Alors que la liste des patients atteints de Covid-19 s’allonge de jour en jour, l’e-santé devient leur seule porte de sortie avant l’hospitalisation. Dans ce contexte, la téléradiologie apparaît comme le moteur de la lutte contre la pandémie, et les bases de données images s’avèrent essentielles à la recherche sur les pathologies liées au virus.
Pour accompagner les établissements de santé dans la gestion et le suivi des ruptures de médicaments dans le contexte de crise épidémique actuel, PHAST publie une vidéo expliquant comment rechercher rapidement des équivalences de spécialités pharmaceutiques à partir de la visionneuse CIOdc.
En première ligne face à l'épidémie, les médecins libéraux ont jusqu'alors eu à gérer des patients porteurs du COVID-19 sans outil adapté, et à répondre aux inquiétudes de leurs patients tout en gérant leur propre stress.
En raison de l'épidémie du Covid-19, l'ensemble des instituts de formation paramédicale de Nouvelle-Aquitaine sont fermés et contraints d'organiser à distance leurs formations. Pour favoriser l'organisation des formations à distance, la Région Nouvelle-Aquitaine et l'université de Poitiers leur ouvrent la plateforme pédagogique et numérique e-Notitia.
Depuis plusieurs semaines, l’ensemble des 133 établissements français du groupe Ramsay Santé, l’un des leaders européens de l’hospitalisation privée et des soins primaires, est mobilisé dans la lutte contre l’épidémie de Covid-19. Le groupe qui accueille à ce jour près de 1 500 patients atteints par le nouveau coronavirus dans ses lits, sur tout le territoire national, a également souhaité s’engager dans la surveillance des patients à distance. Il a pour cela choisi d’intégrer le dispositif Covidom. Ce dispositif de télésuivi des patients porteurs du Covid-19 va être déployé dans la majorité des hôpitaux et cliniques de Ramsay Santé de France.
Enovacom est fière de contribuer à l’effort collectif de lutte contre la pandémie du virus COVID-19 et apporte tout son soutien aux établissements de santé.
Maela et ses équipes ont donc équipé la totalité des hôpitaux du Luxembourg ainsi qu’une plateforme centralisée de la direction de la santé permettant de suivre à distance tous les patients COVID+ ne nécessitant pas d’hospitalisation, et ceux de retours à domicile après hospitalisation.
Selon les données officielles, Les Hauts-de-France figurent au quatrième rang des régions les plus touchées par la crise du Covid-19. Le GHT de l’Artois[1] s’est rapidement engagé dans l’adaptation de son système d’information pour faire face à la pandémie.
La gestion des lits des établissements de santé est déjà un casse-tête en temps normal. Mais en période de crise elle devient critique. Comment trouver rapidement un lit adapté ? Comment différencier les patients selon leur pathologie ? Le logiciel TimeWise Clinic assiste les hôpitaux et les cliniques dans cette gestion. Le personnel soignant a des missions urgentes et essentielles, et l’informatique se doit d’apporter une réponse rapide.
Après avoir simplifié et amélioré le remboursement de l’accès aux consultations médicales à distance en vidéo dans le cadre de l’épidémie de Covid-19, le ministre des Solidarités et de la Santé autorise, depuis le 4 avril dernier, le recours à la téléconsultation par téléphone.
Tant qu’à être bloqués à la maison, autant en profiter pour mettre un peu d’ordre et faire du rangement.
L’agence nationale d’aide à la performance a développé un réseau d’entraide entre professionnels, adapté aux enjeux numériques soulevés par la crise du Covid-19. Ce dispositif exceptionnel est opérationnel depuis le 27 mars. Entretien avec Benjamin Lemoine, responsable du numérique à l’ANAP
En 4 semaines, plus de 40 établissements sur la France ont été formés et ont déployé rapidement le télésuivi des patients COVID-19. Un grand nombre d’autres structures de santé sont en cours de dé-ploiement en prévision d’un engorgement du système de santé et du pic épidémique à venir.
Face au COVID-19, comment faciliter la prise en charge du patient ?
En cette période de crise, les équipes hospitalières sont mises à rude épreuve sur le plan physique et psychologique. Une surveillance accrue est indispensable dès aujourd’hui afin de préserver ces ressources humaines pendant et après la pandémie. En réponse au nombre croissant de cas de COVID-19, il est donc important de fournir aux personnels de santé des moyens pour veiller au maintien de leur bonne santé physique et mentale.
La mise à jour de Zoom intègre de nouvelles fonctionnalités de sécurité visant, entre autres, à protéger les réunions organisées sur sa plateforme des risques de meeting bombing. Elles simplifient notamment l’accès aux différentes options de sécurité et masquent les ID de meeting.
Nuance® Communications, Inc. annonce la disponibilité immédiate en France de son Pack COVID-19 développé par et pour les soignants utilisateurs des solutions Nuance Dragon® Medical. Ce pack COVID-19 est compatible avec tous les formats de dossiers patients informatisés. Il s'appuie sur les recommandations officielles de l’Agence nationale de santé publique pour fournir des modèles de documentation structurés aux professionnels de la santé en cette période de crise sanitaire. Nuance propose également d’autres services à ses clients pour les aider à prendre en charge le nombre croissant de patients, les téléconsultations et le travail à distance en réponse à la pandémie.
PandaLab a développé un outil de messagerie instantanée sécurisée de Santé pour les professionnels de santé. A ce jour, la solution est utilisée par plus + de 5.000 utilisateurs professionnels de santé pour plus de 300.000 messages mensuels échangés. Cette opération permet à Malta Informatique et à la Division Solutions pour Établissements Sanitaires et Médico-Sociaux du Groupe Pharmagest de renforcer leurs offres de solutions pour une meilleure coordination des parcours patients.
Née en 2013, 360Learning apprend vite. C’est en décryptant les pratiques habituelles de la formation en ligne que la start-up basée à Paris a choisi d’investir dans un nouveau créneau : la formation en ligne collaborative. La solution est notamment présente dans le secteur de la santé.
Depuis une semaine, l’application de vidéo-conférence Zoom fait couler de l’encre à n’en plus finir dans le domaine de la sécurité. Si personne ne vous a encore demandé un accès à cet outil dans votre établissement, ça ne devrait pas tarder, sauf si… un utilisateur l’a déjà utilisé à votre insu. Après avoir commencé à recenser quelques informations pertinentes sur le sujet [1], et vu qu’il y de la matière, j’ai pensé qu’il serait intéressant de les partager avec vous, sous forme de synthèse dans ce billet.
Je laisserai à d’autres la question de savoir quelles sont les responsabilités politiques dans la crise actuelle du Covid-19 – et surtout de quelle mandature –, intéressons-nous plutôt aux dysfonctionnements qui ont mené à une telle situation, afin d’en comprendre certains mécanismes qui sont totalement reproductibles dans le domaine des SIH. Analyse de la situation selon le prisme des biais cognitifs.
Au cours de l’année 2019, seuls 6 % des Français avaient déjà réalisé une téléconsultation tandis que 13 % des médecins l’avaient expérimentée. On estimait à environ 2 200 le nombre de consultations par semaine. Frileux, les patients avançaient une déshumanisation de la relation et les médecins invoquaient la nécessité de palper, de toucher le patient. Les politiques réfléchissaient à l’encadrement de cette pratique et les start-up rivalisaient d’innovations pour séduire les utilisateurs. Il y a quelques semaines, un virus est venu changer la donne. Entre le 23 et le 29 mars 2020, soit en une semaine, 486 369 actes ont été facturés par les médecins, selon la Cnam*. Facilitée, recensée, encouragée, la téléconsultation a fortement évolué et, avec elle, la conception que l’on en avait. Entretien avec Didier Alain, Expert WELIOM.
Au terme d’une consultation de trois mois relative à l’accord cadre national porté par le Resah, la commission multidisciplinaire qui s’est tenue le 19 mars a fait le choix du consortium porté par Maincare Solutions pour son futur service e-Parcours. Baptisé Parceo, il sera proposé aux professionnels de santé du Grand Est par le Groupement régional d’appui au développement de le e-santé Grand Est Pulsy dès septembre 2020. Ce bouquet de services, qui s’inscrit dans la stratégie de transformation numérique du plan « Ma Santé 2022 », permettra de faciliter la coordination entre les acteurs de santé du Grand Est et d’améliorer le suivi des parcours de soins.
En cette période particulière, et avec l’objectif de contribuer à y apporter un peu de #DETENTESTUDIEUSE, l’APSSIS a décidé de lancer un grand concours de mots croisés à l’attention de ses adhérents et sympathisants. Tout le monde peut jouer !
Figurant parmi les régions les plus touchées par la pandémie, la région Grand-Est déploie un plan de bataille unique en France pour absorber le flux des patients et optimiser la coordination ville-hôpital.
Depuis le début de la crise sanitaire, les acteurs de santé s’organisent pour prendre en charge leurs patients à distance. Pour répondre à ces besoins, la solution de téléconsultation régionale sécurisée vient en soutien des professionnels de santé.
L’épidémie de coronavirus oblige les DSI à adapter les systèmes d’information pour maintenir en bon ordre de marche la machine hospitalière. Christine Pichon, directrice des systèmes d'information du CHU Rennes, nous fait partager l’impact de la crise dans son établissement.
Pour répondre aux besoins de suivi en ville des patients atteints ou suspectés de Covid-19 confinés sur tout le territoire, les équipes françaises d’Agfa HealthCare mettent à disposition des médecins libéraux et hospitaliers et des équipes de coordination qui assurent le suivi à domicile des malades chroniques, une application dédiée. De chez lui, le patient renseigne quotidiennement un questionnaire de santé précis qui génèrera immédiatement des alertes vers le professionnel de santé qui le suit, en cas de signes de gravité.
Alors que l’épidémie progresse, le secteur hospitalier se concentre sur les cas les plus lourds et la ville prend en charge l’immense majorité des patients qui ne nécessitent pas une hospitalisation. Pulsy propose, en lien avec l’Agence Régionale de Santé (ARS) Grand Est, des solutions de télémédecine pour garantir à tous les patients l’accès aux professionnels de santé.
L’épidémie de coronavirus oblige les DSI à adapter les systèmes d’information pour maintenir en bon ordre de marche la machine hospitalière. Christine Pichon, directrice des systèmes d'information du CHU Rennes, nous fait partager l’impact de la crise dans son établissement.
Le télétravail nécessite des outils et une infrastructure adaptée, comme le développe Charles dans son article. Mais les outils ne sont pas tout, il y a aussi et surtout la question des usages, ceux autorisés et ceux qui interrogent.
La situation inédite que nous vivons aura amené de nombreuses entreprises, institutions, administrations, sans oublier nos établissements de santé, pas toujours prêts, à mettre en place du télétravail, conformément à la volonté du gouvernement. Cette semaine, nous avons décidé de croiser nos plumes, préalablement désinfectées par friction hydro-alcoolique, pour réfléchir sur le sujet. Cédric s’étant penché sur le volet « usage », je vous propose de nous intéresser au volet « technique ».
Pour faire face à la crise sanitaire, l’Anap met à disposition, via son site Internet, une liste de volontaires pour aider ponctuellement les SI et développe une communauté de pratiques.
« Le coronavirus, une aubaine pour les cybercriminels » (L’Express du 22 mars), « L’ampleur de l’épidémie de Covid-19 accroît les risques d’attaques informatiques » (Les Échos du 23 mars), « Le télétravail est une aubaine pour les pirates informatiques » (Le Point du 27 mars) : les titres de journaux, mais aussi les #ransomware et les #cyberpirates foisonnent sur Internet et sur les réseaux sociaux.
Les établissements de santé font aujourd’hui face à une crise sanitaire exceptionnelle. Dans ce contexte, la CAIH se mobilise en met à disposition les outils les plus performants dans la lutte contre le COVID-19.
Pour accompagner les établissements de santé dotés du dossier patient informatisé (DPI) Sillage, le SIB y intègre une nouvelle fiche facilitant la prise en charge des patients atteints ou suspectés du Covid-19. L’ensemble des données recueillies seront exploitables dans l’entrepôt de données du DPI.
La solution Lifen Covid, qui permet d'assurer le suivi médical à distance des patients porteurs du COVID-19, va être déployée dans les établissements du groupe de santé.
L’épidémie de coronavirus bouleverse les organisations, médicales et soignantes en premier lieu. Les systèmes d’information doivent s’adapter pour maintenir en plein ordre de marche la machine hospitalière. Patrick Majka, responsable du système d’information au sein de la Direction du numérique et du marketing du centre hospitalier d’Arras, raconte ses premiers pas de RSI dans cette crise inédite.
Dans le contexte sanitaire actuel, le salon SantExpo de la Fédération hospitalière de France (FHF), qui devait se tenir à Paris en mai, est reporté à l’automne, du 7 au 9 octobre 2020, toujours au hall 1 de Paris Expo, porte de Versailles.
Les hôpitaux du Groupement Hospitalier de Territoire de Vendée (GHT85) utilisent depuis cette semaine une nouvelle solution pour répondre au besoin de réaliser des consultations ou des avis médicaux indispensables, tout en limitant les déplacements. La crise sanitaire actuelle nécessite d’adapter les modes de prise en charge des patients. Le principe retenu est celui d’une visioconférence sécurisée entre le médecin et le patient. L’outil a été développé par le groupe SYD, basé à Saint-Herblain (44) pour répondre au besoin des hôpitaux vendéens.
Docavenue et RDVmédicaux, fusionnent et changent de nom pour devenir Maiia. Cette évolution coïncide avec le lancement d’une nouvelle plateforme de services dédiée à la prise de rendez-vous en ligne et à la téléconsultation. Elle traduit également le repositionnement de Docavenue en tant qu’assistance digitale santé auprès des professionnels de santé et des patients.
La plateforme MediConsult, parfaitement sécurisée, pourra être intégrée aux services régionaux déjà disponibles. A partir de leur poste de travail et d’un simple accès Internet, les médecins peuvent accéder à 3 fonctions de base pour gérer leur file active de patients : téléconsultation, télérégulation (SAMU) et télésuivi à domicile.
Dans le contexte de cette crise sans précédent, les autorités sanitaires allègent progressivement le cadre de la téléconsultation et encouragent même les médecins et les infirmiers à s’équiper pour prendre en charge les patients atteints de Covid-19.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que la situation est des plus étranges.
Pendant que certains apprécient les vacances, les barbecues en famille, le jogging au petit matin, vont faire les courses trois fois jour, sillonnent les routes de France en voitures ou en camping-car au lieu de rester chez eux (c’est un fait, je les croise tous les matins en me rendant à l’hôpital), des malades meurent. Alors, il est difficile de se plaindre dans ce contexte, même si nous sommes exposés, que notre santé physique et mentale en prend un coup parce que nous redoublons d’efforts tous les jours en ces temps difficiles, que nous sommes amenés à faire de nombreuses tâches supplémentaires en plus de notre travail habituel pour anticiper au mieux la suite des évènements tout en assumant le quotidien.
nehs, créé par la Mutuelle Nationale des Hospitaliers, propose une offre globale de services à la personne et de services métiers, totalement dédiée aux professionnels de santé et aux établissements. Face au coronavirus, ses équipes se sont mobilisées pour construire, en un temps record, des réponses à la crise sanitaire Covid-19.
Avec les solutions Cortexte, Corpus, Corso de Capcir, ses clients ont la possibilité de paramétrer des formulaires spécifiques COVID-19 et d’utiliser les statistiques pour gérer la crise sanitaire COVID-19. Ils peuvent aussi créer des UF et des prises en charges spécifiques avec ces 3 logiciels.
L’Académie Francophone de Télémédecine et de e-Santé, société savante et pionnière de la télémédecine propose, suite au décret n’2020-227 du 9 mars 2020 et de la crise sanitaire actuelle du COVID-19, une grande souscription nationale pour créer un fond de solidarité dédié à la télémédecine en France.
Il y a une semaine, Lifen annonçait le lancement d’une plateforme permettant de désengorger les hôpitaux en assurant le télésuivi des patients ayant des symptômes liés au COVID-19. La solution est à ce jour déployée dans 5 CHU en France. Aujourd’hui, la plateforme évolue et permet aux hôpitaux de notifier les médecins traitants de manière automatique et via les messageries sécurisées de santé.
Pour optimiser les prises en charge par les urgentistes du Samu, la société rennaise AMA a développé une solution Click & Connect qui permet aux équipes sur le terrain d’assurer une liaison audio et vidéo en direct avec la cellule de régulation.
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