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Le programme SUN-ES pour « Ségur Usage numérique en établissements de santé » est le volet consacré au développement du numérique dans les établissements de santé identifié à la suite du Ségur de la santé.
Le 14 septembre 2021, la CNSA a annoncé l’allocation, dans le cadre du programme ESMS numérique, de 85 millions d’euros supplémentaires pour accélérer l’informatisation du dossier des usagers des établissements et services sociaux et médico-sociaux à la suite des appels à projets lancés au cours de l’été.
Le 28 juin, la CNSA a annoncé la sélection des projets pour le programme ESMS numérique par l’ARS en vue du déploiement d’une solution Usager informatisée dans 1 356 structures médico-sociales accueillant des personnes âgées ou en situation de handicap.
On a beau avoir été confiné pendant des semaines, on a beau avoir télétravaillé pendant des mois, encore une première partie d’année riche en actualités SSI. Bilan à mi-parcours.
À l’occasion du lancement officiel du Conseil stratégique des industries de santé 2021, l’Association pour la promotion de l’innovation des dispositifs médicaux émet 13 propositions en faveur de la valorisation, de l’accélération, de la diffusion et de la préservation de l’innovation en santé.
Le Conseil national de l’investissement en santé a été installé le mercredi 7 avril 2021. Il est chargé de l’instruction et de la validation des projets au-delà de 150 millions d’euros dans le cadre de la nouvelle doctrine d’investissement en santé définie par le Ségur de la santé de l’été dernier.
Les Agences Régionales de Santé (ARS) sont impliquées dans l’organisation de la prise en charge des malades, la réorganisation des hôpitaux, la politique de tests à grande échelle et le suivi des personnes ayant été en contact avec un malade de la Covid-19 (contact tracing).
Un arrêté du 24 mars autorise l’expérimentation de 18 mois de l’ANS sur l’extension du répertoire partagé des professionnels intervenant dans le système de santé.
Fin décembre 2020, l’Agence Régionale de Santé Grand Est a lancé, avec l’appui du groupement d’intérêt public Pulsy et en synergie avec le Conseil Régional et l’ensemble des Conseils départementaux, un appel à projets Télémédecine à destination des établissements médico-sociaux, des organisations territoriales coordonnées, des services de soins infirmiers à domicile et des Services d’accompagnement médicosocial pour adultes handicapés. Objectif : financer des équipements et infrastructures nécessaires à la télésanté, particulièrement la téléconsultation. Cet appel à projets s’inscrit dans une stratégie régionale du numérique en santé.
Le 11 mars 2021, une circulaire a été mise en ligne pour donner aux ARS les éléments nécessaires au déploiement du plan d’investissement dans les territoires dès le premier semestre 2021, notamment sur le volet numérique en santé.
Les répertoires RPPS et Adeli sont les garants de l’identification des professionnels de santé et viennent alimenter l’Annuaire Santé. Entre mi-2021 et mi-2022, le basculement du second vers le premier va s’opérer.
La crise sanitaire engendre de nouvelles demandes de la part des pharmaciens hospitaliers. Les solutions développées par Computer Engineering permettent d’y apporter des réponses rapides et adaptées.
L’Anap diffuse un guide sur les indicateurs du programme eParcours et la sécurisation des modalités de calcul destiné aux référents eParcours au sein des ARS et des Grades.
Le rapport annuel sur les expérimentations innovantes en santé montre un renforcement de l’innovation et une montée en capacité des acteurs de santé dans le contexte de la crise sanitaire.
En cas de situation de crise exceptionnelle telle que nous la vivons aujourd’hui, les lits de tous les établissements de santé sont à flux tendus. Pour gérer l’afflux de patients, le personnel soignant doit veiller à la disponibilité de ses lits chauds (réanimations, soins intensifs…).
Le 12 janvier, le Cercle Prévention & Santé et le Club Numérique & Territoires de Com’Publics ont présenté leur livre blanc « Pour un patient maître de ses données de santé ».
En novembre dernier paraissait l’instruction aux ARS leur fournissant le cadre de la phase d’amorçage du programme ESMS numérique [1]. Au mois de décembre, Myriam Danyach, directrice du programme à la CNSA, nous éclairait sur les détails du programme [2]. La prochaine échéance concerne l’ouverture effective de l’appel à projets par les ARS.
L’Agence du numérique en santé vient de communiquer les premiers résultats de l’outil Convergence pour les industriels et les régions. Ils mettent en avant le niveau de maturité des acteurs régionaux ainsi que les difficultés rencontrées, notamment dans le cadre du DMP.
Chaque année, un tiers des événements indésirables graves est imputable au médicament. La réponse : le dispositif MEDISIS, porté par le Centre Hospitalier de Lunéville avec le soutien de l’ARS(1) Grand Est et des URPS(2) des médecins libéraux et pharmaciens du Grand Est. Il assure la sécurité de la prise en charge médicamenteuse des séniors. Expérimenté sur le territoire lunévillois, le projet vient d’obtenir un avis favorable du Comité technique de l’innovation en santé pour une expérimentation dans le cadre de l’Article 51(3) ; elle se conduira dans la région durant deux ans et demi. Partenaire de MEDISIS, Pulsy met à disposition son service de télémédecine Odys® pour assurer le suivi des patients à domicile.
Calendrier du programme, impacts sur les DSI hospitalières et les éditeurs, choix du DUI, AMOA : entretien à 360° avec Myriam Danyach-Deschamps, directrice du programme ESMS numérique à la Direction des établissements et services médico-sociaux – Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA).
« La crise a mis en lumière le fort intérêt du levier numérique pour les situations sanitaires contraintes. » C’est le constat dressé, huit mois après le début de la crise sanitaire, par le GIP ESEA, opérateur préférentiel de l’Agence Régionale de Santé (ARS) de Nouvelle-Aquitaine. Au-delà de, de la nécessaire continuité de service pour ses 50 000 utilisateurs habituels, l’enjeu a été d’accompagner et de rendre rapidement opérationnels de nouveaux utilisateurs intéressés par des usages spécifiques à la gestion de la pandémie.
Pharmagest, spécialiste d’informatique médicale et de santé, propose avec le soutien de l'ARS Grand Est, de la région Grand Est, et en partenariat avec Pulsy, Mouv Pilot, un module de suivi du parcours de l’activité physique adaptée. Ce module vient enrichir ETP Pilot, la plateforme de gestion et de suivi des programmes d’éducation thérapeutique du patient. Mouv Pilot est déjà déployé dans le Grand-Est sur plusieurs réseaux de santé.
Les couloirs de cet immeuble moderne proche de la gare Montparnasse bruissent d’une agitation inhabituelle. On voit plusieurs personnes courir d’un bureau à l’autre. Entre les mains des protagonistes circule un document, témoin passant entre les coureurs d’une équipe de relais. Le document finit sa course sur le bureau de la patronne qui y jette une dernière fois un regard aiguisé.
Dans le cadre de la crise de la Covid-19, la DGS recommande aux établissements, comme au ARS, le recours à la télé-expertise dans cinq spécialités.
Élément de prise en charge des patients, l’éducation thérapeutique aide ces derniers à acquérir ou à maintenir les compétences dont ils ont besoin pour gérer au mieux leur quotidien lorsqu’ils sont porteurs d’une maladie chronique. Pharmagest a mis au point ETP-Pilot, une application Web qui facilite et simplifie la gestion des parcours d’éducation thérapeutique du patient organisés et coordonnés par des équipes de professionnels de santé.
Dans le cadre de la crise sanitaire, les tensions d’approvisionnement nécessitent un suivi hebdomadaire des stocks des pharmacies hospitalières. L’Atih a développé e-Dispostock, un nouvel outil de suivi en remplacement de MaPUI.
Dans son rapport annuel sur l’application des lois de financement de la sécurité sociale, publié début octobre 2020, la Cour des comptes relève l’hétérogénéité persistante des systèmes numériques et le coût croissant des dépenses de santé liées aux dispositifs médicaux.
L’Agence du Numérique en Santé a annoncé fin septembre l’accélération du déploiement de l’Identité « Identifiant National de Santé » (INS). Afin d’accompagner l’engagement des acteurs vers des soins mieux connectés, DSIH organise un Webinaire de partage d’expérience le 15 octobre 2020 avec le retour d'expérience de Frédéric André, DSI du C.H. de Valenciennes et la contribution de Xavier Augay, directeur de la société icanopée, éditeur expert de l'interopérabilité DMP et santé.
Le déploiement de l’identité ‘INS’ dans les services numériques en santé se concrétise dans la perspective de l’échéance du 1er janvier 2021 fixée par décret1. La généralisation de cette identité (matricule INS et cinq traits d’identité de référence) est essentielle pour la réussite du partage de l’information médicale en toute sécurité et en confiance, en renforcant l’interopérabilité et l’identitovigilance. En parallèle des premiers usages enregistrés en production, les éditeurs de services numériques en santé se mobilisent pour être compatibles dans les plus brefs délais.
Pour rappel, la déclaration de tout incident de sécurité sur un SI de santé ayant des conséquences potentielles ou avérées sur la sécurité des soins, la disponibilité, l’intégrité ou la confidentialité des données de santé ou encore sur le fonctionnement normal de l’établissement est obligatoire depuis le 1er octobre 2017 [1].
Les établissements et services médico-sociaux se lancent dans la numérisation du parcours des résidents. Une transition loin d’être évidente si l’on se réfère aux difficultés rencontrées par les Ehpad durant la crise du Covid-19 pour adopter ces nouveaux outils. Comment le numérique peut-il prendre sa juste place dans les ESMS ? Catherine Philippe, directrice d’ESMS depuis plus de 15 ans, manager de transition et ambassadrice à l’Anap depuis 2014, nous livre son analyse sur cette évolution, son contexte et les conditions de sa réussite.
L’Agence Régionale de Santé (ARS) Grand Est, avec l’appui de Pulsy - le groupement régional d’appui au développement de la e-santé dans la région Grand Est - met à disposition des EHPAD (Etablissement d’hébergement des personnes âgées dépendantes) et des structures médico-sociales d’hébergement pour personnes en situation de handicap, des smartphones et tablettes. Objectifs : permettre aux résidents et usagers de bénéficier de téléconsultations et de garder le lien avec leur entourage.
L’ARS, avec l’appui du Gcs Sara, met à disposition des professionnels de santé un service de télésuivi. Développé dans le cadre du Covid-19, cet outil permet de faciliter le suivi médical des patients atteints du Covid-19 isolés à domicile et aussi celui des personnes contacts. Ce nouvel outil spécialement créé et adapté à la situation épidémique actuelle vient compléter le bouquet de services numériques régional à disposition des professionnels et établissements de santé, incluant notamment un service de téléconsultation et un portail patient.
L’éditeur Nouveal e-santé a été sollicité par les institutions publiques pour permettre à sa solution d’accompagner l’évolution de la stratégie sanitaire gouvernementale. Les professionnels de santé, y compris désormais les infirmiers de ville, bénéficient ainsi de trois nouvelles fonctionnalités pour aider à enrayer l’émergence de nouveaux foyers de contamination.
L’épisode le plus critique de l’épidémie liée au nouveau coronavirus s’éloigne. Les entreprises reprennent petit à petit leurs activités. DSIH a voulu savoir comment les éditeurs de solutions numériques de santé avaient géré cette période sans précédent. Il nous a paru intéressant de les interroger également sur leur vision de l’après-Covid. Christophe Boutin, président de Maincare Solutions, inaugure cette série d’entretiens.
Le 18 juin, à 18 h 30, la société AMA, qui développe une solution de lunettes connectées, organise un webinaire sur l’apport de la vidéotransmission dans la régulation médicale.
IDC France publiait en mars dernier l’édition 2019 de son Observatoire e-Santé* qui permet de dresser un état des lieux riche en enseignements des principaux enjeux et projets des établissements de soins, mais aussi – c’est une nouveauté – des régions, parties prenantes de plus en plus indissociables de la transformation numérique de notre système de soins. Cette nouvelle étude 2020 met en avant une accélération des dépense IT, en particulier autour des services numériques, et une perception très positive par les établissements du volet numérique du plan #MaSanté2022. De nouvelles dynamiques auxquelles contribue Maincare Solutions.
Les patients diagnostiqués ou symptomatiques Covid-19 confinés chez eux, en structure médico-sociale ou dans un tiers lieu (hôtels…) font l’objet d’un suivi de leur état de santé au quotidien par les médecins traitants et/ou les infirmiers. Les patients doivent notamment répondre à un questionnaire réalisé par le Ministère des Solidarités et de la Santé.
Les professionnels ont besoin d’une description opérationnelle de l’offre de santé afin de faciliter l’orientation des patients vers les structures les plus adaptées à leurs besoins. Le Répertoire Opérationnel des Ressources (ROR) est en Île-de-France le référentiel recensant l’ensemble de l’offre de santé. Il permet également de connaître la disponibilité en lits en temps réel des services de réanimation, soins intensifs et unités de surveillance continue.
La prorogation de l’état d’urgence a permis d’adopter le principe d’un système d’information de données de santé à plusieurs entrées pour « tracer » les patients Covid-19 dans le cadre du déconfinement.
En mars dernier, le CH de Chalon sur Saône, établissement pivot du GHT Saône-Et-Loire Bresse Morvan, se prépare à affronter : « La plus grave crise sanitaire qu’ait connue la France depuis un siècle ». En quelques jours, le centre hospitalier doit doubler sa capacité de lits de réanimation en passant de 16 à 32 lits dont 24 exclusivement liés au COVID-19. Infrastructures techniques, supports opérationnels : les équipes informatiques et biomédicales sont au front pour aider et soutenir les équipes soignantes.
Les établissements de santé se sont massivement organisés pour faire face à la crise sanitaire que nous traversons et la mobilisation des personnels soignants force l’admiration. Dans cette situation inédite, de nouvelles demandes ont émergé. Pour y répondre rapidement, les équipes de Computer Engineering se sont adaptées.
En réponse aux demandes urgentes des professionnels de santé pour faire face à la pandémie Covid-19, des outils déployés en quelques jours comptent rapidement des milliers d’utilisateurs : un bilan du premier mois d’épidémie et de confinement en Occitanie indique une forte augmentation des usages des services numériques de santé et de nouvelles formes de collaboration, pluridisciplinaire et intersectorielle.
Dans le contexte de la crise du Covid-19, les autorités sanitaires ont publié, depuis fin janvier, une série de décrets facilitant l’accès à la télémédecine et aux outils numériques de suivi. Une initiative certes salutaire, mais pas assez anticipée ni encadrée pour Me Omar Yahia, avocat au barreau de Paris.
Depuis plusieurs semaines, l’ensemble des 133 établissements français du groupe Ramsay Santé, l’un des leaders européens de l’hospitalisation privée et des soins primaires, est mobilisé dans la lutte contre l’épidémie de Covid-19. Le groupe qui accueille à ce jour près de 1 500 patients atteints par le nouveau coronavirus dans ses lits, sur tout le territoire national, a également souhaité s’engager dans la surveillance des patients à distance. Il a pour cela choisi d’intégrer le dispositif Covidom. Ce dispositif de télésuivi des patients porteurs du Covid-19 va être déployé dans la majorité des hôpitaux et cliniques de Ramsay Santé de France.
Maela et ses équipes ont donc équipé la totalité des hôpitaux du Luxembourg ainsi qu’une plateforme centralisée de la direction de la santé permettant de suivre à distance tous les patients COVID+ ne nécessitant pas d’hospitalisation, et ceux de retours à domicile après hospitalisation.
En 4 semaines, plus de 40 établissements sur la France ont été formés et ont déployé rapidement le télésuivi des patients COVID-19. Un grand nombre d’autres structures de santé sont en cours de dé-ploiement en prévision d’un engorgement du système de santé et du pic épidémique à venir.
Alors que l’épidémie progresse, le secteur hospitalier se concentre sur les cas les plus lourds et la ville prend en charge l’immense majorité des patients qui ne nécessitent pas une hospitalisation. Pulsy propose, en lien avec l’Agence Régionale de Santé (ARS) Grand Est, des solutions de télémédecine pour garantir à tous les patients l’accès aux professionnels de santé.
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