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Comme évoqué la semaine dernière dans la première partie de ce retour sur le #CNSSIS(1), l’hébergement de données de santé et la certification ISO27001 ont fait partie des grands sujets de ce congrès.
Pour son 5e Congrès, l’Apssis (Association pour la sécurité des systèmes d’information de santé[1]) a réuni une table ronde de directeurs d’établissement sensibles aux questions de sécurité numérique. Véronique Anatole-Touzet, DG du CHU de Rennes, et Yann Bubien, DG du CHU d’Angers, ont affirmé qu’il s’agissait à leurs yeux d’une réelle priorité stratégique et qu’ils devaient tout à la fois jouer un rôle de pilotage, de contrôle, d’évaluation et de sensibilisation.
Le #CNSSIS est le rendez-vous incontournable de tous les acteurs se préoccupant de la sécurité des systèmes d’information de santé, et par conséquent de la sécurité des patients et de leurs données. La cuvée 2017 aura encore été un grand cru ! 21 conférences réparties sur trois jours intenses et très riches en partages, rencontres et réflexions. Ce petit écosystème composé de divers acteurs, éditeurs, intégrateurs, professionnels de la sécurité, médecins, avocats, directeurs d’établissements, RSSI, DSI, représentants de l’état, étudiants, n’ont fait qu’un pendant trois jours pour faire avancer la sécurité des SI de santé. Un congrès éprouvant, car il faut bien le dire, les journées sont longues et les nuits sont courtes, mais tellement enrichissant !
Excellent article[1] de Pierre Desmarais sur son blog concernant la légalisation de l’utilisation du NIR (numéro Insee) dans le monde de la santé.
Lors de mes précédents témoignages, j’ai évoqué le volet organisationnel et humain, en abordant les conditions de la création d’un service informatique territorial et la formation des collaborateurs qui le constituent. Aujourd’hui, nous allons parler des outils et essayer de comprendre comment s’est traduit localement, depuis deux ans, le concept de système d’information convergent.
Cela faisait longtemps que l’on entendait parler, 35 ans vous diront ceux qui étaient là bien avant moi !
L’agrément HDS autorise Adista à publier les applications de ses clients, contenant des données de santé à caractère personnel, sur les infrastructures de ses Datacenter.
Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, annonce le lancement du prototype du site Internet et de l’application mobile sante.fr en Ile-de-France, à l’occasion de l’installation hier du Comité stratégique du Service public d’information en santé.
Les usages du numérique sont l'une des conditions sine qua none de la transformation du système", a indiqué Anne-Marie Armanteras-de Saxcé, directrice générale de l'organisation des soins (DGOS), lors de son discours à la cinquième journée numérique en santé organisée par l'Agence nationale d'appui à la performance des établissements sanitaires et médico-sociaux (Anap). En ce sens, les programmes Hôpital numérique (HN) et Territoire de soins numérique (TSN) ont permis des avancées notables sur le terrain. Un succès rendu possible également parce qu'au niveau national "les modalités d'intervention ont bougé", a précisé la DGOS.
Les professionnels réalisant des actes de télé-expertise, téléconsultation et télésurveillance peuvent bénéficier d’une rémunération dans le cadre de l'expérimentation du financement des actes de télémédecine. Pour ce faire, ils doivent se déclarer notamment auprès de l’Agence Régionale de Santé (ARS). En Pays de la Loire, finis le papier et les envois postaux, on simplifie la démarche, grâce au service de déclaration en ligne ! Première région à le proposer, l’ARS et le GCS e-santé des Pays de la Loire, à l’origine de cette innovation, ont pour mots d’ordre : gain de temps et efficacité !
Rapport d’activité 2016 : le RESAH a généré 50 millions d’euros de gains sur achats et élaboré une nouvelle offre de services « horizon 2021 » prête à être déployée aux niveaux territorial, régional et national
Quand les outils sensés nous protéger sont vulnérables, ils ne deviennent pas inefficaces, mais carrément néfastes !
Le 31 janvier 2017, la presse annonce qu’un ransomware a touché le système de santé publique du Royaume-Uni. Les données personnelles des patients étaient la cible de cette infection. Les résultats de l’investigation ont révélé qu’il s’agissait d’un malware encore jamais détecté.
Arrêté par le Comité économique des produits de santé (CEPS) - organisme chargé par la loi de fixer le prix des médicaments pris en charge par l’assurance maladie obligatoire -, le tableau du prix des médicaments est quotidiennement envoyé par le ministère de la Santé aux éditeurs de logiciels de gestion d’officines, afin que ces derniers bénéficient d’une mise à jour au fil de l’eau et en temps réel, dans la perspective de pratiquer des tarifs identiques sur l’ensemble du territoire national.
Étape clef de l’ensemble des dispositifs déployés pour faciliter le décollage de la santé numérique, la gouvernance régionale est redessinée. Philippe Burnel (Dssis) a profité du colloque annuel de Formatic Santé pour insister sur l’objectif principal assigné aux régions.
Konica Minolta couvre désormais toute la chaîne de production de l’image radiologique. Salim Bouali, directeur du département Imagerie médicale, et Agnès Chabrier, directrice du développement des marchés, reviennent pour nous sur les avantages de pouvoir se reposer sur un seul interlocuteur pour l’acquisition, le post-traitement et l’impression des données d’imagerie.
Pour améliorer le taux d'adoption du DMP par les patients, le CHU de Dijon Bourgogne l’établissement a fait le choix de l’EAI DmpConnect d’Icanopée. Marc Tisserant, Chef de Projets au sein de la DSI du CHU, décrit comment automatiser, grâce à cet outil, l’intégration du DMP dans le SIH.
Issu de la loi de modernisation de notre système de santé, le décret relatif à la mise en place des GHT implique d’organiser la convergence des stratégies à l’échelle des territoires de santé. Dans le GHT, cela va nécessairement s’accompagner d’une réflexion sur la stratégie numérique, sur la transformation des systèmes d’information et sur les organisations humaines en charge de leur mise en œuvre.
La loi de modernisation de notre système de santé, via les groupements hospitaliers de territoire (GHT), bouleverse l’organisation des soins et entraîne une évolution notable des usages. Face à ce constat, le MiPih accompagne ses adhérents avec une offre multi-outil.
Ceux qui sont persuadés que le DMP verra le jour un jour, vous pouvez arrêter derechef la lecture du présent article et retourner devant Qui veut gagner des millions ? ou Le Loft 18e saison.
Dans son avis[1] sur le système national de données de santé publié le 28 décembre dernier, la CNIL émet un certain nombre de remarques vis-à-vis du dispositif.
La mission FHF-télémédecine*, dans le cadre de sa campagne de sensibilisation #DeverrouillonsLaTélémédecine, s’est rendue le 22 décembre au Centre hospitalier de Moulins-Yzeure, situé dans l’Allier, qui a développé plusieurs dispositifs de télémédecine en réponse à des besoins précis, comme la prise en charge des détenus, les consultations gériatriques, la télécardiologie ou encore la filière AVC.
Co-organisé par la DSSIS (délégation à la stratégie des systèmes d’informations de santé), le service du HFDS (haut fonctionnaire de sécurité), la DGOS (direction générale de l’offre de soins) et l’ASIP Santé, orchestré par Philippe BURNEL (DSSIS), le deuxième colloque de la sécurité des systèmes d’information de santé, s’est déroulé mercredi 14 décembre au Ministère des affaires sociales et de la santé.
Avant de fermer la boutique pour la semaine de paillettes, les chocolats et l’indigestion, deux informations qui valent la peine d’être mentionnées.
Laurent Verzaux, radiologue au Havre et responsable du groupe Téléradiologie de la SFR (1), était invité à ouvrir la session de « Bilan après cinq ans de priorités nationales » organisée à l’occasion du 9e Congrès européen de la Société française de télémédecine (2).
Les 13 et 14 décembre prochains la FEHAP fêtera ses 80 ans à l’occasion de son 41ème congrès. La ligne directrice de ce congrès : « 80 ans à l’avant-garde de la Santé et des solidarités : regards sur le passé, visions du futur » mettra l’avenir du secteur de la santé et des solidarités particulièrement à l’honneur.
La télémédecine est une réalité en France. Or, si les professionnels y ont aujourd’hui recours, cette pratique innovante a besoin d’être reconnue et valorisée sur le plan financier. Attentive à l‘égalité d’accès aux soins comme à l’innovation, la Fédération hospitalière de France (FHF) oeuvre activement pour le déploiement d’une activité qui concourt à la recomposition décloisonnée et performante de l’offre de soins.
Depuis début 2015, la campagne « Faire avancer la santé numérique » (#FASN) mobilise et fédère les acteurs régionaux de la santé numérique. Après Bordeaux, Strasbourg, Lille, Lyon, Nantes et La Réunion, la campagne #FASN arrive à Montpellier le 17 novembre pour les 7e rencontres « 36 Heures Chrono » à Montpellier le 17 novembre. Organisées dans le cadre de la DigiWorld Week, semaine dédiée à l’innovation numérique sous toutes ses formes par la Métropole de Montpellier, les 36 Heures Chrono Occitanie répondent aux besoins de la région occitane de développer la filière e-santé.
En proposant aux acteurs de l’imagerie médicale la plateforme intégrée ETIAM Connect, le premier opérateur-éditeur français de télémédecine disposant d’une couverture nationale leur ouvre la voie à de nouveaux usages dans la pratique radiologique. Cette solution met en relation les établissements de santé avec les médecins télé-experts de différentes spécialités.
UniHA, réseau coopératif d’achats groupés à destination des hôpitaux publics, a choisi Enovacom pour connecter les appareils biomédicaux. L’objectif ? Intégrer les données vitales des patients dans les dossiers de soins informatisés, et faire ainsi gagner du temps aux soignants tout en garantissant la qualité des informations.
A l’occasion des Journées Francophones de Radiologie 2016, qui se déroulent mi-octobre à Paris, Siemens Healthineers présente un quatrième module pour teamplay, sa solution de cloud computing en matière d’imagerie médicale.
A l’occasion de la nouvelle rentrée, l’ISSBA (Département de l’ISTIA, Université d’Angers) se prépare à ouvrir pour la 7ème année deux de ses 2 formations diplômantes que sont les Diplômes Universitaires :
Keyrus, acteur international dans les domaines de la Data Intelligence et du Digital, et Conseil en Management et Transformation des entreprises, accompagne le GCS SESAN, Service Numérique de Santé en Ile-de-France, dans la mise en place de la plate-forme eCerveau, nouveau système régional d’aide à la décision et de suivi en temps réel de l’activité des services d’urgences, pour une anticipation et une gestion optimales des tensions. Mise en service en septembre 2015, la plate-forme destinée aux professionnels de santé habilités est disponible également via une application mobile, une première en France.
A l’heure où des chantiers d’envergure en santé numérique voient le jour dans toute la France, la campagne « Faire avancer la santé numérique » (#FASN) a trouvé dans l’Océan Indien, par l’implication des acteurs locaux et l’avancement de ses projets e-santé, un terrain particulièrement propice au développement de l’innovation en santé.
Le médecin augmenté recouvre plusieurs réalités, que DSIH vous propose d’explorer. Réalité virtuelle, qui correspond à l’immersion d’un utilisateur dans un monde recréé numériquement, avec sons et sensations, tout en le coupant du réel.
La loi du 26 janvier 2016 portant réforme de notre système de santé, affiche une volonté d’ouverture des données de santé, mais peine à convaincre sur l’ambition que doit se donner la France en la matière. Le Healthcare Data Institute alerte sur la complexité du dispositif mis en place et formule des propositions pour la lever.
Le Centre Hospitalier de Troyes partage désormais la disponibilité de ses lits d’hospitalisation complète dans le Répertoire Opérationnel des Ressources (ROR). Cette avancée a été possible grâce au travail conjoint de la Direction de l’Information Numérique des Hôpitaux de Champagne Sud et du GCS e-santé Champagne-Ardenne. Le nombre de lits disponibles est actualisé automatiquement toutes les heures, à partir du système d’information hospitalier de l’établissement.
Depuis quelques années, les secteurs sanitaires et médico-sociaux sont confrontés à des risques nouveaux avec des impacts forts sur la sécurité de la prise en charge.
Une circulaire de la Direction générale de la santé fournit les instructions afin que les DSI des établissements de santé et des laboratoires de biologie médicale mettent en œuvre l’obligation de télédéclaration des cas d’infection par le virus de l’immunodéficience humaine(VIH). Les mesures d’organisation à instaurer.
La chambre régionale des comptes Nord-Pas-de-Calais-Picardie vient de réaliser une enquête sur le SIH du CHRU de Lille qui gagnerait à être partagé avec les autres hôpitaux de la métropole.
L’Asip Santé prépare des modifications concernant les spécifications fonctionnelles et techniques du système de messagerie sécurisée de santé (MSSanté). Ces changements seront publiés dès septembre. Le détail.
Perinatsims : l’entrainement pour forger la confiance des professionnels de la périnatalité lors d’accouchements à hauts risques
L’Alliance eHealth France, qui regroupe les entreprises de la e-santé, souhaite une mise en oeuvre rapide de la stratégie nationale e-santé 2020, présentée le 4 juillet par Marisol Touraine. Les membres de l’Alliance s’accordent sur les grandes orientations de ce plan. Toutefois, ils s’interrogent sur les modalités concrètes de son application, face à l’importance des enjeux : rendre les bénéfices de l’e-santé accessibles aux 66 millions de Français et regagner une avance perdue sur la scène internationale. Ils souhaitent une clarification sur des aspects essentiels : le pilotage de cette stratégie, la coordination entre les acteurs, le modèle économique et le rayonnement des projets à l’international.
De plus en plus d'établissements sont victimes de piratages de leur messagerie. En effet, depuis plusieurs semaines déjà, je vois passer une quantité importante de messages de phishing [1] en provenance de messageries d'utilisateurs d'autres établissements de santé (mais aussi de multinationales, de ministères de divers pays, etc...) qui ont été piratées de la même façon je suppose.
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