Depuis le 1er janvier 2021, pour éviter les erreurs de traitement des données de santé, la Loi impose d’utiliser l'Identité Nationale de Santé (INS) dans tous les logiciels. Les centres d’imagerie médicale mettent en place ce nouvel accompagnement pour les patients.
Fruit de leur partenariat technologique et commercial signé en février dernier, NEHS DIGITAL et TESSI lancent la nouvelle plateforme YSIS. Modulaire et interopérable, elle propose des services numériques innovants pour simplifier, digitaliser et accompagner la transformation numérique de l’hôpital.
À quelques jours du congrès de la Société Française de Médecine d’Urgence, DSIH vous propose un webinaire exceptionnel, dans le cadre des Jeudis du Numérique, le jeudi 27 mai de 11 h à 12 h 15, avec le Dr Arnaud Berthier, urgentiste au CH de Bourg-en-Bresse, le Dr Romain Dewilde, urgentiste au CH Sambre-Avesnois de Maubeuge et le Dr Jean-Christophe Thibaud, radiologue au CH de Béziers.
Nuance Communications, Inc. annonce aujourd’hui le déploiement de sa solution de reconnaissance vocale Nuance Dragon Medical One au sein du pôle imagerie duCentre Hospitalier Universitaire (CHU) de Lille. La solution, portée par le Cloud, permet désormais aux médecins de renseigner le dossier patient en temps réel, depuis n’importe quel appareil, où qu’ils soient, en utilisant la voix.
Au-delà de la crise sanitaire actuelle, notre système de soins connaît de fortes tensions. Ces tensions sont notamment dues à la croissance sans précédent des polypathologies, en particulier chez les populations âgées (+30% de 75 ans+ à horizon 2030), et des maladies chroniques (+92% de diabétiques entre 2000 et 2019). Ces nouveaux parcours de soins impliquent de plus en plus de spécialités et multiplient les interactions entre médecin libéraux et hospitaliers.
Fin avril, la Haute Autorité de santé a publié un nouveau référentiel pour l’obtention de la certification des logiciels médicaux et la procédure V2021 afférente.
Le bon patient, au bon moment, au bon endroit… L'organisation des plateaux techniques dépend de nombreux facteurs dont la fluidité du brancardage. Ce maillon parfois invisible constitue pourtant un élément clé de la prise en charge d’un patient.
L’Agence du numérique en santé (ANS) revisite son animation régionale du déploiement des stratégies MSSanté et DMP, avant les autres services socles.
Selon Alain Bauer[2], le prochain virus sera cyber… et l’impréparation totale. Et j’ai beau tourner et retourner l’idée dans ma tête dans tous les sens, j’arrive toujours à cette même conclusion.
Au terme d’une procédure de Dialogue Compétitif de 12 mois, le GHT Alliance de Gironde, qui regroupe 10 établissements dont le CHU de Bordeaux son site support, a fait le choix de Maincare pour son futur portail de services numériques.
La décision de certains députés européens de s'opposer aux décisions d'adéquation du Royaume-Uni ignore les implications réelles pour la santé européenne.
Traditionnellement, comme chaque deuxième mardi du mois, Microsoft publie son célèbre « patch tuesday » venant corriger en nombre les vulnérabilités affectant ces divers produits, dont les systèmes Windows. Ce n’était déjà pas facile de faire l’analyse de cette ribambelle de vulnérabilités pour savoir ce qu’il fallait corriger et surtout avec quel degré d’urgence, sachant que les vulnérabilités sont de plus en plus vites exploitées, quand elles ne le sont pas déjà bien avant la publication de leurs correctifs…
Le Groupe Dedalus (« Dedalus »), entreprise leader dans le domaine des solutions logicielles pour la santé (HealthTech), est fier d'avoir été reconnu comme « l’éditeur de DPI le plus utilisé en dehors des États-Unis » par KLAS Research, cabinet de recherche qui analyse notamment les logiciels et services utilisés dans le secteur des soins de santé, dans son rapport « Global (Non-US) EMR Market Share 2021 for Vendor Review » (Rapport 2021 sur la part des éditeurs dans le marché mondial des DPI, hors États-Unis). L’étude confirme ainsi la position de Dedalus comme l’une des plus importantes entreprises de son domaine au monde.
Les établissements de santé font face à un grave problème de ransomwares et ce n’est pas près de s’améliorer. Au cours de ces dernières semaines, des attaques par ransomwares ont paralysé des hôpitaux à Villefranche-sur-Saône et à Dax, ce qui a eu pour conséquence le ralentissement, voire l’arrêt du fonctionnement de ces établissements.
À la suite de l'annonce du président de la République de l'ouverture de la vaccination aux 18 ans et plus à partir du 12 mai pour des rendez-vous encore disponibles le jour même et le lendemain, NEHS DIGITAL a travaillé avec les équipes de l'ingénieur Guillaume Rozier, créateur du site ViteMaDose pour faciliter la recherche de ces créneaux de vaccination.
La télémédecine représente un puissant outil de l’arsenal thérapeutique moderne, complémentaire à l’exercice en présentiel. La diversité des solutions implique toutefois de s’y former, afin de bien cerner leur périmètre d’utilisation et tirer profit de leur potentiel.
Tessi, acteur de référence sur le marché du BPO et de la transformation digitale, annonce la nomination de Jean-Marie Dunand au poste de Directeur d’activité Santé.
La Cnil accompagne des projets innovants dans le domaine de la santé, comportant des enjeux emblématiques en termes de protection de la vie privée dans une démarche de « bac à sable ».
Dans le premier volet, nous avons dressé un état des lieux des systèmes Scada : définition, histoire, origine des vulnérabilités. Poursuivons.
À l’occasion du lancement officiel du Conseil stratégique des industries de santé 2021, l’Association pour la promotion de l’innovation des dispositifs médicaux émet 13 propositions en faveur de la valorisation, de l’accélération, de la diffusion et de la préservation de l’innovation en santé.
Le groupe de travail Comité stratégique de filière des industries et technologies de santé (CSF-ITS) a remis une série de recommandations portant sur l’usage des données en vie réelle dans l’aide à la décision.
Il s’agit d’un sujet qui revient régulièrement dans quasiment tous les congrès ou les discussions entre spécialistes IT ou RSSI, la sécurisation des systèmes Scada peut rapidement devenir un cauchemar pour tout le monde. Petit récapitulatif.
Afin de répondre aux exigences de leur production documentaire, de nombreux établissements ont recours à des méthodes innovantes de transcription, à l’instar de Philips SpeechExec Enterprise 7.0, une solution de dictée et de transcription mobile avec une puissante reconnaissance vocale intégrée (Dragon Medical). Flexible, cet outil innovant associe le flux de travail documentaire à la reconnaissance vocale basée sur l’intelligence artificielle de Nuance Communications.
Ce mois-ci, comme le mois dernier, Microsoft nous avait réservé une bonne séance de patching sur nos serveurs Exchange. Souvenez-vous [1], le 2 mars, Microsoft, après s’être lui-même fait percer, publiait en urgence un correctif pour quatre vulnérabilités permettant d’exécuter du code arbitraire à distance sans authentification sur une interface OWA exposée sur Internet et obtenir un Webshell qui pourrait éventuellement permettre de prendre le contrôle de l’ensemble du SI.
Aujourd’hui, plusieurs questionnements subsistent autour des messageries sécurisées de santé : Pourquoi devenir opérateur MSSanté ? Messagerie On Premise ou en mode SaaS ? Différents types de boites aux lettres : que choisir ? Comment échanger avec des non professionnels de santé ? Que dit la législation ?
Tous les professionnels de santé utilisent des objets connectés, dans leur vie quotidienne comme dans leur vie professionnelle. Qu’ils s’agissent d’outils de communication dans le cadre de la mobilité ou de dispositifs médicaux, fixes mais reliés à l’extérieur, ces objets connectés n’assurent généralement pas un niveau de sécurité suffisant et constituent un risque permanent pour les équipes de cyberdéfense du secteur de la santé.
Après le CHU de Martinique et le CH d’Arles, le centre hospitalier de Dunkerque revient sur sa collaboration avec les équipes de Zenidoc. Il retrace l’utilisation du module de l’éditeur et de son moteur de reconnaissance vocale français ZenReco, qui ont su s’adapter à la crise sanitaire
WELIOM a le plaisir de vous inviter à un webinaire exceptionnel avec Luc Ferry, Philosophe, le mardi 25 mai 2021 à 11 heures, qui nous offrira l’occasion d’entendre la vision d’un philosophe ancré dans son temps, sans langue de bois !
Durant sa formation, un élève pilote d’aéronef apprend deux types de compétence : le pilotage à proprement parler, et la gestion des emmerdements qui, comme chacun sait, volent toujours en escadrille (sans mauvais jeu de mots). Il existe des statistiques précises sur le sujet, et aucun domaine n’a autant poussé l’analyse des accidents que l’aérien. Ainsi, un pilote commet en moyenne sept erreurs par heure, allant de la bêtise anodine (oublier de changer de fréquence radio) au truc beaucoup plus ennuyeux, par exemple oublier de sortir le train d’atterrissage… avant l’atterrissage (je suggère au lecteur curieux de visionner le lien ci-dessous [1], aucun blessé heureusement).
Alors que l’ensemble des services du Dossier Pharmaceutique (DP) - plébiscité par les praticiens - est désormais accessible en établissement de santé, Carine Wolf-Thal présidente du Conseil national de l’Ordre des pharmaciens et Patrick Rambourg, président du conseil central H de l’ordre des pharmaciens, reviennent sur les évolutions du DP et son rôle clé pour faire face aux défis du numérique en santé.
L'innovation en santé et notamment la e-santé connaissent une activité sans précédent portée par la crise sanitaire et aidée par les actions de l'Etat (Ségur, INS, Hop'en...). Le numérique est un élément clé pour répondre à la demande croissante de soins due à l'augmentation des affectations de longue durée ou les polypathologies. Cette nouvelle ère pourrait malheureusement avoir un impact limité si les difficultés de déploiement pour les hôpitaux et les solutions de e-santé subsistent (il faut entre 6 et 12 mois pour déployer une solution dans un seul hôpital).
Chez les actifs comme chez les seniors, le digital fait désormais partie du quotidien. A l’hôpital, en EHPAD ou en centre de soin, il est un allié de poids pour le divertissement des patients. Avec des services essentiels : la télévision, bien sûr, mais aussi le Wifi, de plus en plus incontournable.
Le principe de Garantie Humaine de l’IA (Human Oversight) est introduit à l’article 14 du projet de règlement sur l’intelligence artificielle diffusé ce jour par la Commission européenne. Ce faisant, l’article 14 donne une portée applicative générale pour l’ensemble des champs et secteurs d’usage de l’IA à ce principe proposé en 2017 par Ethik-IA dans le domaine de la santé et qui n’a cessé, depuis lors, de faire l’objet de reconnaissances de plus en plus larges. Ce principe s’inscrit dans une logique de régulation positive visant à soutenir le développement de l’intelligence artificielle en France et en Europe, dans un cadre permettant d’en réguler les risques éthiques.
Bio Logbook, la start-up nantaise spécialisée dans la médecine de précision remporte avec le CHU de Liège l’appel à projets européen COVID-X. Une subvention de 150 000 euros va permettre d’accélérer la mise à disposition de sa solution. Destinée aux médecins elle détecte de manière précoce les patients atteints du COVID-19 les plus à risque, grâce à son algorithme prédictif et son logiciel d’aide à la décision.
Selon une étude publiée en 2020, si 85 % des DSI hospitaliers ont commencé à déployer des Clouds privés, il ne s’agit pour eux que d’une première étape qui les mène vers le déploiement d’un Cloud hybride avec l’objectif de gagner en agilité, de mieux maîtriser les coûts et d’obtenir des ressources plus disponibles pour la conduite du changement et l’accompagnement des professionnels.
Les cyberattaques récentes contre les structures de santé ont mis en évidence des failles de sécurité potentielles dans les systèmes d’information. On a bien sûr évoqué les ransomwares insérés dans des courriels. On parle plus rarement des attaques via les objets connectés, qui se sont pourtant multipliées. Médecins, soignants, RSSI, DSI et même patients, dans des établissements hospitaliers, en ville ou à domicile, tous les acteurs sont concernés par la sécurité des objets connectés.
Si plus personne, ou presque, ne conteste l’apport du numérique dans le monde des établissements de santé, la grande majorité des utilisateurs d’applications métiers rêve d’interfaces ergonomiques, conviviales, « user friendly ». Et si l’IA conversationnelle devenait La solution pour piloter l’ensemble de votre système d’information ?
Deux mois après le décret relatif à la prise en charge transitoire de certains produits ou prestations par l’assurance maladie, aucun dossier n’a été soumis. À l’occasion de la 6e Journée Start-up innovantes, le Snitem est revenu sur ce dispositif ainsi que sur le forfait Innovation.
Le 13 avril s’est tenue la 6e Journée Start-up innovantes du Snitem, qui a déroulé le parcours et les enjeux du développement des dispositifs médicaux innovants, en insistant notamment sur la nécessaire conciliation entre les besoins médicaux et les innovations technologiques.
C’est à la faveur d’un voyage d’études en Israël, en 2019, qu’une délégation du Centre Hospitalier de la Côte Basque découvre certaines solutions d’intelligence artificielle en imagerie. Elle lance à son retour une réflexion pour doter rapidement son pôle d’imagerie d’une telle solution.
Les risques qui pèsent sur les systèmes informatiques sont élevés et de nombreuses structures de santé subissent des attaques numériques les mettant en difficulté (blocage des systèmes, vol d’informations, tentative d’escroquerie, saturation du réseau en sont des exemples). Suite aux incidents significatifs recensés début 2021, le Président de la République a lancé un grand plan cyber sécurité doté d’1 milliard d’euros et 350 millions d’euros du Ségur de la Santé sont dédiés à la protection des établissements de soins.
Mais qu’est-ce qui a donc bien pu passer par la tête du ministre Dupont-Moretti ? Partant certainement d’une bonne intention – de celles dont l’enfer est pavé –, soit la volonté de rendre plus compréhensible le fonctionnement de l’institution judiciaire et de redonner confiance aux citoyens, le ministre souhaiterait filmer les procès. Revenons aux basiques du RGPD : consentement des prévenus (c’est la partie la plus facile), droit d’opposition (idem), mais surtout droit de changer d’avis : tiens, au fait, j’avais dit oui, mais en y réfléchissant je ne veux plus, merci d’arrêter de filmer et surtout d’effacer les images. Les avocats pénalistes interrogés dans la presse sont unanimes : ils conseilleront systématiquement à leurs clients de s’opposer aux prises de vues : imaginez l’effet que produiraient, 10 ou 15 années plus tard, les images sur les réseaux sociaux d’un accusé dans un box qui au final aurait été acquitté ? Rien ne se perd ni ne s’efface au xxie siècle. Certes, le premier procès filmé de l’Histoire a été celui du criminel de guerre Klaus Barbie (1987), mais les images ont été captées à des fins historiques et nullement destinées à être diffusées immédiatement puisque l’INA devait les conserver au secret pendant 20 ans[1].
L’identification d’un patient est le garant de la qualité et de la sécurité de sa prise en charge. C’est le premier acte de son parcours de soins. La multiplicité des parties prenantes et des logiciels utilisés, le manque d’harmonisation et de compatibilité des procédures internes existantes et jusqu’à encore récemment, l’absence de règlementation adéquate, a participé à la diversité des méthodes de collecte des données d’identité et au déficit d’informations sur les risques encourus.
UNIHA, le 1er acheteur public français dans le domaine de la santé, a choisi de référencer, sur le marché « Gestion du Parcours patient », Nouveal e-santé, filiale de La Poste Santé spécialisée dans la numérisation des parcours et le télésuivi des patients.
Voilà un an que l’épidémie Covid-19 a bouleversé les pratiques médicales et favorisé l’émergence rapide de solutions de e-santé. Pour réduire le risque d’exposition et faciliter l’accès des patients à une consultation, Pulsy a accompagné les professionnels de santé du Grand Est dans le déploiement de la télémédecine. Retour sur une année singulière, qui a marqué l’histoire de Pulsy… et de la télémédecine.
Face aux défis de la transformation de l’offre de soins hospitalière, les DSIs doivent composer avec un héritage applicatif complexe tout en accélérant l’innovation. La pandémie actuelle a approfondi les tendances de la télémédecine, de l’intégration des acteurs du soin, du besoin de services numériques orientés patient mais aussi de l’inclusion de l’IA et de la génomique dans l’aide au diagnostic. A moyens humains et financiers constants, leur mise en œuvre n’est possible qu’avec des infrastructures Cloud. Rendez-vous le jeudi 22 avril, de 11h à 12h pour ce séminaire exceptionnel animé par Aïssa Khelifa et Xavier Vallin, de DSIH Conseil.
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