Internet va-t-il tuer le capitalisme ? Pour Jacques Attali, la réponse est non : « il l’invente autrement ». Invité à en débattre par le G9+ (1), l’économiste et écrivain a projeté l’auditoire dans une sombre vision de l’avenir.
Les industriels de la Fédération LESISS et le cabinet de stratégie Care Insight lancent la campagne « Faire avancer la santé numérique », pendant 2 ans, afin d’accélérer la transformation numérique et l’efficience du système sanitaire et médico-social.
Le Conseil d'Etat vient de rendre sa décision, l'arrêté du 22 octobre 2013 introduisant l'observance du traitement n'a pas de base légale. A ce jour, les textes applicables ne font donc plus aucune référence à l'observance pour le suivi des malades, ni pour le remboursement.
Les organisateurs du Salon HIT 2015 ont décidé de moderniser cet événement dédié aux solutions SIH. C'est ainsi que trois nouveaux villages dédiés vont voir le jour. De plus, ils organiseront des parcours thématiques afin que les professionnels de santé puissent optimiser leur visite.
La Réunion Annuelle des Utilisateurs Maincare Solutions s’est tenue les 18 et 19 novembre à l’Espace Cap 15 à Paris et a rassemblé 400 participants sur les deux jours dont la majorité des CHU français.
C’est à ces mots que les acteurs du numérique en santé du Sud-Ouest ont accueilli mardi 25 novembre dernier, l’étape régionale du Tour de France du numérique pour la santé. Après des passages à Nîmes et Aurillac en début de mois, ce marathon de la e-santé, initié par l’association Formatic Santé, s’arrêtait donc à Bordeaux pour réunir les acteurs locaux.
Après « Les Barbares attaquent » … la santé, la finance, l’éducation, etc., ce cycle de conférences fait pour analyser le potentiel de disruption numérique dans chaque secteur d’activité (1), l’accélérateur de start ups The Family organise à Paris deux jours de rencontres avec ces fameux Barbares.
A l’occasion de son numéro 100, DSIH 7 News inaugure une nouvelle rubrique, très attendue de nos lecteurs : Ils/elles bougent. Cette rubrique est la vôtre : si vous changez de fonction, faites le savoir. DSIH diffusera gratuitement l’information et vous aiderez ainsi vos relations professionnelles à vous suivre dans votre parcours.
Après les centres hospitaliers de Belfort-Montbéliard et de Valenciennes, la polyclinique de la Clarence, située à Divion, dans le Pas-de-Calais, est le 3ème établissement utilisant les modules Cerner Millenium à être primé pour son informatisation.
On l'avait compris, la connexion d'un matériel non maîtrisé par l'institution au réseau interne a tendance à me donner de l'urticaire. Cela étant, il existe tout de même des pistes de travail, pour peu que certains principes restent respectés. Dans l'idéal, il faut raisonner par couches ou catalogue de services : on va découper l'approche BYOD en plusieurs strates, chacune correspondant à un service mis en œuvre par la DSI et implémentant également des règles de sécurité. L'idée est que plus on autorise, sur un terminal non maîtrisé, l'accès aux fonctionnalités du SIH, et plus les contraintes de sécurité doivent être respectées.
La Silver Economie est la filière industrielle de l’ensemble des produits et services destinés aux personnes âgées de plus de 60 ans. Il s'agit de tous les produits et services qui devraient permettre d'améliorer l’espérance de vie sans incapacité ou d'aider au quotidien les personnes âgées dépendantes et leurs aidants naturels.
L’association AEQUOLAB et le cabinet de conseil CARE INSIGHT organisent le colloque « santé connectée, usagers déconnectés » le 11 décembre au Conseil Economique, Social et Environnemental. C’est le premier colloque à s’interroger sur les objets connectés utiles et acceptables aux utilisateurs finaux que sont les professionnels de santé et les usagers.
15 recommandations (ci-dessous) sur un total de 118, un projet « emblématique » : le rapport Lemoine, commandé par Bercy en janvier dernier pour analyser les leviers de « la transformation numérique de l’économie », est loin d’avoir négligé la santé.
Il y a longtemps loin d'ici, vivaient dans un pays étrange et merveilleux des petits lutins joyeux : il s'agissait des Schlips.
Depuis un premier agrément en mai 2014, les dossiers d’agrément se multiplient pour des prestations de salles blanches, locaux techniques équipés pour recevoir les serveurs de leurs clients.
Jeudi 6 novembre dernier, le Cercle Numérique et Santé publiait les résultats de la 3ème édition de l’Indice de confiance Numérique & Santé*. Après une timide hausse en 2013, la nouvelle édition de ce baromètre dessine un paysage morose voire déprimé de la e-santé en France. L’indice de confiance général recule de 2 points à 2 ans, pour atteindre la note de 4,70/10 et passe, à 5 ans, à 6,24 contre 6,43 l’an dernier.
On pourra me taxer d'être réac, vieux jeu, plus en phase avec son époque ou que sais-je, la dépêche de Ticsanté concernant le déploiement du BYOD au CH de Troyes (1) me laisse perplexe. Si les données contenues dans la dépêche sont avérées – alors « verroterie » est certainement une nouvelle marque de savon.
Ce n’est pas une surprise, bien que les innovateurs français sachent largement occuper l’espace médiatique… ce sont les Etats-Unis qui dominent les développements technologiques en matière d’objets connectés de santé. Ils représentent en effet plus de 60% des 2 322 brevets déposés entre 2004 et 2014 dans ce secteur. L’indicateur a été estimé dans le cadre d’une cartographie des brevets publiée par un récent livre blanc (1).
Parce que les besoins des professionnels de santé évoluent, www.caducee.net a pris le parti de leur mettre à disposition un support d'information plus ergonomique et dynamique. Une nouvelle architecture, une nouvelle organisation des contenus et un affichage adapté aux terminaux mobiles en font aujourd'hui un partenaire de choix pour les professionnels de santé connectés.
La polyclinique de la Clarence (dans le pas de Calais) vient d'obtenir la certification niveau 6 de HIMSS qui, rappelons-le, récompense l'informatisation complète d'un grand nombre de services de l'établissement. Est-ce un mal ou un bien ?
En l’état actuel du projet de loi de santé 2015, le dossier médical partagé (DMP) pourrait quasiment être décrit en quelques lettres : HR, pour Historique des Remboursements, et VSM, pour Volet de Synthèse Médicale.
Le think tank Renaissance numérique a exploré le potentiel des outils numériques à transformer le système de santé français en un modèle préventif. Il en ressort une analyse de plus de 120 pages et une série de 16 propositions (1).
Les projets de e-santé lancés par le secteur public constituent autant d’enjeux de développement des compétences pour les salariés et les entreprises des TIC.
« Faire de la France un leader de l’e-santé : un pari impossible ? » La question était posée à Jean-Yves Robin, le 18 septembre dernier, lors de la conférence « Santé connectée » (1).
Moi, j'ai confiance dans l'hôpital. Je ne parle pas du secret médical, bien entendu, mais du système administratif, comme par exemple le système administratif de cotation des actes. Les départements d’information médicale sont muets comme des tombes : certes ils ont accès à tous les examens et actes que j'ai dû passer, mais sont tenus par le secret professionnel. Et puis ce sont quand même des médecins, pas de soucis. J'ai confiance.
Des exemples de développements informatiques au service des pratiques soignantes et de la sécurité de prise en charge des patients, la Clinique Pasteur de Toulouse en a à revendre.
Le Conseil d’Etat a choisi le numérique comme terrain d’étude pour 2014 et il en ressort un volumineux rapport de 446 pages qui traque le sujet sous tous les angles et se structure en 50 propositions.
La start-up ICANOPEE, créateur de solutions logicielles de partage et d'échange de données de santé à destination des professionnels de santé, édite aujourd'hui l’API qui facilite l’intégration de 100% des transactions du DMP.
La télémédecine permet non seulement une coordination des professionnels de santé mais également un transfert des savoirs, en situation concrète.
Ca y est, c'est la rentrée, la vraie : les affaire reprennent, les annonces en tout genre aussi.
Les professionnels de santé impliqués dans la prescription ou la dispensation de produits de santé sont appelés à participer au Prix VIDAL Hôpital jusqu'au 11 novembre 2014. Il s'agit, pour eux, d'élaborer des stratégies thérapeutiques et de les présenter à un jury qui les évaluera. Le premier prix se verra attribuer la somme de 5 000 €.
A compter de septembre 2014, l’ANAP lance le projet volet Ressources Humaine en Système d’Information (Volet RH en SI).
L’Indice de confiance numérique & santé revient pour une 3e édition. L'année dernière, la 2ème édition avait révélé une progression faible mais encourageante de la confiance des Français en la e-santé par rapport à 2012.
Prendre sa tension n’est pas un jeu. Aux Etats-Unis, un site spécialisé met en garde vis-à-vis des applis mobiles de santé qui communiquent sur leur caractère médical tout en s’abritant derrière un avertissement destiné à les faire échapper à la réglementation.
Dans un communiqué du 9 juillet dernier, notre Ministre Marisol Touraine annonçait que, suite au rapport de la commission Open Data sur les données de santé, « certaines propositions seraient mises en œuvre dès cette année ». Points de détails sur les propositions en question, le communiqué laisse plus d’interrogations que de réponses. Il y a cependant deux aspects remarquables dans ce dossier.
Après six mois de travaux, la commission pluridisciplinaire formée pour plancher sur l’ouverture des données publiques de santé vient de remettre son rapport à Marisol Touraine.
A peine plus de six mois après avoir quitté la direction de l’ASIP Santé, Jean-Yves Robin publie une analyse relativement froide et distanciée des ratés français du numérique en santé (1).
Pour sa 7eme édition consécutive, le jury des Trophées 2014 de la e-santé a rendu son verdict aujourd’hui et désigné les champions qui tracent le chemin de la e-santé de demain. 5 prix issus des catégories initialement définies ainsi que 3 prix spéciaux ont été décernés ce jeudi 3 juillet à l’Université d’été de la e-santé organisée par Castres-Mazamet Technopole, le rendez-vous immanquable de ce début d’été.
Mauvaise élève, la France se situe au 1er rang européen de la polymédicamentation avec une surconsommation 19 fois plus importante à titre indicatif de vasodilatateurs qu’au Royaume-Uni, 3 fois plus de psychotropes qu’en Allemagne ou au Royaume-Uni, 6 fois plus de médicaments par personne que les Néerlandais.
Quelques semaines après le rapport de la CNIL sur l’usage des données de santé sur Internet, l’enquête « Parler de santé sur le web, quelle(s) conséquence(s) ? » s’intéresse à la perception des premiers concernés : les malades actifs sur Internet.
Une dizaine d’articles d’Experts, des chiffres et des statistiques pour comprendre plus de 120 objets commentés, des liens pour aller plus loin.
Aujourd’hui, la mobilité est partout : smartphones, tablettes, applications. Les hôpitaux n’échappent pas à la règle.
L’Indice de confiance numérique & santé revient pour une 3e édition.
Cinq nouveaux plans du programme Nouvelle France Industrielle ont été adoptés le 18 juin lors du 4ème comité de pilotage ; dont trois dans le domaine de la santé.
Le système d’alertes en santé PAS-TEMPAS proposé par CALYSTENE dans son offre Futura Smart Design est un outil souple et paramétrable à partir duquel tout professionnel de santé choisit les événements qu’il juge prioritaires. Cette innovation majeure lui confère les caractéristiques d’un réel système d’aide à la décision.
Dans la santé, comme dans tous les pans de la société, la transformation numérique connaît actuellement une accélération. La dématérialisation des données de santé et des échanges entre les acteurs du système de santé/social met la protection des données personnelles à l’épreuve ; elle exige des réponses spécifiques afin de consolider la confiance des usagers envers les espaces numériques qui s’ouvrent dans le secteur santé/social.
Des applis mobiles en santé aux Google glass en passant par les réseaux sociaux, les MOOC (1) et les serious games, tout ce qui pourrait bien contribuer à une transformation radicale de la santé dans les années à venir était au programme du 4e Doctors 2.0 and You à Paris (2), les 5 et 6 juin.
L'association française des hébergeurs agréés de données de santé (l'afhads) vient de publier un ensemble de recommandations relatives à cet agrément, et pose en même temps certaines questions aux autorités chargées de délivrer le précieux sésame. Il est vrai que depuis l'apparition du décret hébergeur et les premiers agréments, un certain nombre de questions ont été soulevées par les différents acteurs, certaines restant à ce jour sans réponse.
Le corps est-il en passe de devenir un objet connecté ? Le régulateur doit-il s’apprêter à encadrer les usages de la santé connectée, et lesquels ?
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