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Établissement de référence en santé mentale en Bretagne figurant parmi les cinq plus importantes structures françaises de psychiatrie, le Centre Hospitalier Guillaume Régnier renouvelle son dossier patient informatisé (DPI). Le DPI Sillage, édité par le groupement d’intérêt public SIB, a été retenu par les utilisateurs fortement impliqués dans le projet. Ce nouveau dossier patient va permettre d’accompagner l’établissement dans la mise en œuvre des objectifs de son Projet d’Etablissement 2021-2025 : poursuite du virage ambulatoire, renforcement des filières de prise en charge, facilitation du parcours patient et des échanges de données en amont et en aval de la prise en charge au Centre Hospitalier Guillaume Régnier.
Cet été, l’Agence du numérique en santé (ANS) semble ne pas avoir fait de pause. Fin juillet, elle annonçait l’ouverture du Service européen de santé en ligne (Sesali) qui permet aux professionnels de santé de consulter les données de santé de patients européens. Par ailleurs, le portail Convergence a été mis à jour avec de nouvelles fonctionnalités et la nouvelle version du serveur multi-terminologies a été mise en production.
Le numérique apparaît comme une des solutions essentielles pour soutenir les professionnels de santé dans la pratique de leur activité, et alléger la pression exercée sur notre système de soins. Qu'elle soit médicale ou purement technologique, une innovation doit être parfaitement prise en main par les acteurs du soins pour être efficace. Pour cela, la formation est un allié fondamental pour accélérer l'arrivée de l’innovation à l’hôpital.
Dans le cadre du lancement de la solution e-Venue de Maincare qui permet de digitaliser et renforcer la relation entre le patient et l’hôpital tout au long de son parcours – de la prise de rendez-vous au retour au domicile - Maincare et Jouve annoncent leur partenariat pour simplifier et sécuriser le processus de e-admission.
Aujourd’hui, faire entrer l’innovation à l’hôpital n’est pas chose aisée. La faute notamment à un modèle d’intégration qui peine à répondre à des enjeux d’usages et de déploiement rapides, à la fois du côté des hôpitaux que des solutions de e-santé.
Un webinaire de 75 minutes, le 17 juin à 11h00 avec le retour d’expérience de l’AP-HP et des Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, interrogés par l’APSSIS
Au-delà de la crise sanitaire actuelle, notre système de soins connaît de fortes tensions. Ces tensions sont notamment dues à la croissance sans précédent des polypathologies, en particulier chez les populations âgées (+30% de 75 ans+ à horizon 2030), et des maladies chroniques (+92% de diabétiques entre 2000 et 2019). Ces nouveaux parcours de soins impliquent de plus en plus de spécialités et multiplient les interactions entre médecin libéraux et hospitaliers.
Au terme d’une procédure de Dialogue Compétitif de 12 mois, le GHT Alliance de Gironde, qui regroupe 10 établissements dont le CHU de Bordeaux son site support, a fait le choix de Maincare pour son futur portail de services numériques.
L'innovation en santé et notamment la e-santé connaissent une activité sans précédent portée par la crise sanitaire et aidée par les actions de l'Etat (Ségur, INS, Hop'en...). Le numérique est un élément clé pour répondre à la demande croissante de soins due à l'augmentation des affectations de longue durée ou les polypathologies. Cette nouvelle ère pourrait malheureusement avoir un impact limité si les difficultés de déploiement pour les hôpitaux et les solutions de e-santé subsistent (il faut entre 6 et 12 mois pour déployer une solution dans un seul hôpital).
UNIHA, le 1er acheteur public français dans le domaine de la santé, a choisi de référencer, sur le marché « Gestion du Parcours patient », Nouveal e-santé, filiale de La Poste Santé spécialisée dans la numérisation des parcours et le télésuivi des patients.
Lifen et Jouve annoncent l’engagement de leur partenariat stratégique et opérationnel. Il s’agit d’une percée très significative pour permettre plus de fluidité dans l’identification des patients et la gestion de leurs parcours administratifs et financiers. Concrètement, le patient pourra s’identifier à partir du système d'authentification universel baptisé “Lifen Connect” et bénéficiera d’un processus fluide et intégré permettant de gérer sa convocation, la sécurisation de son identité, son admission administrative et financière, l’incrémentation de ses documents médicaux dans le DMP et l’envoi digitalisé du compte-rendu médical aux médecins de ville. Cette avancée technologique et opérationnelle s’inscrit donc directement en ligne avec les objectifs stratégiques de la Feuille de route numérique du Plan Ma Santé 2022.
Gustave Roussy, premier centre de lutte contre le cancer en Europe et 5ème au monde est un établissement de soin, de recherche et d’enseignement qui accompagne chaque année près de 50.000 patients.
Le cadre règlementaire européen des dispositifs médicaux sera profondément remanié à compter du 26 mai prochain, avec l'entrée en application du règlement (UE) 2017/745. Un système d'identification unique des dispositifs médicaux ou « IUD » (UDI en anglais) sera notamment instauré.
L’organisation de nos voisins helvétiques n’est pas une légende. Un atout qui aura permis aux HUG de mener en 4 mois, en pleine crise sanitaire, un AO pour la mise en place d’une VNA (Vendor Neutral Archive) destinée à remplacer en septembre 2021 leur archive PACS actuel (250 To) tout en posant les bases pour le déploiement de nouveaux usages cliniques en lien avec le dossier patient de l’institution.
La 3ème édition du D4 Evolution a été l’occasion pour le groupe de dévoiler les priorités de 2021, notamment avec l’évolution de la plateforme D4U, son accélération vers la digital pathology, le lancement en France de sa gamme Clinalytix et ses services managés.
En novembre et en décembre, l’ANS a proposé une nouvelle session d’une dizaine de webinaires à destination des professionnels de santé. Deux séances de la dernière semaine étaient consacrées à l’interopérabilité.
Depuis 5 ans, Lifen facilite la coordination médicale et l’accès aux données pour l’ensemble des soignants. Aujourd’hui, nous voulons aller plus loin en aidant les professionnels de santé à soigner mieux en soignant ensemble. Pour concrétiser cette promesse, nous lançons aujourd’hui le projet Soigner Ensemble qui doit offrir à tous les soignants une prise en main rapide des solutions de e-santé pertinentes pour leurs pratiques, tout en les rendant interopérables avec leurs outils actuels.
La solution logicielle Medsphère, dédiée à la Gestion Administrative des Patients (GAP), a obtenu l'autorisation pour l’intégration du téléservice INSi v2.0 suite à l'examen du CNDA réalisé fin octobre 2020.
Dans le cadre de la structuration des GHT, les établissements supports ont porté la réalisation de schémas directeurs de convergence des SI lancés en 2017 et 2018. Ces travaux ont été accomplis sur la base de projets médicaux et de soins partagés réalisés dans des délais contraints, avec une projection initiale souvent théorique des fonctionnements coopératifs et des besoins métiers. Ces SDSI devaient aussi s’atteler à la mise en place d’une gouvernance commune des systèmes d’information, sous la forme d’une commission stratégique du système d’information (CSSI), nommée par le comité stratégique du GHT. Dans les faits, si cet organe de gouvernance en charge du pilotage du SDSI n’est pas toujours opérationnel, il est pourtant essentiel en tant que maîtrise d’ouvrage déléguée et reconnue, dotée de pouvoirs et au service d’un « collectif » donneur d’ordres.
PHAST, entreprise de services du numérique experte en interopérabilité sémantique, élargit son offre pour accompagner les éditeurs et établissements de santé dans la gestion de leurs ressources sémantiques.
L’Agence du Numérique en Santé a annoncé fin septembre l’accélération du déploiement de l’Identité « Identifiant National de Santé » (INS). Afin d’accompagner l’engagement des acteurs vers des soins mieux connectés, DSIH organise un Webinaire de partage d’expérience le 15 octobre 2020 avec le retour d'expérience de Frédéric André, DSI du C.H. de Valenciennes et la contribution de Xavier Augay, directeur de la société icanopée, éditeur expert de l'interopérabilité DMP et santé.
Un webinaire de 60 minutes animé par Xavier Vallin, animateur expert pour DSIH, le 15 octobre 2020 de 10h30 à 11h30 sur www.dsih.fr.Avec le retour d'expérience de Frédéric André, DSI du C.H. de Valenciennes et la contribution de Xavier Augay, directeur de la société icanopée, éditeur expert de l'interopérabilité DMP et santé
L’Agence du numérique en santé (ANS) a mis en ligne, mi-septembre, l’outil Convergence pour permettre aux industriels de mesurer leur conformité à la doctrine technique du numérique en santé.
Le groupe Dedalus confirme son engagement envers la feuille de route du numérique en santé, publiée par l’État en avril 2019.
Il a fallu plusieurs années avant de pouvoir changer d’opérateur téléphonique sans perdre son numéro d’appel. Une (r)évolution est en marche pour les industriels de l’e-santé. Dans quelques semaines doit être publié le décret rendant opposable le cadre d’interopérabilité des systèmes d’information de santé (CI-SIS) défini par l’Agence du numérique en santé (ANS). À la clef, partage de données et portabilité.
Les établissements et services médico-sociaux se lancent dans la numérisation du parcours des résidents. Une transition loin d’être évidente si l’on se réfère aux difficultés rencontrées par les Ehpad durant la crise du Covid-19 pour adopter ces nouveaux outils. Comment le numérique peut-il prendre sa juste place dans les ESMS ? Catherine Philippe, directrice d’ESMS depuis plus de 15 ans, manager de transition et ambassadrice à l’Anap depuis 2014, nous livre son analyse sur cette évolution, son contexte et les conditions de sa réussite.
Début juin, les ministres français et allemand de l’Économie ont dévoilé l’architecture de GAIA-X, un projet de plateforme européenne de Cloud visant à construire une infrastructure de données fiable et sécurisée pour l’Europe, notamment dans le domaine de la santé.
La crise sanitaire du Covid-19 a mis en évidence la nécessité de pouvoir communiquer à distance. Comment aurions-nous pu passer ces 54 jours de confinement sans Skype, Messenger, Teams, Zoom, WhatsApp… ? Imaginez un seul instant qu’un fournisseur d’accès Internet refuse purement et simplement ces technologies. Il aurait rapidement été contraint de s’adapter. L’interopérabilité dans la santé reproduit ce même schéma.
Au terme d’une consultation de trois mois relative à l’accord cadre national porté par le Resah, la commission multidisciplinaire qui s’est tenue le 19 mars a fait le choix du consortium porté par Maincare Solutions pour son futur service e-Parcours. Baptisé Parceo, il sera proposé aux professionnels de santé du Grand Est par le Groupement régional d’appui au développement de le e-santé Grand Est Pulsy dès septembre 2020. Ce bouquet de services, qui s’inscrit dans la stratégie de transformation numérique du plan « Ma Santé 2022 », permettra de faciliter la coordination entre les acteurs de santé du Grand Est et d’améliorer le suivi des parcours de soins.
Pour répondre aux besoins de suivi en ville des patients atteints ou suspectés de Covid-19 confinés sur tout le territoire, les équipes françaises d’Agfa HealthCare mettent à disposition des médecins libéraux et hospitaliers et des équipes de coordination qui assurent le suivi à domicile des malades chroniques, une application dédiée. De chez lui, le patient renseigne quotidiennement un questionnaire de santé précis qui génèrera immédiatement des alertes vers le professionnel de santé qui le suit, en cas de signes de gravité.
Il est évident que l’interopérabilité va jouer un rôle fondamental pour la santé de demain. En 2020, la taille des données liées au secteur de la santé dans le monde entier devrait atteindre un chiffre astronomique de 2,3 milliards de gigaoctets. Les sources et la nature même de ces données seront différentes : des signes vitaux pour la surveillance des pathologies aux images haute résolution pour l’établissement d’un diagnostic, en passant par les dossiers de pharmacie pour la prescription de médicaments.
La solution Dic’T de la société Anticyclone, acquise en 2019 par le groupe Maincare Solutions, a fait l’objet d’un nouveau référencement par le Resah dans le cadre du marché « Acquisition, installation et mise en oeuvre d'une solution logicielle de dictée numérique, de reconnaissance vocale et acquisition de matériels associés ».
En avril dernier était présentée la feuille de route « Accélérer le virage numérique » du plan Ma Santé 2022, une présentation suivie quelques mois plus tard par la mise en concertation des premiers éléments de sa doctrine technique. En phase avec l’ambition et les fondamentaux de cette feuille de route, Maincare Solutions a présenté lors des Journées e-Santé 360 les principaux points d’alignement de sa stratégie avec les orientations et les actions de la doctrine nationale.
Enovacom organise le 19 novembre prochain un webinar sur le thème "Ma santé 2022". Mais de quoi s'agit-il ?
L’AP- HP, avec le déploiement d’ORBIS d’Agfa HealthCare à l’hôpital pédiatrique Robert Debré le 1er octobre, bénéficie désormais d’un DPI unifié avec une large couverture fonctionnelle et une réponse adaptée aux différents besoins cliniques dans ses 39 hôpitaux d’Ile de France.
Après une consultation de plusieurs mois et de nombreuses auditions et démonstrations, Maincare Solutions, associé à Atos, est l’un des quatre consortiums à avoir été retenus par le Resah dans le cadre de l’appel d’offres « Fourniture de services numériques pour les parcours de santé et leur coordination dans la sphère sanitaire et médico-sociale (coordination interprofessionnelle et appui à la coordination) et prestations associées ».Ce référencement est un support au programme e-parcours qui s'inscrit dans la stratégie de transformation du système de santé « Ma santé 2022 » et de son volet numérique en mettant à disposition un bouquet de services de coordination pour les professionnels de santé, complémentaire aux trois premiers services socles que sont le DMP, la MSSanté et l’e-prescription. Ce programme est doté d’un financement national de 150M€ sur la période 2018-2022.
Harmoniser un système d’information à l’échelle d’un groupement hospitalier de territoire implique des coûts et un temps de mise en œuvre importants. Il faut pouvoir consolider les données de manière globale, quelles que soient leurs sources, et les mettre à disposition des utilisateurs. Une fois de plus (1), tout est affaire d’interopérabilité, comme le montre bien François Decourcelle, directeur adjoint de l’innovation chez Enovacom.
La centrale d'achat de l'informatique hospitalière (CAIH) a annoncé début Octobre avoir sélectionné la société Lifen comme attributaire unique de son marché pour la dématérialisation et l’optimisation des courriers. Permettant ainsi aux 1 100 établissements de santé adhérents à la CAIH d’implanter la solution la plus performante pour la dématérialisation et le traitement postal de leurs courriers médicaux.
En France, comme ailleurs dans le monde, la tendance concernant les systèmes d’information est de privilégier le meilleur logiciel par silo applicatif (RIS, GAM, DPI, etc.), ce que les Anglo-Saxons appellent « the best of breed[1] », plutôt que des solutions intégrées. Résultat, certains établissements de santé peuvent compter jusqu’à 300 applicatifs différents. Lorsqu’il s’agit de faire communiquer l’ensemble, on se retrouve vite face à une tour de Babel. DSIH vous emmène à la découverte en quatre étapes des bien-fondés de l’interopérabilité hospitalière, à l’échelle d’un GHT ou plus largement régionale, essentielle au partage et à l’échange de l’information médicale. Premier volet : l’interopérabilité au cœur des projets SI.
À une époque pas si lointaine (il me semble) de mon existence, la SSII dans laquelle je travaillais avait constaté qu’un de nos clients faisait religieusement ses sauvegardes tous les soirs, comme on le lui avait montré. OK, c’était au millénaire précédent, OK, c’était sur des disquettes souples 5 ¼ pouces, OK, je ne suis pas exactement le perdreau de l’année, mais sauvegardes tout de même il y avait. Sauf que tous les soirs, juste avant de partir, le chef du client en question mettait un coup de trouilloteuse dans ladite disquette pour pouvoir la ranger dans un grand classeur à anneaux (authentique).
Ils sont actuellement 48 à avoir décroché la certification hébergeurs de données de santé, d’après le site de l’Asip Santé, le dernier en date étant, sauf erreur, le groupement de coopération sanitaire GCS Tesis (La Réunion et Mayotte), premier groupement régional d'appui au développement de l'e-santé (Grades) de la liste des hébergeurs pour son datacenter, et qui en plus couvre les 6 activités du référentiel.
N’ayant pas pu être présent à Lille pour le lancement du Tour de France de présentation du programme Ma santé 2022, je me suis rattrapé en visionnant la conférence (ici1) pour vous faire un premier retour à chaud.
Après les GHT Atlantique 17 (communiqué du 18 juin 2019) et du Douaisis (communiqué du 1er juillet 2019), le GHT des Landes a annoncé avoir retenu la plateforme territoriale de production de soins Maincare IC. Un choix qui lui permet de répondre à 3 objectifs stratégiques : convergence de son S.I., modernisation du DPI et ouverture vers la ville.
Le 9 mai dernier, une nouvelle nomenclature de la liste des actes et des prestations de biologie médicale pris en charge par l’assurance maladie est entrée en vigueur. Comme lors de chaque changement au journal officiel, dans un souci d’optimisation du logiciel, les équipes d’Agfa HealthCare ont immédiatement mis à jour les données d’Hexalis. Un module actualisé a ainsi été livré aux clients permettant d’éviter tout rejet des feuilles de soin électroniques lié au risque de mauvaise tarification engendré par un paramétrage réalisé en local.
Le module SRS, développé par Agfa HealthCare dans la nouvelle version 4.5 d’Hexalis (son Système de Gestion de Laboratoire de Biologie) permet aux biologistes de visionner dans l’écran de validation biologique les résultats de biologie spécialisée conjointement aux résultats produits en local. Cette évolution majeure de présentation facilite le processus de validation.
Le projet de loi relatif à l'organisation et à la transformation du système de santé a fait l’objet d’une procédure accélérée engagée le 13 février 2019 par le Gouvernement. Adopté le 26 mars 2019 par l’Assemblée nationale, le texte a été transmis au Sénat en 1ère lecture, et à sa commission des affaires sociales, laquelle a arrêté la version qui sera discutée en séance publique à partir du 3 juin prochain.
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