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Le GHT des Landes a choisi Maincare IC de Maincare Solutions pour faire converger ses systèmes d’information. La nouvelle plateforme doit permettre au GHT de conforter sa stratégie d’ouverture sur la ville, tout en permettant aux professionnels de santé de bénéficier d’outils plus ergonomiques et adaptables à leurs pratiques.
Le dispositif sur la sérialisation du médicament, entré en vigueur le 9 février dernier, a connu des difficultés de démarrage, liées à la mise à disposition des données nécessaires, à la multiplicité des acteurs et à la diversité des systèmes d’information des pharmacies à usage intérieur (PUI). Quel bilan dressent les PUI pour cette première année ? Réponse avec deux pharmaciens hospitaliers, utilisateurs du module de sérialisation édité par le MiPih et Newac, Magh2 Sérialisation.
2019 fut une année de profondes mutations chez l’éditeur d’applications biomédicales. Entre la mise en place de la sérialisation et le développement de solutions de mobilité, Computer Engineering a permis aux équipes soignantes de se concentrer davantage sur leur métier grâce à des outils toujours plus adaptés.
Le module ACSiA (Automated Cyber Security Interactive Application) est un logiciel qui permet la surveillance locale des événements de cybersécurité en temps réel.
Owkin - entreprise française spécialiste des technologies d’IA (Intelligence artificielle) dans la recherche médicale - dévoile aujourd’hui sa collaboration avec NVIDIA et le King’s College London (KCL). Owkin entend démontrer qu’une architecture de Federated Learning (ou “apprentissage fédéré”) est aussi pertinente que le modèle traditionnel d’analyse par centralisation des données mais aussi beaucoup plus sûre pour protéger les données personnelles des patients.
Le Centre hospitalier de Luxembourg – implanté dans la capitale du Grand-Duché – et le Centre hospitalier Émile-Mayrisch – à Esch-sur-Alzette, au sud-ouest du pays – viennent de démarrer le déploiement de leur dossier patient mutualisé informatisé de nouvelle génération Dop@min. Cette solution est basée sur la plateforme territoriale de production de soins Maincare IC.
GS1, en collaboration avec plusieurs acteurs du secteur de la santé, présente un standard permettant une identification des produits de recherche dans les processus d’essais cliniques. Cette avancée répond à un besoin de meilleure identification et de traçabilité afin d’assurer la sécurité des patients.
En regardant les innovations techniques apportées aux logiciels malveillants, je me dis deux choses. Tout d’abord que les attaquants ne sont pas en manque d’inspiration lorsqu’il s’agit de malmener nos pauvres systèmes d’information. Ensuite qu’ils doivent attribuer beaucoup plus de budget au département recherche et développement que les éditeurs de logiciels « bienveillants », en particulier ceux du secteur de la santé.
A partir du 1er janvier 2020, les 9 200 pharmacies équipées du logiciel métier d’officine LGPI profiteront d’une nouvelle base de données produits et services intégrée à leur logiciel, la Base de données Claude Bernard (BCB).
La solution Dic’T de la société Anticyclone, acquise en 2019 par le groupe Maincare Solutions, a fait l’objet d’un nouveau référencement par le Resah dans le cadre du marché « Acquisition, installation et mise en oeuvre d'une solution logicielle de dictée numérique, de reconnaissance vocale et acquisition de matériels associés ».
Depuis le 1er juillet dernier, le portail myHOP s’appelle désormais Viapatient mais son objectif reste inchangé : proposer un éventail de services le plus complet possible dans une solution unique à l’échelle d’un territoire, d’un GHT ou d’une région.
Les nouvelles techniques médico-chirurgicales ont permis de réduire les temps de séjour pour bon nombre de prises en charge [1]. Ambulatoire, hospitalisation « J zéro », hospitalisation de jour, dossiers « à séances »…, Canyon Technologies et TimeWise Clinic, son logiciel de planification des lits, accompagnent les établissements de santé dans la mise en œuvre de ces évolutions organisationnelles.
Il n’y a pas que le temps qui est maussade ces derniers jours, dans le « cyberespace », les vulnérabilités, elles aussi pleuvent à seaux. Si de nombreuses régions sont actuellement touchées par les inondations, il en est de même pour nos systèmes d’informations, l’eau s’infiltre un peu partout, et la « to-do list » du RSSI finit par déborder.
La vie de RSSI n’est pas faite que de projets, de négociations budgétaires, de formations et d’actions de sensibilisation : il faut l’alimenter par un flux constant de veilles en tout genre. On trouve suffisamment de sources professionnelles pour le volet High Level : séminaires, congrès, réunions entre pairs, et j’en passe. Mais il convient aussi de faire une petite veille constante dans le domaine plus orienté « informatique personnelle » : une bonne partie des produits professionnels proviennent de ce canal spécifique, et en plus, ne nous cachons pas, le plaisir de la bidouille est un des côtés « fun » du job. Quelques petites découvertes, sans prétention.
Il semble que dans cette merveilleuse société qui est la nôtre, on ne cultive pas suffisamment une qualité essentielle de l’individu : l’art de rejeter la faute sur les autres. Par exemple, quand un machin tombe en panne dans l’informatique, croyez-en mon expérience, il faut toujours dire que c’est la faute du réseau. Le DPI qui rame ? La faute du réseau. Les batches de paye bloqués ? La faute au réseau. La machine à café connectée en panne ? Oui, non là, ça va être compliqué d’incriminer le réseau. Quoique, avec tous ces objets connectés, on pourra toujours dire que la trame IP est incompatible avec le certificat SSI 802?1x, ce qui ne veut rien dire, mais aucune importance, personne ne le sait.
Face à une problématique de réactivité et d’efficacité à la mobilisation d’équipes en situation d’urgence, le CHU Saint Pierre a souhaité moderniser ses équipements afin d’améliorer le quotidien des pompiers et des ambulanciers. Pour ce faire, ils ont fait appel à Enovacom, éditeur de logiciels français dédié à l’échange et au partage sécurisé des données de santé et plus particulièrement à son logiciel Enovacom Surycat.
Pour faciliter la gestion et l’archivage liés à la dématérialisation des dossiers médicaux, le centre hospitalier universitaire de Limoges a déployé un système de gestion électronique de documents avec utilisation de QR Codes. L’ergonomie de l’imprimante d’étiquettes QL-820NWB développée par Brother en fait la solution idéale.
En France, comme ailleurs dans le monde, la tendance concernant les systèmes d’information est de privilégier le meilleur logiciel par silo applicatif (RIS, GAM, DPI, etc.), ce que les Anglo-Saxons appellent « the best of breed[1] », plutôt que des solutions intégrées. Résultat, certains établissements de santé peuvent compter jusqu’à 300 applicatifs différents. Lorsqu’il s’agit de faire communiquer l’ensemble, on se retrouve vite face à une tour de Babel. DSIH vous emmène à la découverte en quatre étapes des bien-fondés de l’interopérabilité hospitalière, à l’échelle d’un GHT ou plus largement régionale, essentielle au partage et à l’échange de l’information médicale. Premier volet : l’interopérabilité au cœur des projets SI.
Belle actualité pour aXigate. Le spécialiste du dossier patient informatisé à l’hôpital conforte son avancée technologique avec le lancement de deux solutions : Welcome PASS, passerelle ville-hôpital permettant l’échange sécurisé de documents entre l’ensemble des professionnels de santé à l’échelle d’un territoire. Un premier déploiement de cette plateforme démarre en octobre à l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille ; Welcome DOC, un entrepôt documentaire à destination des GHT.
# Entretien avec Cédric O. Le secrétaire d’État chargé du numérique depuis le 31 mars dernier livre à DSIH son analyse de la transformation numérique en examinant ses conséquences à l’échelle de la France, mais aussi des citoyens et du secteur de la santé. Au cœur des préoccupations gouvernementales : l’emploi, la fracture numérique et la régulation.
En déplacement au CHU de Poitiers le 9 septembre dernier, la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a plébiscité la gestion numérique des lits de l’établissement, qui s’effectue en temps réel pour les urgences. Elle a ainsi déclaré : « Je vais demander à tous les hôpitaux qui ont un service d’urgence de se doter d’un logiciel de management des lits [au sein des cellules informatisées de gestion des lits]. » L’objectif mis en avant par la ministre est de couvrir 50 % des GHT d’ici à 2020.
La prise en charge d’un patient opéré fait intervenir de nombreux professionnels de santé. Elle est également soumise à de fortes contraintes réglementaires. Les établissements privilégient donc des solutions informatiques complètes, qui prennent en compte toutes les étapes de l’activité de chirurgie.
Cette nouvelle délibération de la CNIL [1] arrive comme une pépite de chocolat sur le cookie afin de préciser les lignes directrices relatives à l’application de l’article 82 de loi informatique et libertés [2] et plus précisément aux opérations de lecture / écriture de traceurs sur le terminal d’un utilisateur.
Pour répondre aux attentes des professionnels de santé hospitaliers en matière de données sur les dispositifs médicaux, la solution VIDAL DMI s’enrichit en élargissant son périmètre d’informations. Carlos Carvalho, directeur des ventes et responsable de la solution VIDAL DMI, nous en dit plus.
Avec Direct-Consult et Direct-Op, les anesthésistes de la clinique Médipôle Garonne de Toulouse assurent l’informatisation du dossier d’anesthésie, totalement intégrée dans le système d’information de l’établissement. Entretien avec le Dr Olivier Rontes, anesthésiste à la clinique.
Le ministère des solidarités et de la santé renforce ses actions d’anticipation au vu de la cybermenace actuelle et des enjeux pour la santé publique. Il a donc été décidé d’organiser un exercice de type cyberattaque sur le secteur de la santé, similaire à la cyberattaque mondiale de type rançongiciel (1) qui avait paralysé une partie des établissements de santé (NHS) du Royaume-Uni en mai 2017.
RESO, le club utilisateurs du DPI ORBIS, élargit son champ d'action. Dans la foulée de la Formulothèque, pour laquelle une charte a été signée lors de la PWH 2019, il crée de nouvelles plateformes dont celle d’échange de « trucs et astuces » entre membres.
La réglementation relative aux dispositifs médicaux (DM) qui entrera en vigueur en mai 2020 va bouleverser certains éditeurs et fabricants, qui seront de facto soumis à des contraintes beaucoup plus importantes.
Pionnière dans le secteur médico-social avec sa suite logicielle Titan, intégrée et modulaire, la société Malta Informatique propose aujourd’hui une sécurisation complète du circuit du médicament avec prescriptions sécurisées et dématérialisées, transmission automatique aux pharmacies pour délivrance et pointage de la distribution au sein de l’établissement.
CompuGroup Medical, acteur majeur de la e-santé en France, équipe près d’1 médecin sur 2 avec ses logiciels médicaux1. A l’occasion de la Paris Healthcare Week 2019 (21-23 mai), CompuGroup Medical lance CLICKDOC, la première plateforme de rendez-vous médicaux en ligne qui se synchronise d’emblée au logiciel métier des professionnels de santé. C’est aussi la solution e-santé la plus complète proposée aux praticiens à un prix très concurrentiel. Gratuite pour les patients, CLICKDOC va aussi plus loin dans son offre avec un service original unique « On appelle pour vous », qui prend le rendez-vous avec le praticien au nom du patient … même si le praticien n’est pas encore sur CLICKDOC.
La déclaration des incidents de sécurité des SI de santé a été gravée dans le marbre avec l’article L1111-8-2 du Code de la santé publique [1]. Le décret du 12 septembre 2016 [2] a fixé l’entrée en vigueur de cette obligation à la date du 1eroctobre 2017, et indiqué que tous les incidents ayant des conséquences potentielles ou avérées sur la sécurité des soins, des conséquences sur la confidentialité ou l'intégrité des données de santé ou portant atteinte au fonctionnement normal de l'établissement, de l'organisme ou du service, devraient être déclarés.
Lifen, plateforme de communication médicale permettant aux établissements de santé et aux praticiens libéraux d’échanger des données médicales, vient de boucler un tour de table de 20 millions d’euros. Une manne qui vise à mettre la technologie au service de la coordination médicale. Pourquoi ? Comment ? Entretien avec Franck Le Ouay, CEO de la start-up créée en 2015.
Le 9 mai dernier, une nouvelle nomenclature de la liste des actes et des prestations de biologie médicale pris en charge par l’assurance maladie est entrée en vigueur. Comme lors de chaque changement au journal officiel, dans un souci d’optimisation du logiciel, les équipes d’Agfa HealthCare ont immédiatement mis à jour les données d’Hexalis. Un module actualisé a ainsi été livré aux clients permettant d’éviter tout rejet des feuilles de soin électroniques lié au risque de mauvaise tarification engendré par un paramétrage réalisé en local.
L’autre jour, je discutais avec Marguerite de la question de la responsabilité de l’IA. C’est l’exemple bateau : si j’ai une voiture autonome – 100 % autonome – et qu’elle écrase un piéton, qui est responsable ? Nous voilà partis dans une discussion stratosphérique, alors qu’il n’y a vraiment pas de quoi fouetter un algorithme : si j’ai un chien et qu’il mord le voisin, j’en suis bien responsable en tant que propriétaire du chien, idem pour la voiture, fin de l’histoire.
Le projet de loi relatif à l'organisation et à la transformation du système de santé a fait l’objet d’une procédure accélérée engagée le 13 février 2019 par le Gouvernement. Adopté le 26 mars 2019 par l’Assemblée nationale, le texte a été transmis au Sénat en 1ère lecture, et à sa commission des affaires sociales, laquelle a arrêté la version qui sera discutée en séance publique à partir du 3 juin prochain.
La responsabilité populationnelle des acteurs de la santé devient un facteur majeur de la qualité d’un système de soins. Gilles Launay, directeur commercial de Cerner France, nous explique comment la solution HealtheIntent® qui agrège et analyse les données de santé peut y contribuer.
La télémédecine a changé de dimension : d’une réflexion expérimentale déployée avec force moyens des ARS, elle devient un exercice de la médecine qui a trouvé son modèle économique et se développe relativement rapidement (8 000 actes de télémédecine remboursés à ce jour). Elle est un élément fondamental de la démarche de décloisonnement entre la ville et l’hôpital inscrite dans le plan Ma santé 2022.
Pionnier dans le secteur médico-social avec son logiciel TITAN Téléconsultation totalement intégré au dossier médical TITAN, Malta Informatique continue d’innover en proposant une version autonome de sa solution de téléconsultation médicale qui est disponible pour TOUS LES EHPAD, quel que soit leur dossier patient. Des démonstrations en live sont organisées toutes les heures durant la Paris Healthcare Week – HIT – Stand G41. Venez nombreux !
Pour être performante, une fonction achat commune de territoire doit disposer d’un système d’information dédié et d’outils informatiques efficaces, adaptés à un contexte territorial et à un travail collaboratif entre établissements. Ceux utilisés actuellement par les directions achat ne sont plus adaptés à ce nouveau contexte.
Les évolutions actuelles des établissements de santé entraînent fréquemment la nécessité de transporter des produits de santé à l’intérieur de l’établissement et / ou entre sites distants : Pharmacies à Usage Intérieur au sein d’un GHT, établissements multi-sites ou de grande étendue. Les équipes médicales doivent répondre à de nouveaux défis concernant l’optimisation des plans de cueillette, la gestion de multi-magasins et des emplacements de stockage.
Pionnier dans le secteur médico-social avec sa suite logicielle TITAN, intégrée et modulaire, Malta Informatique propose aujourd’hui une sécurisation complète du circuit du médicament avec prescriptions sécurisées et dématérialisées, transmission automatique aux pharmacies pour délivrance et pointage de la distribution au sein de l’établissement.
La politique Achats d’un GHT ne peut désormais pas se passer de solutions d’analyse des marchés et de planification des achats. Agfa HealthCare, avec HA_GHT ou Hexagone, et Per Angusta l’ont bien compris et ont décidé de se rapprocher pour faire bénéficier les GHT d’un processus complet d’optimisation des achats. Pierre Laprée, fondateur de Per Angusta, et Dominique Larsonneur, directeur R&D HIS chez Agfa HealthCare, évoquent pour nous les apports de ce partenariat.
Selon une note d’information(1) de la DGOS du 27 mars 2019 relative à la traçabilité des dispositifs médicaux implantables dans les établissements de santé et aux outils d’autoévaluation et d’accompagnement disponibles, l’informatisation du circuit du DMI est un prérequis essentiel à l’application de la réglementation en matière de traçabilité des DMI. La pression s’accentue sur les établissements.
Inovelan, une société du groupe Agfa HealthCare, reçoit l’homologation V2 par le Centre National de Dépôt et d’Agrément (CNDA) pour son logiciel d’accès au Dossier Médical Partagé(DMP).
Le 19 avril dernier, l’Anssi, l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information, rendait public son rapport annuel. Guillaume Poupard, directeur général de l’Agence, y indique que « 2018 prouve une nouvelle fois que le risque numérique, loin d’être éthéré, doit être au cœur de nos préoccupations ». Ce rapport met également en avant la place de l’intelligence artificielle pour faciliter la détection des attaques informatiques.
Après avoir déployé avec succès son offre de prestations intellectuelles relative à la conception de schémas directeurs des systèmes d’information (SDSI) auprès plus de 40 GHT entre 2017 et 2018, la centrale d’achat du Resah vient de la compléter avec l’attribution d’un nouveau marché.
Dans une première partie, nous avons analysé un article du dernier numéro du mensuel Harvard Business Review qui faisait la part belle à l’analyse catastrophiste de la cybersécurité – en substance, on va tous dans le mur – et qui professait le retour à l’isolation physique des réseaux essentiels à la résilience des organisations. Suite de l’analyse.
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