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À l’occasion du Salon HIT 2019, les fédérations d’établissements hospitaliers et médico-sociaux ainsi que les institutions représentatives des industriels ont annoncé la modernisation de la Charte de bonnes pratiques pour les systèmes d’information de santé entre les donneurs d’ordre et les prestataires spécialisés datant de 2012.
LESISS publie ce jour un position paper pour exprimer sa vision des étapes nécessaires pour construire l'interopérabilité sémantique des systèmes d'information en santé.
Mis en place depuis trois ans, les parcours experts thématiques pilotés par des organismes spécialistes des sujets traités guident les visiteurs à travers les allées de HIT vers des solutions innovantes proposées sur le salon. Voici l’itinéraire d’un expert gâté.
Après Bordeaux, Strasbourg, Lille, Lyon, Nantes, La Réunion, Montpellier, Marseille, La Martinique et Dijon, la campagne #FASN continue son tour des régions françaises et organise sa prochaine étape régionale - 36 Heures Chrono IDF - le 14 décembre à l’UIC-P Paris pour accélérer le développement de la filière e-santé et le déploiement de projets innovants.
La campagne « Faire avancer la santé numérique » (#FASN) organise le 17 octobre 2017 au Palais des Congrès de Dijon sa 10e étape régionale dédiée à l’innovation en santé. Les acteurs de santé nationaux et régionaux se mobilisent pour porter le dynamisme de la filière du numérique en santé et co-construire une offre de soins efficiente et coordonnée en Bourgogne-Franche-Comté.
A l’occasion des 36 Heures Chrono Antilles-Guyane qui auront lieu le 21 juin prochain à Schoelcher (Martinique), les acteurs de l’innovation en santé se sont donnés rendez-vous pour échanger sur les nouveaux projets e-santé en cours de déploiement et réfléchir aux nouvelles formes de coordination et de coopération sanitaire qui redéfiniront l’offre de soins sur le territoire.
La campagne « Faire avancer la santé numérique » (#FASN) a choisi le territoire des Antilles-Guyane pour organiser, le 21 juin au Palais des Congrès de Fort-de-France, sa 9e étape régionale : les 36 Heures Chrono. Dossier patient informatisé, plateforme de coordination des professionnels de santé, coopération sanitaire interrégionale, projets de télémédecine, programme « Hôpital Numérique »… de nombreux sujets e-santé seront présentés et permettront aux acteurs de santé de faire le point sur les projets et outils numériques mis à leur disposition pour améliorer la prise en charge des patients.
La campagne « Faire avancer la santé numérique » (#FASN) organise le 21 juin 2017 à Fort-de-France (Martinique) sa 9e étape régionale dédiée à l’innovation en santé. Tous les acteurs de santé ultramarins se mobilisent pour porter le dynamisme de la filière e-santé et co-construire l’offre de soins de demain dans les Antilles-Guyane.
Créé il y a tout juste dix ans, le Salon HIT (Health Information Technologies), intégré depuis à la Paris Healthcare Week, a accompagné l’essor des technologies de l’information et de la communication dans le domaine de la santé. Des outils qui ne cessent d’évoluer au service des professionnels du secteur et des patients.
L’Alliance eHealth France®, qui regroupe les organisations professionnelles des principaux acteurs du numérique en santé - le LEEM, LESISS, le SNITEM et SYNTEC numérique - a adressé un courrier aux candidats à l’élection présidentielle leur demandant de se positionner sur cinq questions portant sur la transformation de la santé par le numérique.
La campagne « Faire avancer la santé numérique » (#FASN) organise le 30 mars à Marseille sa 8e étape régionale dédiée à l’innovation en santé. Tous les acteurs régionaux de santé sont mobilisés pour porter le dynamisme et l’excellence de la filière e-santé en région PACA.
La campagne « Faire avancer la santé numérique » (#FASN) organisera 4 nouvelles rencontres régionales de la santé numérique en 2017 (Provence-Alpes-Côte d’Azur, La Martinique, Bourgogne-Franche-Comté & Ile-de-France) ainsi que les Minutes de l’Innovation pour promouvoir les projets e-santé les plus innovants au sein des territoires.
Alors que le ministère des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes a publié le 16 janvier le rapport du groupe de travail 28 (GT28) du Comité stratégique de filière Santé sur les objets connectés et applications de santé, l’Alliance eHealth France (FEIMA, LEEM, LESISS, SNITEM et SYNTEC Numérique) appelle à la mise en oeuvre d’un référentiel en association avec les parties prenantes.
A l’heure où des chantiers d’envergure en santé numérique voient le jour dans toute la France, la campagne « Faire avancer la santé numérique » (#FASN) a trouvé dans l’Océan Indien, par l’implication des acteurs locaux et l’avancement de ses projets e-santé, un terrain particulièrement propice au développement de l’innovation en santé.
Depuis plus de 20 mois, la campagne « Faire avancer la santé numérique » (#FASN) et ses rendez-vous – 36 Heures Chrono – fédèrent les acteurs régionaux de la e-santé autour des nouvelles technologies et des services innovants en santé.
Les nouvelles technologies, notamment la vague du numérique, bouleversent notre système de santé et son modèle organisationnel en profondeur. Cette évolution nécessite une réflexion prospective sur les futurs envisageables et souhaitables.
La 4e édition des 36 Heures Chrono aura lieu à Lyon le 17 mars 2016. Ces rencontres régionales organisées par le cabinet de stratégie Care Insight mobilisent les acteurs de santé de la grande région Auvergne Rhône-Alpes sur le thème de la santé numérique.
La 3e édition des 36 Heures Chrono aura lieu à Lille Grand Palais le 16 décembre 2015. Ces rencontres régionales organisées par le cabinet de stratégie Care Insight mobilisent les acteurs de santé de la grande région Nord-Pas-de-Calais Picardie sur le thème de la santé numérique.
Initiée en janvier 2015 pour une durée de deux ans par le cabinet de stratégie Care Insight, la campagne de sensibilisation et de mobilisation « Faire Avancer la Santé Numérique » (FASN) vise à soutenir la filière e-santé et les régions françaises investies dans la transformation numérique et l’amélioration du système sanitaire et médico-social. A travers sa plateforme d’informations en ligne et ses rencontres régionales – les 36 Heures Chrono –, la campagne met en lumière les projets qui se bâtissent dans les territoires et offre aux acteurs un espace ouvert au dialogue et aux partages d’expériences en matière de santé numérique.
La première étape de la campagne « Faire avancer la santé numérique » – 36 Heures Chrono en Aquitaine – a suscité une forte mobilisation des acteurs de la grande région Aquitaine-Poitou- Charentes-Limousin.
La télémédecine rassemble, comme on a pu le constater à l’occasion d’une conférence de presse organisée à l’invitation conjointe de la DSSIS (ministère des Affaires sociales), des syndicats industriels (Lesiss, Snitem, Syntec Numérique) et du Catel (1).
Dans son combat contre l'opacité qui régnerait, selon elle, dans la passation de marchés publics en matière de système d'information hospitalier (SIH, lire ci-contre), la fédération Les entreprises des systèmes d'information sanitaires et sociaux (Lesiss) s'en prend cette fois-ci à l'Assistance publique-hôpitaux de Paris (AP-HP), précisément à la gestion de son projet de système d'information (SI) patient Orbis.
Prestataires, donneurs d’ordre ainsi que leur tutelle en conviennent tous : l’amélioration de la qualité des logiciels au service des patients doit se poursuivre afin d’accompagner au mieux l’évolution de notre système de santé.
Les industriels de la Fédération LESISS et le cabinet de stratégie Care Insight lancent la campagne « Faire avancer la santé numérique », pendant 2 ans, afin d’accélérer la transformation numérique et l’efficience du système sanitaire et médico-social.
A l’occasion de son numéro 100, DSIH 7 News inaugure une nouvelle rubrique, très attendue de nos lecteurs : Ils/elles bougent. Cette rubrique est la vôtre : si vous changez de fonction, faites le savoir. DSIH diffusera gratuitement l’information et vous aiderez ainsi vos relations professionnelles à vous suivre dans votre parcours.
BP6, c’est l’acronyme de « Bonnes pratiques pour les Systèmes d’Information de Santé » qui désigne une charte destinée à améliorer les relations entre prestataires et donneurs d’ordre sur le terrain de l’interopérabilité. La première mouture de ce texte remontait à juin 2012 et la deuxième version vient d’être présentée. Que s’est-il passé entre temps ?
La journée annuelle Interop’Santé s’est tenue vendredi 13 décembre 2013 dans les locaux de la Société Française de Radiologie, qui est aussi un des sponsors d’IHE France. Cet évènement est chaque année l’occasion de faire le bilan des projets réalisés au cours de l’année écoulée et d’annoncer les chantiers à venir.
La FEHAP, LESISS et l’ASINHPA scellent un partenariat stratégique et mettent en place un Observatoire de la gouvernance des systèmes d’information sanitaires et médico-sociaux, lors du 38ème Congrès de la FEHAP, le 7 novembre 2013 à Toulouse.
Fluidifier l’échange et la compréhension de l’information, que ce soit au sein d’une même établissement, entre 2 structures de santé, ou entre une direction des systèmes d’information et son prestataire de système d’information, c’est la mission que se donne l’association Interop’Santé pour l’année 2013 en lançant 3 nouveaux chantiers majeurs en réponse à la demande de ses membres.
« L’hôpital se doit d’être un acteur hors les murs », déclarait Jean Debeaupuis au Dauphiné Libéré début avril dernier. Le nouveau patron de la Direction générale de l’offre de soins (DGOS), qui s’installe à son poste ce 1er octobre, participait alors, dans ses fonctions de directeur général du CHU de Grenoble, au lancement d’une vaste expérimentation de télésanté.
Après trois ans de discussions, une « charte des Bonnes pratiques en Système d’Information de Santé » vient d’être présentée à l’occasion d’une conférence de presse organisée dans les locaux de la FHF. Que recouvre-t-elle ? Les groupements professionnels des prestataires en systèmes d’information de santé (LESISS, ASINHPA et Syntec Numérique*) ont validé avec la Fédération Hospitalière de France un document de 4 pages visant à améliorer les relations entre prestataires et donneurs d’ordre sur le terrain de l’interopérabilité.
A l’heure où en France tous les clignotants industriels sont au rouge vif - au nombre desquels ceux des systèmes d’information de santé – l’hypothèse d’une nationalisation de ces SIS peut sembler iconoclaste. Au point où nous en sommes, dans sa « Lettre ouverte au futur Président de la République » que vient d’adresser LESISS aux deux candidats finalistes, c’est l’une des alternatives évoquées.
Jérôme Duvernois, ancien directeur de la stratégie de Softway Medical et ancien président de la fédération LESISS, intègre l'ASIP Santé afin de renforcer la stratégie industrielle de l'agence.
Dans le domaine de la e-santé la France affiche un tel retard qu’il ne semble même plus être utile d’éviter, après les prochaines élections, une énième remise à plat des rares projets péniblement en cours ou prévus. Et si les systèmes d’information s’invitent dans la campagne, c’est sous leur plus mauvais angle.
C’est en tout cas ce que vient de proposer la fédération industrielle Lesiss (les entreprises des systèmes d’information sanitaires et sociaux). Objectif : endiguer l’inflation des procédures et organismes de contrôle que risquent d’entraîner, entre autres dispositifs, l’encadrement de la facturation hospitalière et de la dispensation des médicaments en ville. Jérôme Duvernois, président de Lessis, met en garde contre un surcoût de l’homologation qui pourrait dépasser l’activité de recherche et développement.
Inutile de se voiler la face : le retard français dans le domaine des technologies d’information de santé et pour l’aide à l’autonomie ne se résorbera pas avec de généreuses promesses. Ce constat admis, l’heure doit être à l’éveil de la société civile autour d’un sujet transgénérationnel durablement brûlant. Dans l’actuelle période de transition entre deux mandatures, force est d’observer que l’appétence des candidats à la magistrature suprême pour le levier des technologies au service de notre système de santé et pour l’aide à l’autonomie est encore en devenir.
Si sur le volet économique les trois lettres « AAA » sont désormais familières auprès de nos concitoyens, en matière de sécurité sanitaire le « Triple R » pourrait occuper durablement la scène médiatique.R pour Risque. L’actualité s’est en effet largement faite l’écho des risques encourus avec le médicament, en dévoilant le drame qui a frappé des milliers de patients en 2011. Les feux des projecteurs se sont ensuite déplacés sur le risque lié aux dispositifs médicaux, avec le récent scandale soulevé par les prothèses mammaires défectueuses. Un troisième risque, bien identifié, porte sur la qualité des données de santé gérées par les logiciels spécialisés.
Remarquable ! Ce qualificatif vient à l’esprit à la consultation de la dernière étude du Conseil d’Analyse Stratégique (CAS) sur la télésanté, à laquelle LESISS apporte son soutien. Pour autant, comment éviter que cette brillante analyse vienne s’ajouter à la longue liste des rapports et études encombrant les étagères de l’Etat ? « Cantonner la télésanté à la simple dématérialisation des procédures existantes serait réducteur : il s’agit aussi d’exploiter son potentiel pour promouvoir des pratiques plus collégiales et une réorganisation des structures.
En annonçant le lancement de son programme « Hôpital Numérique », le Ministère de la Santé affiche une volonté nouvelle de cohérence pour un marché qui en manque de longue date. Dans l’esprit de contribuer à une meilleure efficience de ce projet et pour éviter de renouveler les erreurs passées, la Fédération LESISS publie une note de synthèse assortie de recommandations concrètes. Après l’échec du plan « Hôpital 2012 », le nouveau programme « Hôpital Numérique » vise à renforcer les performances des systèmes d’information de santé, en particulier en termes de qualité et de sécurité des soins.
Trop c’est trop ! C’est très synthétiquement la conclusion tirée par le Directeur général de l’Agence nationale pour la sécurité des systèmes d’information (ANSSI) lors des récentes Assises tenues à Monaco. Le « Manifeste sur la sécurité » que publie la Fédération LESISS confirme cette analyse. Il formule une série de recommandations concrètes pour sortir, dans le domaine des systèmes d’information de Santé, d’une quinzaine d’années d’immobilisme feutré.
L’événement marquant de cette année 2011 dans le domaine des TIC santé coïncidera avec la sortie d’un immobilisme que rien ne semble devoir arrêter avant — au mieux — la prochaine législature.
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