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Pour la deuxième année consécutive, Philips sort son index sur le futur de notre santé. Cette étude réalisée dans 19 pays révèle un écart considérable entre la perception et la réalité (1) de la performance des systèmes de santé internationaux, notamment dans l’intégration des technologies de santé connectées.
Dans le cadre de la concertation sur la stratégie nationale de santé 2018-2022, annoncée par la ministre des Solidarités et de la Santé, et du PLFSS 2018, la Fehap a émis une dizaine de propositions concrètes pour contribuer à l’amélioration de notre système de soins. Les SI n’ont pas été oubliés.
Telle est la question qui m’a été posée. A l’origine du questionnement une chronique juridique, issue des informations mensuelles du CISME, intitulée Activité des SSTI et obligations juridiques, dans laquelle il est indiqué que :
Les 8 et 9 septembre derniers s’est tenue la 1ère Université d’été des déserts médicaux et numériques. Organisée à Auzon, entre l’Allier et la Nièvre, l’événement a rassemblé plus de 100 personnes – élus locaux et nationaux, industriels des télécoms, agences régionales de santé, représentants des usagers de santé et des consommateurs – pour échanger de manière pragmatique sur le développement de la télémédecine et de la santé connectée dans les régions rurales alors que ces dernières souffrent de fracture numérique mais également du manque, voire de l’absence, de professionnels de santé. Retour sur ces deux journées riches en échanges et en dialogue.
Le ministère des Solidarités et de la Santé annonce la mise en place d’un dispositif national d’appui au profit des organismes concernés par la déclaration des incidents sur les systèmes d’information de santé : la Cellule Accompagnement Cybersécurité des Structures de Santé (Cellule ACSS).
Le GHT Alpes Dauphiné choisit la suite PMSI de Maincare Solutions comme solution unique pour la production des données médico économiques de tous les établissements du groupement. Cette plateforme est composée des modules CORA PMSI ainsi que des composants AMEDIM notamment DIMXpert MCO et SSR et fournit les fonctionnalités spécifiques nécessaires à l’activité du DIM de territoire. Il s’agit d’une première plateforme de PMSI en base unique et en mode multi-entités juridiques à être déployée à l’échelle du GHT pour un CHU.
DOCAPOST, filiale du Groupe La Poste, experte dans l’accompagnement des entreprises dans leur transformation numérique, VISIOMED GROUP, l’un des pionniers de l’e-santé en France, et HUAWEI, leader dans le secteur des télécommunications et des nouvelles technologies annoncent la signature d’un partenariat stratégique et technologique dans le domaine de la santé connectée.
Le projet Licorne, mené par l’équipe du Pr Guérin au CHU de Nice avec le concours d’Agfa HealthCare, sort de la phase expérimentale et peut maintenant entrer dans un mode de déploiement de masse. Les expérimentations menées ces dernières années pour ce dispositif de partage des informations autour du patient ont été validées par l’ensemble des acteurs. Les professionnels de santé libéraux, fortement mobilisés, ont dynamisé leurs usages grâce au concept de réseau social de ce dispositif.
Le groupe Evolucare Technologies a acquis par croissance externe il y a quelques années des solutions dédiées à l’anesthésie, à la réanimation et au bloc opératoire. Elles ont depuis lors fait l’objet de nombreuses évolutions en bénéficiant des 20 ans d’expertise en système d’information pour la santé de leur nouveau propriétaire qui a investi pour les mettre au niveau de la demande du marché. Alexandre Le Guilcher, directeur Innovation et R&D chez Evolucare Technologies, revient sur ces évolutions passées ou en cours et laisse entrevoir l’innovation de rupture en perspective pour la gestion de l’ambulatoire, issue d’un projet innovant géré par Evolucare Labs.
3, 4 et 5 avril 2018 : voilà les dates du 6e Congrès national de la sécurité des SI de santé !
Le magazine ticsanté relate cela dans ses colonnes(1), et le jugement est particulièrement intéressant.
Avec les révolutions organisationnelles qui se profilent, notamment dans le cadre des GHT, les sujets de préoccupation sont nombreux pour les équipes en charge de la gestion des systèmes d’information. Pour être au plus près des lieux de rencontre et de partage d’expériences, les équipes du MiPih seront présentes sur de nombreux événements régionaux ou nationaux. Tour d’horizon.
Après un déploiement progressif de M-RH Chronotime dans différents services pilotes, le CHU de Tours a généralisé la solution dans l’ensemble de l’établissement au 1er janvier 2017. Il s’agit d’une première mise en production de M-RH Chronotime dans un CHU français. Cette mise en oeuvre a été réalisée en étroite collaboration entre les équipes projet du CHU de Tours et celles de l’éditeur Maincare Solutions. Aujourd’hui, l’ensemble du personnel hospitalier gère ses temps à l’aide du module M-RH Chronotime de la suite M-RH. Il fluidifie les workflows et augmente l’efficacité de gestion.
Pour les vacances, ou plutôt pour ceux qui ont la chance d’en avoir… Mais aussi pour les autres (il n’y a pas de raisons), je vous propose un petit tour d’horizon des sujets d’actualité que j’ai trouvé intéressants en ce premier mois d’été.
Cette première partie d’année a encore été riche en évènements…un petit coup d’œil dans le rétro avant le maillot.
Le Groupe d’Approvisionnement en Commun de l’Est du Québec (GACEQ), a sélectionné Purkinje en partenariat avec Enovacom pour mettre en place dans tous les établissements de santé la plateforme d’interopérabilité d’Enovacom. L’objectif : faciliter les échanges des données patients entre toutes les structures et au sein même des établissements.
Nouveau scandale en Australie, après le département de l’immigration qui avait, en 2014, laissé fuiter dans un répertoire en libre accès sur son site Web les données personnelles de près de 10 000 personnes incarcérées, et en 2015 des informations personnelles sur les chefs d’états ayant participé au dernier sommet du G20 qui s’était déroulé à Brisbane fin 2014.
APICEM S.A.R.L qui développe et opère la solution de messagerie sécurisée en santé APICRYPT®, devient hébergeur agréé de données de santé à caractère personnel (HADS). Cet agrément a été délivré par le Ministère des Solidarités et de la Santé, en accord avec l’Agence gouvernementale ASIP Santé et la CNIL pour la version 2 d’APICRYPT®.
En ce début de quinquennat, l’exercice consistait pour l’ASIP Santé à définir les nouvelles modalités de collaborations territoriales. Chaque territoire de santé fait en effet face aux mêmes défis :
Le 20 juin dernier s’est tenue à Paris, dans les locaux de la Cnam et organisée par la Drees (Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques), une présentation du récent SNDS (Système national des données de santé) et plus particulièrement des conditions d’accès à ce dernier par les organismes disposant d’un accès de droit (les CHU, les organismes de recherche, etc.). Côté hôpitaux, une partie des CHU étaient bien entendu représentés, mais, plus étonnant, parmi leurs ambassadeurs, seuls les RSSI étaient présents. Je sais que certains CHU avaient convié leur direction de recherche interne à venir assister à la présentation, mais en vain : que les principaux utilisateurs dudit système ne participent pas à une réunion qui traite des contraintes d’accès au SNDS interroge un peu…
DOCAPOST, filiale du Groupe La Poste, et le Groupe Tactio, leader mondial en solutions de santé mobile, s’associent pour accélérer le développement de la e-Santé en France.
Dans le monde de la santé, en matière de sécurité des SI – au sens très large du terme –, il s’est passé plus de choses durant les deux dernières années que dans les 20 qui ont précédé.
APICRYPT vient de passer la barre des 70 000 utilisateurs.
Déjà utilisateur du portail RH de Maincare Solutions depuis avril 2014, notamment pour l’accès aux dossiers des agents, les bulletins de paie, la mobilité avec la publication des postes vacants, le CHU de Montpellier élargit l’offre des services proposés à ses agents avec la dématérialisation des notations. Ce déploiement confirme la volonté du CHU de Montpellier de moderniser et simplifier la relation entre la DRH et les agents et de recentrer les ressources humaines sur les activités à valeur ajoutée.
Leader depuis plus de 15 ans dans l’interopérabilité pour les systèmes d’information de santé, l’éditeur de logiciels Enovacom annonce l’acquisition de la société Optiflows le 1er Juin 2017. L’objectif ? Travailler ensemble pour répondre aux besoins de l’hôpital connecté de demain.
Pour l’année 2017, le jeune Institut OpenHealth apporte son soutien financier à 11 projets de recherche innovants dans le domaine de l’analyse des données de santé.
Maincare Solutions annonce l’acquisition de la société Savart & Michel, éditeur de la solution COPILOTE, spécialisée dans la gestion des automatismes de stockage, dont la gestion des pharmacies et des plateformes logistiques hospitalières. A l’heure de la mise en place des GHT, ce rapprochement va permettre de fortes synergies sur les opérations de mutualisations de la logistique et des pharmacies hospitalières.
A l’occasion de HIT Paris 2017 (Paris Healthcare Week), le salon professionnel leader de l’IT appliqué à la santé, iHealth, pionnier mondial des objets de santé connectée a présenté iHealth Next, un ensemble de solutions innovantes à destination des entreprises, des hôpitaux ou des cliniques.
Calystene S.A. fêtera cette année ses 25 ans, ce qui symbolise sa maturité et la force de son innovation. Elle a profité de la Paris Healthcare Week 2017 pour échanger avec ses clients et prospects et annoncer une version de Futura Smart Design dédiée aux EHPAD pour fin 2017 sur le stand de ses partenaires éditeurs.
Nous l’avons vu encore une fois avec WannaCry, les dispositifs médicaux ne sont pas exemptés d’infections par les centaines de nouveaux logiciels malveillants faisant leur apparition chaque minute.
D’ici au 1er janvier 2019, l’ensemble des hébergeurs de données de santé devra obtenir une certification délivrée par un organisme accrédité. Avec l’ordonnance n° 2017-27 publiée le 12 janvier 2017, la fin de la procédure d’agrément par le ministère de la Santé pour l’hébergement de données de santé prend forme.
Dans un environnement logiciel disparate lié à la constitution des GHT, la gestion documentaire doit gagner en efficience. Konica Minolta présentera sur le Salon HIT trois cas clients illustrant les besoins des établissements sur ce thème. Éliane Richard, responsable du marché de la santé pour ce constructeur, nous explique en détail ces exemples.
Avec l’acquisition de Soft Santé, société basée à Nîmes, Softway Medical ouvre l’hôpital jusqu’au domicile du patient. Créé en 2008 et dirigé par Christel Montauban, Soft Santé édite 3 solutions qui assurent le transfert des compétences et des exigences hospitalières sur un environnement numérique dédié à la ville. Softway Medical dispose désormais d’une offre dimensionnée pour le parcours de soins coordonné, une plus-value pour les établissements de santé en termes de qualité de prise en charge.
Récemment sur les réseaux santé[1], on a vu tomber cette annonce a priori anodine : les quatre fédérations hospitalières refusent d’intégrer l’Institut national des données de santé (INDS). Anodine, car de prime abord on finit la lecture de l’article en se disant : oui, bon, et alors ?
La FEHAP, la FHF, la FHP et UNICANCER avaient pourtant largement contribué à sa naissance, mais les 4 fédérations refusent d’adhérer à l’Institut National des Données de Santé.
Dans le cadre des groupements hospitaliers de territoire (GHT), la collaboration entre partenaires hospitaliers et extérieurs doit se traduire par un système d’information convergent et agile, permettant d’aborder sereinement la conception et le pilotage du prochain projet médical partagé.
Impacts sur l’environnement technique, humain et organisationnel gravitant autour des données de santé à caractère personnel, rôle et responsabilités du Data Protection Officer (DPO), adaptation de l’offre industrielle sont quelques-uns des thèmes introduits par le règlement général sur la protection des données (RGPD). Benjamin Benifei, juriste-conseil, et Yasmina Janati, responsable Gouvernance SSI et consultante chez Itrust, décryptent leurs conséquences sur les établissements de santé.
Comme évoqué la semaine dernière dans la première partie de ce retour sur le #CNSSIS(1), l’hébergement de données de santé et la certification ISO27001 ont fait partie des grands sujets de ce congrès.
Le 26 avril prochain, Télésanté Lorraine organise une Journée d’Etude Juridique sur l’accès aux données de santé, pour informer les professionnels sur les règles à respecter en matière de partage d’informations, et confronter la théorie aux usages réels. Plus de 250 personnes sont attendues pour cette rencontre, en présence de Simon Kieffer, Directeur Général adjoint de l’ARS Grand Est.
Sécurité, confidentialité, intégrité… Quand il s’agit de données médicales, les enjeux ne manquent pas. C’est à ce titre que leur sauvegarde est soumise à des dispositions drastiques qui permettent d’en assurer une protection maximale.
Le #CNSSIS est le rendez-vous incontournable de tous les acteurs se préoccupant de la sécurité des systèmes d’information de santé, et par conséquent de la sécurité des patients et de leurs données. La cuvée 2017 aura encore été un grand cru ! 21 conférences réparties sur trois jours intenses et très riches en partages, rencontres et réflexions. Ce petit écosystème composé de divers acteurs, éditeurs, intégrateurs, professionnels de la sécurité, médecins, avocats, directeurs d’établissements, RSSI, DSI, représentants de l’état, étudiants, n’ont fait qu’un pendant trois jours pour faire avancer la sécurité des SI de santé. Un congrès éprouvant, car il faut bien le dire, les journées sont longues et les nuits sont courtes, mais tellement enrichissant !
Présentation extrêmement intéressante d’Orange Cyberdéfense sur la nouvelle mouture de l’agrément Hébergeur de Données de Santé (HDS).
L’Alliance eHealth France®, qui regroupe les organisations professionnelles des principaux acteurs du numérique en santé - le LEEM, LESISS, le SNITEM et SYNTEC numérique - a adressé un courrier aux candidats à l’élection présidentielle leur demandant de se positionner sur cinq questions portant sur la transformation de la santé par le numérique.
Elie Lobel s’est félicité, à l’occasion d’une conférence de presse, de la place d’ores et déjà occupée par la filiale santé de l’opérateur Orange, qu’il dirige depuis près d’un an : « nous travaillons avec plus de 70% des hôpitaux français ». Mais il a surtout voulu souligner qu’il était prêt à répondre à des besoins qui vont aller croissant en raison de la réforme créant les groupements hospitaliers de territoire.
Parce que proposer des objets connectés non interopérables n’a aucun sens, Ama, la société bretonne qui fait partie des dix entreprises dans le monde certifiées par Google™ « Glass at Work », ne travaille pas uniquement sur Xpert Eye, sa solution de lunettes connectées, mais aussi sur la manière de faciliter son interconnexion avec les autres systèmes d’information de santé.
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