués, 663 millions (M€) économisés et 415 M€ mis en réserve, tels sont les axes annoncés par la première circulaire relative à la campagne tarifaire et budgétaire 2019 des établissements de santé, texte qui s’inscrit dans le cadre de la deuxième année de mise en œuvre du plan d’économies 2018-2022 sur l’objectif national des dépenses d’assurance maladie (Ondam).
Dans deux articles précédents[1], nous procédions à un état des lieux de la solution Cloud Office 365 (0365) de Microsoft, en particulier de la sécurisation de la solution, pour le volet technique dans le premier article, et pour le volet conformité dans le deuxième. Dans un troisième article, nous décrivions par le menu le positionnement d’un RSSI vis-à-vis des questions On Premise/Cloud : pour résumer, en tant que RSSI, je n’ai pas d’avis suspensif, juste des préconisations.
En fin d’année dernière, Microsoft annonçait fièrement avoir obtenu le saint Graal qu’il convoitait depuis plusieurs années, à savoir la certification hébergeur de données de santé.
Inovelan, une société du groupe Agfa HealthCare, reçoit l’homologation V2 par le Centre National de Dépôt et d’Agrément (CNDA) pour son logiciel d’accès au Dossier Médical Partagé(DMP).
La ministre de la Santé annonce les évolutions concernant les systèmes d’information de santé et la cybersécurité. Petite synthèse.
À Lyon, le 15 mars 2019,le groupe Sword prend une participation minoritaire dans la start-up Maela. Créée fin 2015, Maela offre aux établissements de santé des solutions de suivi médical connectées en mode SaaS, reliées 24h/7j à un plateau infirmier unique et dédiées aux patients.
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