À la suite des dernières concertations de fin d’année, l’ANS publie la nouvelle version de la doctrine technique du numérique en santé avec une trajectoire adaptée au secteur médico-social.
En appui du programme MaSanté2022, NEHS DIGITAL et Tessi ont choisi de nouer un partenariat technologique et commercial afin de proposer une offre combinée et différenciante, dédiée à la digitalisation du parcours de soins patient. L’objectif ? Faciliter l’accès aux soins du patient et simplifier le partage d’information pour chaque usager : patient, médecin prescripteur et professionnel de santé, et proposer une offre complète en réponse aux enjeux des établissements.
Le RSSI a pour mission d’identifier des objectifs de sécurité du SI puis de mettre en œuvre les moyens nécessaires pour les atteindre. C’est la définition même d’une Politique de Sécurité des Systèmes d’Information. Pour qu’elle soit efficiente, la PSSI doit présenter des objectifs SMART (#qualité) : Spécifiques, Mesurables, Atteignables, Réalisables et Temporellement définis. Le RSSI s’appuie alors sur un référentiel existant (ISO 27001, PGSSI-S, PSSI-MCAS etc.) puis réalise et tient à jour une analyse des risques SI ainsi qu’un plan de traitement des risques.
La 3ème édition du D4 Evolution a été l’occasion pour le groupe de dévoiler les priorités de 2021, notamment avec l’évolution de la plateforme D4U, son accélération vers la digital pathology, le lancement en France de sa gamme Clinalytix et ses services managés.
L’attractivité sous toutes ses formes : un programme complet qui tire les leçons de la crise sanitaire
La première journée de D4 Evolution, 100% numérique en cette période de crise sanitaire, s’est déroulée sans accrocs pour les 400 participants en simultané, de France et même du monde entier.
Pour sa 3ème édition, en raison du contexte sanitaire, le D4 Evolution des 28 et 29 janvier 2021 est organisé totalement en ligne, sur une plateforme virtuelle. Les participants naviguent entre auditorium de plénières et salles de workshop tout en organisant des échanges de networking entre les sessions.
Une intelligence artificielle (IA), développée en étroite collaboration par les médecins et chercheurs de Gustave Roussy, de l’hôpital Bicêtre – AP-HP, d’Inria et de la start-up Owkin établit un score de gravité des malades atteints de la Covid-19 dès le diagnostic.
L’Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique et l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris créent un laboratoire de recherche commun tourné vers les applications des sciences du numérique à la médecine et à la santé, pour accélérer le transfert d’innovations vers le secteur hospitalier.
Le rapport annuel sur les expérimentations innovantes en santé montre un renforcement de l’innovation et une montée en capacité des acteurs de santé dans le contexte de la crise sanitaire.
Pour le centre hospitalier Simone-Veil de Cannes, transformer l’expérience de ses patients est un enjeu majeur pour améliorer la qualité de ses services et maîtriser ses coûts. Matthieu Dubois, responsable du bureau des entrées, explique la stratégie de digitalisation déployée.
Des questions et réponses indispensables pour les équipes hospitalières.
En cas de situation de crise exceptionnelle telle que nous la vivons aujourd’hui, les lits de tous les établissements de santé sont à flux tendus. Pour gérer l’afflux de patients, le personnel soignant doit veiller à la disponibilité de ses lits chauds (réanimations, soins intensifs…).
Au programme, plateau TV, reportages, tables rondes avec des invités de marque, témoignages et retours d’expérience, 45 workshops organisés par nos experts produits, un espace networking pour échanger avec nos collaborateurs.
Le CH de Saint-Lô a obtenu ces deux certifications le 23 octobre 2020 pour les services d’hébergement de données de santé des Centres Hospitaliers de Coutances et Carentan (établissements partis du GHT)
Nuance Communications, spécialiste de l’IA conversationnelle, communique autant avec les établissements de santé qu’avec les éditeurs partenaires d’applications cliniques qui embarquent sa solution Dragon Medical One. Pierre Meyblum, directeur international des partenariats DPI Nuance Healthcare, nous explique comment ce service Cloud accompagne l’accélération numérique des établissements.
100 % logicielle, la solution est indépendante des constructeurs de dispositifs médicaux et des éditeurs de logiciels cliniques ou solutions métiers. En s’appuyant sur l’expertise acquise au cours de ces 18 années passées dans le domaine de l’interopérabilité, Enovacom a mis au point une plateforme d’interopérabilité biomédicale capable de collecter et remonter automatiquement les données des dispositifs biomédicaux directement dans le dossier patient.
Début janvier, la Cnil a publié un guide pratique pour aider les chercheurs à mettre en œuvre un circuit d’appariement avec les données du Système national des données de santé (SNDS) conforme aux exigences de sécurité, en s’appuyant sur le numéro d’inscription au répertoire (NIR).
Le 12 janvier, le Cercle Prévention & Santé et le Club Numérique & Territoires de Com’Publics ont présenté leur livre blanc « Pour un patient maître de ses données de santé ».
En novembre dernier paraissait l’instruction aux ARS leur fournissant le cadre de la phase d’amorçage du programme ESMS numérique [1]. Au mois de décembre, Myriam Danyach, directrice du programme à la CNSA, nous éclairait sur les détails du programme [2]. La prochaine échéance concerne l’ouverture effective de l’appel à projets par les ARS.
Le 5 janvier, Livi et la Société française de santé digitale ont présenté leur livre blanc « De la télémédecine au soin digital, une transition des pratiques vue par les médecins » qui tire cinq enseignements des entretiens menés avec des sociétés savantes et délivre neuf recommandations pour le développement du soin digital.
Le groupement de coopération sanitaire (GCS) Sesan devient un groupement d’intérêt public (GIP) et désigne une nouvelle directrice. Ce changement de statut répond à la volonté de renforcer le rôle du Sesan dans le développement régional de l’e-santé et d’élargir le champ de ses missions.
Les attaques par ransomware se sont intensifiées pendant la pandémie de Covid-19. Veeam, éditeur de solutions de sauvegarde, et l’intégrateur CFI Groupe proposent un guide méthodologique pour protéger les entreprises de services de santé et atténuer les risques de cybermalveillance.
Quel bilan pour la santé numérique en 2020 ? Quelles perspectives pour 2021 ? Un webinaire exceptionnel avec Dominique PON, Responsable Ministériel au Numérique en Santé.
Fondée par des ingénieurs et des médecins, Maela, acteur de la e-santé et référent de la télésurveillance médicale, vient de conclure une levée de fonds de plus de 2 millions d’euros.
Très investie sur-le-champ de la télésanté, l’ANS a lancé dès fin 2019 un baromètre Télémédecine, qui réalisée par ses partenaires Odoxa et Care Insight, se donnait pour objectifs de mesurer l’adhésion, les motivations et les freins, des professionnels de santé et des usagers vis-à-vis de cette nouvelle modalité de pratique des soins.
En dérivant le paramétrage des protocoles de chimiothérapie, il devient très simple d'organiser la vaccination, en réservant dès la création du dossier un 2ème créneau pour la 2ème injection dans 21 jours (voire un peu plus).
À l’écoute de ses adhérents, l’AFCDP a souhaité partager trois retours d’expérience de DPO qui ont relevé des défis différents liés au premier confinement de la crise COVID. Ci-dessous, le témoignage de Moufid Hajjar, Délégué à la protection des données au CHU de Bordeaux.
Appartenant au groupe Vivalto Santé, l’Hôpital privé de la Baie à Avranches dans la Manche, est le tout premier établissement en France à utiliser la réalité virtuelle en formation continue pour éviter les erreurs dans les blocs opératoires. Son module de simulation 3D baptisé « le bloc des erreurs » est un serious game1 en immersion virtuelle au cœur d’un bloc opératoire. Destiné à la formation continue des professionnels de santé, des internes et externes, ce programme innovant permet de traquer toutes les erreurs possibles dans un bloc.
Fort de la proximité avec les professionnels et les établissements de santé et du social depuis plus de 60 ans, la Mutuelle Nationale des Hospitaliers et sa filiale NEHS DIGITAL se mobilisent et s’engagent une fois encore aux côtés des soignants pour faire face à la crise sanitaire.
L’Institut Godinot, centre de lutte contre le cancer de Champagne-Ardenne, et Pulsy se sont associés pour proposer un suivi en oncologie par téléconsultation. Ici, encore plus qu’ailleurs, mettre en place une solution de télémédecine pour la discipline particulière qu’est la cancérologie prend tout son sens. Retour sur une année de pratique à distance, au service des patients.
Le niveau de confidentialité de la prescription de statines de ma grand-mère de 93 ans doit-il être le même que celui du compte rendu opératoire de la tumeur cérébrale de mon oncle de 52 ans ? Cette interrogation relève-t-elle du domaine éthique, philosophique juridique ? Le sujet est important car, à ce jour, rien ne les différencie. Les données de santé à caractère personnel des Français sont classées ultrasensibles, sans aucune hiérarchie. Ainsi, un Ehpad est soumis à la même réglementation qu’un centre hospitalo-universitaire, dont principalement le règlement général sur la protection des données (dit RGPD), qui oblige le responsable de traitement, c’est-à-dire le directeur ou la directrice, à mettre en œuvre toutes les mesures de sécurité requises adaptées à la sensibilité du traitement.
L’hôpital Foch, l’un des plus grands établissements privés à but non lucratif de France, vient de s’équiper de la nouvelle suite logicielle administrative PowerStay® développée par Cerner. Explications.
Dedalus, leader européen dans l’édition et l’intégration de solutions numériques pour le monde de la santé, signe un accord industriel avec PetalMD, éditeur canadien de solutions innovantes dans le domaine de la planification et du pilotage de l’offre de soins, pour aider les établissements de santé à optimiser leur efficacité et à faciliter l’accès aux soins.
Le 31 décembre, la Haute Autorité de santé a publié un guide méthodologique qui cartographie les impacts organisationnels des technologies de santé pour mieux les évaluer.
En ce début d’année 2021, Catel propose deux sessions de formations pratique sur la téléconsultation et le télésoin pour les professionnels de santé médicaux et paramédicaux souhaitant maîtriser les informations essentielles pour un démarrage efficace et rapide de la téléconsultation et du télésoin.
Outre leur impact direct sur le bénéfice thérapeutique, diagnostique ou de compensation du handicap évalués pour le patient, les technologies de santé peuvent avoir un impact sur l'organisation des soins et les acteurs impliqués. Afin que l'impact organisationnel puisse être documenté lors d'un dépôt de dossier d'évaluation d'un produit de santé et dans le cadre de l'évaluation d'un acte professionnel, la HAS publie aujourd'hui une cartographie qui vise à la fois à définir ces impacts organisationnels et à proposer des critères permettant d'en mesurer les effets ou de les argumenter, au travers d'un guide méthodologique. Ce premier travail sera poursuivi par l'intégration de ces éléments dans les évaluations des commissions et du collège de la HAS.
Le 23 décembre, Éric Bothorel, député des Côtes-d’Armor, a remis au Premier ministre son rapport sur la politique publique de la donnée, des algorithmes et des codes sources.
L’année 2020 a été inédite en termes de mise en œuvre de la feuille de route « Accélérer le virage numérique », lancée en 2019. La crise sanitaire n’a pas ralenti son déploiement, au contraire, d’après un bilan publié par l’ANS en cette fin décembre. Focus sur les projets Covid et sur la dynamique européenne.
Depuis plusieurs années déjà, l’application Chimio® de Computer Engineering sait fonctionner dans un environnement multi sites. Mais sa dernière version 6.0 ouvre de nouvelles perspectives, très utiles dans le cadre des GHT.
L’Association française des ingénieurs biomédicaux a présenté ses recommandations pour améliorer la sécurité numérique des équipements biomédicaux lors d’un webinaire le 15 décembre dernier.
L’Agence du numérique en santé vient de communiquer les premiers résultats de l’outil Convergence pour les industriels et les régions. Ils mettent en avant le niveau de maturité des acteurs régionaux ainsi que les difficultés rencontrées, notamment dans le cadre du DMP.
En novembre et en décembre, l’ANS a proposé une nouvelle session d’une dizaine de webinaires à destination des professionnels de santé. Deux séances de la dernière semaine étaient consacrées à l’interopérabilité.
Chaque année, un tiers des événements indésirables graves est imputable au médicament. La réponse : le dispositif MEDISIS, porté par le Centre Hospitalier de Lunéville avec le soutien de l’ARS(1) Grand Est et des URPS(2) des médecins libéraux et pharmaciens du Grand Est. Il assure la sécurité de la prise en charge médicamenteuse des séniors. Expérimenté sur le territoire lunévillois, le projet vient d’obtenir un avis favorable du Comité technique de l’innovation en santé pour une expérimentation dans le cadre de l’Article 51(3) ; elle se conduira dans la région durant deux ans et demi. Partenaire de MEDISIS, Pulsy met à disposition son service de télémédecine Odys® pour assurer le suivi des patients à domicile.
Premier acteur public du numérique en santé, MiPih est le leader en informatique hospitalière. Fort de la confiance numérique instaurée avec ses 625 adhérents, MiPih met à disposition des décideurs publics et de l'ensemble des acteurs de santé, une offre de dématérialisation, de signature électronique, d'archivage électronique et de coffre-fort numérique, avec un accompagnement sur mesure.
Plus que deux jours avant le webinaire du 17 décembre, 60 minutes de 10 h 30 à 11 h 30. Un webinaire, animé par Xavier Vallin, Expert Système d’Information DSIH Conseil, pour mieux comprendre la mise en place des GHT grâce aux retours d’expérience d’experts.
La feuille de route du numérique en santé prévoit la tenue de plusieurs groupes de travail au sein du Conseil du numérique en santé. Le groupe « Structuration de la filière Santé numérique » a publié le 4 décembre son rapport d’étape.
Le Congrès de la SFSD s’est déroulé début décembre. Quatre jours de congrès 100 % digital et en réalité virtuelle, sans doute à l’inverse de ce que doit être la santé de demain. Il s’est terminé le vendredi 4 décembre avec une session sur la place de la télémédecine dans la santé de demain
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